"_ LEGADO' ',¡' CARMEN GIL� CONDESAde . VILARDAGA DES MDDES· P-A-RIS� ANN_UAIRE- DES MODES -� D E ' � , préfèrent pâle. M. Glro�-Lelong, rue Notre-Dame-des- ji ANNUAr'RE t' 1JES r; l'fODES. 15 Vjc�oires, n" 28; (Ci-devant'rue fi.vienne). ,plac'é, un . sode", .au milieu cl -, uqM el' se ':trou: " . , i � M Trou_J/ boulevard -de Bonne J",) ..:Nou.;. .' ... verait le cadran 'avec une" bordure riehe- velle, n? 2. r: ' , , ment 'ciselée. Ce socle \ serviraiéde has�- à M. Poiret, 'rue Saint-Denis-e n" �6�2 •. une _ gra�de corbeille \�U aig!IÍère, so'ute� M. Hilair� -R�nòuard', rue d�':f�l:lhourg n'ne pàr dellx eygn�s.·à. ailes 'D:: déploy��§ ,�et '. Saint- ° , ems" fi 3'2 � . l�el1fplie' �cÍè' rosè� e; de boutons.jle rbses�/ -: MM. Hé�e:r:t 'J Poupart et Jarri " rue A gauçhe du sòde ',. '-le -, . Temps, ayant :dé- " Saint-Sauveur., Iio.,I4.', posé sajfaulx contre le. cercle 'du v. oadrl�n, écart.erait d'une-lJl�in Ïes.roses , .et enl�v:e� rait-,cl.e� l'autre U!1,$.lIlo�lr, qui; m�me • M. Bataille, rue Fèydeau, ·ho I4.,' pretendent qu'un plafond n"est pas assez M. M�igl'(lt,rue Vi�e�n�, n? - 2'0: �, ,\ él�-gan� ': il Aut qu'il soit oÍ'né�de Hein- ¡-M. B�icard � roue deRichelieu , n" �&" ttrres ; ou: reCOUV€Ft (l'�m taffeta';s assorti "M.' Brizard, boulevart . ""' Rbissomlièr� , au.meuble. Le p_arqu'�t • . est �rop:froiâ; n'' 13. r." un tapis est d'un'e abso!ue !1éCl(ssii-é. Aiilsi la M. Faivret , faubourg-Poissonnière, n" 4. 22 ANNUAIRE, DES MODES. ;: , - "" , \ ) M. Eglez , place des Victoires, nO -12. Y fait suspendre périodiquement ,to� s les 1 M. .Houdart , rue Montmartre , n'' 12�deux ans ,:' elle veut jouir' de la compa­ MM. Poussinet Lejeu�e, rue 'de ' Clérjraison avantageuse qu'oh ne-cesse de fái��\ n? 94. '. des c,ha�mes de _ l'originat avec les graces ' '-' ,M. Bichot.boulevart �bntmartre,nO l�de la copie. Kr�c�re �:leuA QUI trois ans, ,et- ___,_,-----, - , je conseillerai à. Cydalise de-se contenter _ - . On app�ll� hagües à Bonheur, dès h d' , -' y "envoy-e; le portrait. , gues composees de sept pierres'; il y en six de couleur ;-el1es.e�tourenfun brillan' " . '" - L'ancienne maison du: Cordon - . . Bleu, Ce hrillant _ . est la comme lettre initiale d - . ..,. , '-, .- '- rue aux Fers mot b h la ,autrefOls_ ' seconde privilégiée pour on eur; pour 0, onpren ¡, ,-, -" _ , _.' : � .. .' tous les rubans d'Ordres , soutient sa -re.- , , nne .opaIe, amsi de, suite , et.pour Ia del ",_. .- A _. nommee pour les nière ruhans, gazes, crepes, r , lID r_l1bis. _ tul1e�, blondes, ga.r�tu�es de robes , ob- - .., jets de franc-maconn L' 1 a 'rie, artistes franges du plus es f v�mt au saLOl , pour se Íour � -I' <, , . .,. ' A . , . .' . . ,. nouveau t effiles, et ' pour ,e se crrtiquer , reclproquemen=:t»· les dt - gout, gances, / - " • s- , ,.' , tout ce qui sert à omer les 'salons et les _ , . sœuvres vont s y - promener, les curres , .: . ,- \ . boudoirs . - . pour rega'rcel'r, 1es du- � gens monde 'poll . ,_'_{ ', , :s'y 'faire voir Floridor pom" - , y .troun " .' \ � . =.>. '" r , ': .. . ' , , ,-. __ Vous .demandez comment un reseau Palma.,·�alvma_; �tc.,; ... <, " Ele�10ra; CY,dah', "'''. '., e- . ),_ ' __ _ " .. . , · �'� : ,p�� conde ou de la troisième eau, etc. , ]us:rn a ce qu 'on puisse l'appeler une pierre co- DES· lV[O nE S. -31 FÉVRIER. T R. o u-s S E A u. D A N S quelques provinces qui ne se �. pique�lt point encore d7inÍ�ter ies u_sag�s _ dispendieux de la capitale, le. troussea_u que les' parens, dOl1nent à leur fille.en 'la mariant, n'est p.as. URe ar�aire,,: il con�ist� � en qrreI5{lles douzainês- G� chemises, de has ét de ficÍrús; et , qu'oique ron àjoute _ " - ," force, draps de Iit, force 'linge de table �-�t- de méri�ge,)1' est .rare qli)l -en soit, fait mention ,d�ns le contrat - le contrat. Pour en donner ,une idée, :yoi�i la nomenclature de celui qui a été fourni \ ' ANNUAI'RE broÚs.ou' 34 ANNUA_IR�, DES ÎVfODES.· , . Huit douzai�es de serviettes', f��ottoirs '1\1adame- 8t.-Laurent, boulevard Pois- ,.... , etc. etc. sonnière nO', 12, à 'Ia: Créole. , ..... I Ce trousseau a coûté 30,000 francs. Mademóisélle HalL�efêuille , rue Nap'?:' leon, nP ,20" près le- " ' , houlevard, I ,', � " '. L � G È R E'S. '. :Mádem9isellei Cr�isÙle", rue Neuve-" Mesdemoisel1es \'. Lolive;' ' de Beuvry f . e "t A�" O':U�st'l·n' � '-, n" � ''t''' . � - _ -, , " tNe: Ilalll - ", ,', OUb ',' J. ;I, t Cornpagnie, Saint-Honoré, . 'no 362 _ Mademoiselle rue Madame Colliau , rue Neuve nlltr.emplay, Neuve. des Petin des n" P.etits-Champs; nO '5:' " Champs, �., près Iepassage Radzivill.. Ma-dèfnòisell� rue Neuve des Madame M;iriette, Tas-sart, rue, �e Mirome;Peti�s_'Champs, en face du Trésor nil , n? publiè. 30. � f Mademoiselle Made�oiBelle Latapy; galerie Delorme, '" Lebeuf', -- rue "Neuve d� u ') , n 2.J-. Petits-Champs , na. 21. . Mademoiselle Paradis , boulevard des . MadamèNo�l, rue.St-Honoré , n? 138 ' Italiens, n? 22.. ,à la Crèche ... . . . , Mademoiselle, Henneveu à , ') l'angle �ú . j1/fadame.Varignot-Musmont; 'rue .Nem bouieva�d' du -et de la rue _de des Peti- ts-Champs, n" Temple 53" en face " -. or·Sa·int.on5O'e. ' Ministre des . Financ��. .' Madame r: .Moreau, haulevart çles< Bains \ Madame Simon, houlevar�, Montmal' ' Chinois', �o �3." ",' �'. ,; ¡ tre, 1'1(°6 .� ... • ,;, , �,',. Madame tue '. '. Madà;Ué Crochard, me l"'evé� de Riéhèlieu St�Ho�o;é, ri°'95; Mademoisen� " Noël" Palàis� R,oyal; gà� la rue "Î Fe��.èau; ., . lerie ae :6ôisl� n" 36 ,D.ES i\fODES. Map'arne' ' Chauvin , rt:Le &.int -lJenl ·,M A"S, Q-ÚE S. ;' -nO. '277. Lo�g-te-mps l'Eur?pe f�t tributài'rè �e� . Madame Dtifour-Larchevèque-; rue Q Véñiricms pour ce geme d'industrie. Au= Fossés Montmartre, nO S-, à la"Peb \ jourd�hui l'on exécute à Paris, a�ec plus "Pauline. , d'a��,qu'à Venise, 'les' masq��s de -carac- .: ,'. < , ,'o - ' I BLA N e � i s S E II S E S É tère. Il faut N F I N. sur�to�t aller voir, rue Bourg.. L'abbé,' n?' 33,. auscDeu.cDiables � l'ate--' Mademoiselle Frédéric, rue de Rod < ''--. ' lier de M. Marassi, chouart , n" 35. Madame Zanu, rue Basse du. Bempa Le dòminoactuel ressemble àune .robe . : . passage Sandrier, n" 48. des phis élégantes (I). Hest orné de fa!'.. :' Madame Laroche, rúe des: Vieux-A balas ou volans de, dentelle, comme une .:gustins, n'' 54. robe 'et , �_"l!ne coulisse qui marqu,e .Ia ' / 'L�s pantalons .taille, Il sont larges,. �l�s' hali s'e_st fait '�ussh�n 'çhangemeht �ont très:-la�geB, Jes· redirÍgott�s dans l� sont capuce; c'est aujourd'hui e, �ne ti,ès­ - . de 'c�ssivement larges. jolie cornette marcèlline "gavnie �d¢. . . -Un .n'est tulle ou de _ jeune homrne dentelle. paSSI dupe ... :- q! r. de 'I se [aire 'prendre la Jne,sure.;. ii, dit Son tailleur�: Agportez - moi' \�1l ha� èorq'pl�t. 'Leo";'taiÍl�ur obéi�, et notre ell. ' gant-a l'ail' d'un carnaval. ¡;,... (; 38 b/ES MOpES. 39 'Tol:Ítes les côeffures en cheveux , et un le 'pIa font!�. -et cómme l'étoffe n'est pas grande partie èes- toques, ont urie fOl'llsimplementappliquée ;-mais plissée.il' eñ., -pyramidale : _d'oll vient ce' goih. chinoi� faut au moins le double, 'Ajorttez ':'_Du théâtre, Un "c�effeuT _� c�la e_ñ 7crédit les crêtes ;les agI;émens, les franges , le�;:' -.J'jsq�é ae copier ,pour.la ville lacoeffu doubles' rid�aux., les d�ap�ri�s, etc. (I);> , . . d'-�neactrice.dul'héâtrQFrànç,ais.Cet esa et vous verrez qué I'ameublement d'une- qui date de.dix-huit rnois , a réu�si.· seule piècecoûte plus q.ue Dernièrement �e coûtaitj�dis on a donné à l'Opéra celui d'un appartement entier. Nous le L'aboureur �ne, ?liùwis ; nos' dames ont � parlo�s pas d'ailleurs de la commode jadis _ de !I0uveanx tÍlodèles de coéffures chi en' plaeage , auj(')tlrd'liùi d'�cajò�: - noises; ces modèles en� ont étécopiés; et! dehors, et 'd"e bois.. pdori(éraÎ_!t dans-l'in--;7' 'mode chinoise afait de rapides pr�grès. ' térieur potIr que lé liuge de , lil belle Sé, � trouve parfumé. Nous, ne parlons pas du. , 'Kutrefois on tendait un� çhambre lit, qui �oiLêtre couvert de èàmé�!t ê� , . eouclrer eutoiie :p,eintè , c'était l'ameubli' .,.., e ',' , � ' . .' a': -i� ',-, -, mentor linaiœ d "o"" et �. ,/,. un"" ebourgeOlse: leI"s ' (1) /Au Bureau du yJo,umM des (Dames F es." \ . - - , / 6 . a" ppal- o , temens des Modes n '8'�� ", 1 e hohl�- g_randes darnes .rue étaient ., Montmartre, .I·,Y' pres _;7: tend: _" s r', :- •••• ' ':.:.. . vart, palaISSen t' p'a1' an' dí� --'finit numéros de sÒr , _ 6I,l .étoffes , de, seie: {llljimrd'lini '�'..',� _ '. ,ra· :pll grav.ù�es:& Meubles,. Drap.ê7'ies, 'Bronzes" @iftI':< • -petite de nos;'boù,rgè.oi��s veu� avoir ,de I vrerie ; e�róitw:e£. L' , , o- ecs. �!"a;( il': 1.:: ' ,stne - ans sa '�l:< -' - /' �OiI�se.à'1>'- j, X'\ 1 'çua:m:.l:.H'e. I .vures foi in. at I·U· "oapo,:,:��ent'l'\):�r: . -' �in�nt , ete",ll est d� . - r.< -� o15t1-ou ..... _ , _O':b"�"_ colôriéès, " =: ". '\�' - . : " - -:ll!urall I <-, es sont -tel}�ues 10 fr. 50 «�ënt�. franc. en .1 �:_:i Ô_, " }�port I�l1aJ , ... D,E,S MO·19.·�.s. / ,Les commodes sont.plates , sans tiroÎrI ", trouve chez M� Galle, rue " ' Colbert, " 'pr�s / apparen� : à chaqùe hout, anIieu de pi-de la Tue Vivienne. pe. la main gauche, Iastres , ç'est un fond de glace .avec dem appuyée sur-le' cercle horaire, une helle petites colonnes. Sur la traverse du han fem�e, debout , à demi-voilée , tient une s� trouvent quelquefois, distribués à di&courollne de fleurs, emblème du p�n­ tances égàles, des lyres, des vases grecs temps de la 'vie i de l'autre elle s'efforce ,� des thyrses, des têtes antiques en- bronzi avec un coin _. de' son >voile , de- doré. _cacher_ . l'heure,. à la v�,e : c'est le Plaisir qui veuf ---- (_ , dérober Ua Jeunesse la fuite Que les loin ,-' duTemps .. pe sont de leur des I r , " -n, dules \, tination "primitive � ! Le' '(. mouvernent n'es " Nos darnes. ont coutunîede dîner, dans " q�'un�cc�ssoire-; avant tout , Iemodeleu ulle salle dont, les portes et les fenêt�s' cherche 'b: figurér' des. objets qüi s� rap' sont fermées. avec lè plus grand soin ;-tó1:î�' ,,- .:P?rí:e�t aux-fantaisies et- aux hahitúdës de leurs appartemens sont 'éch;uffés- et le cou:­ t' I'acheteur, De 'l�- cercle h9ralre � dam verts d'un tapis, Ces ��·êm�s daínes , vous' I uncasqûe, dans ,�n.e. lyF�, dans un orgueles trouverez ,- par un beau froid , assises' de Barbarie , dan's' un tonneau; a� là le devant le pavillon de> Véry, sur la terrasse . gour�and à tah1�, ia , marchande d-'!lUîtres, des Feuili�s; elles courent à -(e BflgatelIe;.. jar?inier, le joueur de gobelets, etc. dans un 'car�ick découvert; et au spec­ Ces . bizârreriè� ne font que �î¡ux va- tacle , elles auront pendant trois heur�s '/ " loir les conceptions - heureuses; telle nou les bras nus et les �paules nues. a semblé être 'Cene. û'uñe pendule q1:lise 46 - ANNUAIR·E· DES Mn'DES. 47 ;_ '-, I - I' -r • M�.Voy'ér"ru� d� Biçheliéû, n'' 25, ,¡C.ULOTT:I,ER'S., r, ) M.' Goût ,_o rue 'Saint=Honoré; au e M. Rozè, rúe de Rich'eli-e�', n" 67. �:.... ", Militaire, ,M.W�ro,quier, rue Montmartre, n" ,i,i, M. Gardiennèt, rue de.,la Monnai ,. rès\cèÚe�.du Jour', ët cl()î'tr� " ). , Saint-H;o-_ , " o", ) � , " / n?a. 'i" .. 'f '" :&J. lia�t; �� 'Cpq-Héton,u BosqÍIët' père ,'f ru� d,e .la, Mich� djère-, n?' 10. MM. -Neu�ann', r,ue. des .Fontain 'nO'-6 l. � ' .. - _ .. ' prèsl._..l� Palais -� Roval; _l�, , , '.' _ ' _ , ' , .. -,' �: On M. Barhichon-Walter�, ',' -' "Il' ,,' ,.,.;:.� ,» ,.J , '<>",' �. erees Peres, .3.,· q�l:e ·c�._( es 'Iu n _ o� VOlt ap;.xl '. ��dones , -. I� I.] , -: ue nos '1I'-ses. M� 'Blay, rue Saint-Honoré, n? ?31.. -eg-,' - .1\1;' .. Larrouette, rue Neuve-Saint-Ma . ... - -;:. : - - > ' . ANNUAIRE' D �S M on ES .: I?ostiches; et avec c�t· aecessoir� ou pan de dessous," puis 1(\ première robe en partie de ces accessoires ça; les co� soie' légère .;. ensuite la " tunique transpa­ se détachent, 01\ peut former la plus h, rente, et tout cela est recouvert d'une.. .. . des pyramides chinoise��. Cinq coque d�uillette ou d'un ,witz�cno_uras, q�i .doit vendent vingt-cinq francs. s� faire remarquer aussi, soit par .l'éclat - de sa couleur soit par la rareté de sa four- , � � rure. Je ne parle pas des bijoux et de la . Une nouvelle walse ' rAmazourlw � n '. • "'-- , coeffure, qUI ne changeaient que tous 1 �s 'est venue de la Pològne. On en _.fait iU " . . , SIeeIesd, et, .ontla reorrne va'rte . aUJourd'hUt I que cela se pratique pour toutes les TI \ .. . a ehan ,Instant'.V'oil' c. a Ot 1 .es de'� 1 � __ aque ce , qUllal veautes, un eloge pompeux au préiJu liIces dlni heau ssexxe ;c mais.en revanche VO·l1a' . des autres walses, " . .. - 11. ce qm fait son mameur.rOn h' érs.rte a epon- sel' nne jeuñe personne � quand on songe Autréfois le costume d'une femme que Ia totalité de-sa dot suffira a peine sistait principalementdanssonpar-des à l'achat de la corbeille ou des présens une robe ample et longue la couvrait de noce. puis la tête jusqu'aux pieds ; _í� .reste e OJ .mystère impénétra�le �aux�yeux. 'AujO'1 FOURREU�S.' d'hui les souliers d'une femme- sont Madame 'veuve Toullet rue , .. Sainte-,: ,}:artie inîpobtante desa pa_�ure j,puis Marguerite,.n°:b, f�uboúrg Saint- Ger__ ,.�l.�nt les H,as à jo�r, puis.Ie fâU§ala'du main, '. '" . .:�. � ANNUAIRE- DES . ' 'J\rODES . lV{. Aubineau , rue S. Hónòré, n? '211 .de celle dont Ùl� píeds soni les 'plus flexi.. Madame veuve. Rahout , rue Greneta hles .. Il y �. du . -haut èe du bas dans: Ia '. 11,°40•. ' vie; et si les . tnaîtrêsde�danse ont Madame Bússet , rue des dïœi- péç��-rgeuri�llUé le nombre de leurs , 'prétentions� lès nO . '13, et au-Palais; Royal, � , ,galerie maitres de" ch3J,lt'ont �ig1nenté le ,hôis, n" 232. prix de "leurs cachets: Heureux-les pères de fa­ M. Givelet, rQé Saint-Honoré ; � 151 mille et les bennes mères Hui ne donnent . M.c Becret , rue .des Fou�reu�s" �o If . point trop d'importance � ë�S . artsfutilesj. --") qui occupent principalement 'leurs enfans' Naguère les invitations de dans� étaie des soins et -des t�ávaux' (lu ménage, et , très-nomhreusesçet l'on r_ef�váh 'peu d'in qui ne considèrent Ies.talens àgréablesque ) vitations pour des soirées dè� .musiqa eomme - -le passe-port, de qualitésplus es- . Aujourd'hui les bals sont moins . non sentielles et plus solides. Les' danseuses 'hreux, et les concerts sont plus en faveu sont passé�sdem�de ;'on ne fera peut��tr� que jamais. Les, chanteuses , leswirtuos bientôt plus, d'attention aux musiciennes j" , s�r�le piano ou sur la harpe 'J�dol1i on D on' recherchéra toujours en mariage les;'. pariáit point; don! .on mécò�qaissail de oiselles sage� et laborieuses, "', ,:- pou} ainsi 1 dire" 'le. talent, �,h� -nepris I J ,?_,__,_-. _ ¡ • ¡, p�s surles d�n5eúses,. - et l'on: parl}it fan La coeffm'e ¿¡ Id . chÙíoló'�. constitué dé- �" . 'a��ant de .. cas�d'U;n� je,u�e ,dèm�istl.U� dOl finitîve�en� l� � les doigts gràndel�i1�úe, éi la. _et' le .gosier sont f éx�rè�ê', coêf-, qu' fure à I'erifant est du- dein��� - '. . .le '.' " �- , '" l,o signe ' " e ". • • � L' , ) I ANNUAIRE DES l\tODE'S. négligé. Qu'on se 'pgure tous les chéves visés en grosses boucles tout autour de Ia depuis le front jusqu'à la ni1que, rasses tête. �ais cette simpli�ité qui devrait en blés sur le sommet de la tête, 'et attache faire le charme et en prolonger l'usage � aussi fortement que I"était le catogan riu sera précisément le motif qni la fera bien­ ancien grenadier fie Vermandois: la ni tôt abandonner. On peut se coeffer �ói..:t:, ( seule de cette coeffure ,- qui n'à rien d'a� même à I'enfant : la main de l'artiste' _est Ieurs de très-agréable, inspire un .scm nécessaire' quand il . s'agit !l'une coeffure . ment de tristesse par l'idée �des souffranœ chinoise, et le moyen �'être. .hien coeffé qu'eire doit causer. Cependant toutes Dff �i la main de I'artiste n'a point passé sur' .. belles ront ád¿ptée; elles � _sùpportel voire têt&.. ' " .. . tous les inconvéniens alec intrépidité .. � . . , , � n'y a 'que les',p_etites "fill�s qui ont' pIlli. Jamais l'étoffe dite ,CaG'lic.mi¡'� '-n"e� 'fut !le .franchise o que. d'amóur� propre ; qUI plus en v_og�e_, que maintenant, La plus • .- - o '� .......,',, _ � , 'J;,pn -voit pleure� '-'qu?Î1d I'artiste l�s' coeâ pauvré ouvrière' a _uñ 1iaic�le de ��ch�7-, ,� "ia chinoise ; m'ais la "maman Ié:s ,conso]I, mire; la petite bourgeoise'" ún schaU,., '�h Ieur répétant ce vieux prover�e� ,: M� quelquefoisl �llle i�obe'� de caâl�miré, "it , ',demoiselle, il fa�t, savoir souffrir qUint l'on f<;t(t.den�na_p�s en caeh-emire. ' t. .� -�. . -,. I _:ón veut.être helle. - y. �- � , Dans la co�i£qre '� J'G)nfant J' " plus sim , ,,' - - -pIe et plus .nàturelle , 'les _ cheveux son ' 'tout bonnement séparés ¿ur le front ,et D E S 1V�,O D-ES. : i . "-""'I"-"""'�-4 -""''''''''''''--''''�-� '''''''''''''''''''''� • t t ',' -.--'-,- VERS le' milieu du dernier\- siècle, on - s'occupa peut-être'encore plus enFrance , de mode�. chinoises què maintenant, Quan-. tité d'étoffes éúti�nt chinées;' on avaitdes tapisseries et des paravents' en étoffes ou en papiers de la Chine � des porc� laines de_ la Chine, et des magots â�)â 'èhifie. Ce, fut M� Bertin; ministreetsecrétaire �l'É-tàt sous les deux derniers rèin<:'s, qui jl1o�u-la' t'e gOt1t chinoi,s : il, avait fiiJ veni;:l de 1�, Chine, en ',17 60 ,/({@X j eu�es' lettrés, que - l'on instruisit à Paris d�s' notre langue ,,' et dans nos sciences. et 'que 1'01i chargea ,: à leur départ de nous -fo�rnir ies rens�i� ') J gnemel1s�\�r les mœurs et les usages dé ' � /. - leur / K pays. Par les soins de ce ministre on Im- , 1, _ _ ; ',' ,�,,�, 56", A{NNUA,IRE , � }, '. prima , en . I 776 .et années " suivantes" " P È R·t E�. .: ',Mémóires cOllcerna'nt l'�istoire, ,le_s séi. LE s perles fie�neni.' p�einler ces �_les arts , le.s. "'œurs et les �e', , bn�. '. " res l'e 's' diam. ans 'leur ,; mais .' Chinois, par les missionnaires o !dA . e.sa , Pgee� " t , 1 5 l'ouvrage. de la na i�·1l:fòeu;t.eelles sont voluinç�, ',in;4 avec figures,� . �e. ';Lés de beaut.e . • sceptihles d'àucmt �mbelllssèIp.èn� je�nes lettrés dont nous venons de d� pa¡ art. fourniren Celles qui ont la plus helle t beaucoup cl'artIcles ii ce recus for�� ent arfaitement rondes. Cependant, SI , � l\'I.'·Bertin 'conservait dans p. _ . .son èáb�e erlè a la d'une poire, on rie .non - seulement les figure inaté�i�úx qui avai regarde pas comme imparfaite , parce' servi aux Mélnoire"s . concèqia�f ies nois; mais �ec'est l� forme adoptée pour u� pen- , h�auèoup d'autres, et envil\ant d'oreille, pour des solitaires et autres 400 .dessins origina� faits à Pekin ,/ . .,tnemens semblables. Une'perle être , • Nepveu , libraire }?our au passage - des·Panof\el1e, doit être unie. Il faut ensuite qu� mas, a , acquis des hérit�ets de ce minis - couleur soit d'un blanc de lait, non resque _ toute cette còllection. De là P as mate et vient l� Chùle languissa\lte, :rh¡ris 'clai�e et . en miniature, '" ouvrage nimée sans aucune .tache, L'absence de . 6 volumes -'., � in- -�. . 18; dont quarré fluent _ unes de ces fait regarder -bliés, P\¡uelques qualités en 18 II ¡-avec 7 4 gl'�rvure&; ..et de1es comme á:Mectueuses, en : 1; � I 2' perles , ,,�véc .:.... 2.�"gra'Vures'. <, '_- ,t Une .pêrl� .:de üeylan 'éS1: sujette à s'é-.", . Persiql:-le, au, çon- " ANNUAfRE DES :MODES. 6,.{ 'MANUF'ACTURE_� Pi)RC�L�'I; On ne compte 'encore DE que+quelques - Sèvrt{�.' ses à ouvrage 'en forme de A gibeciêre: les' , , M. Dilh rue' "'du' .. -' . names les o ' portent suspendus à. leur -côté' ' T "'. emp1e. .. . 'd'n.' ', '¡3, ' " 'cl. ',' � �ar deux chaînes d'or. M� Nast rue es A ,i ", main Iers � Po� .' 1 , • , / --- , ' court" n? 8.' MM.,. Caro�' Nos les . et ',oL,/e£' jeunes" gens rep,re,nn-ent gTOS evre, rue Amel" . n? 8. rachets j il en deux pareils çavec une ' , : faut, '. Da2'o,tyV), ',. clef dansIe lliaieu. ,Le.' cachet et la' def ' M ' " .: rue Id e l.l laubouro- � POlS I I u '. b :rrière n" ont ,�h�cun u,ne' pi�rre de couleur, .soir "1 I. \ ' MM, ., Darth ' £,re'res : ' , rll'e' ': l" a.gat��, ,corn�lin¢�, p�rvy,soJ p¡'aSe. O�itre ces " cl ,'" , ' e ,a R ," " . " ' , . "\ oquel - - , cachets, il fa des hreloqnesde fantaisie' . pO go.'" } , ,t, ,: ' .�" " I ( J , ." '" . "livres M.'Nepp�¡', èrussol par exemple" des ,des éventails, rue de ,no 8. n' des porte= feujlles des barils e etc. Tout ' ,M.' Schœlcher 'rl�� G 1'" , .' _ �'_' ' , ' , range- ate Ie II '._, " '('., ,', ;;-',> - • t: , , ), � n" '�e a : - reáferme. des p�vi�es,.'dl y a mêïne. r; t : t. • ", .. 'M."Despi��, rui� desRé 'I.e' '_o desbreloques à rébu�l tá�� un ;ipIÒ� , �' eco ets, _ � n 2, r, � �'" • " _ ,"" ,," . � d'or sur lequel est incrusté en émail un �M. Poùyat , et Itussine " . " � tDer, rue,F' on ta�. 1 �, -.' . '�! \ r," • ' r j " ,. au-ROl', n" 39' 'Lé' d '� petit " a�our�-. ,j"amO..,. -llr t;luc.?Jw1on, c'est-a- ' ,"' .j' . ;.... e'poêt,rue.vk IVIen 'I" '" , i'>'''_'je' d' l • � _ 'o ' > 1re, ,amour , n .I ' r" I" prisonnier. ,T , 9� J ",- I . , ni· �ÍO!ltctoûx -;la� vilieñe�lv� � · ' . " , , ¡ Oh . Martel, n'' I.ri. àppellè p�rr':'n£�rl"��' espèce de· � I lit de repos, � dont, ,le' dossier" est placé à _ s-Ó, ;" -r � : -' ", � - DES -MOD�S. I'un des .coins." Noris igI?-orans diquer Ia moelle de, bd'lif unie il ¡'"huile Imeuble tire .son, nom. d olive, le suc d'oignon hl�nc, le beurre frais, Ia graisse d'oie., !lOTIS conseillerons Pour arrêter la chûte des cHeveux Oli de faire 'lISage de la _pommade végétale - pour leur donnee 'ùne végétatión plus ac­ qne- com-pos� un homme expert, M. o. tive, quelques personnes se frôttênt la tête . Fortin, coeffeur rue , Helvétius '1,no 32, avec de l'Ëau-de-viè; d'autres se, servent et dont le pot coûte 6 francs. , d'èau de miel; celui-ci emploie Ia cendre d�s, mouches q�l� le donnent, �t Y mêle Oa ' commence à\ de mt!�:s prodiguer l'or" l'huile, ro�aq- eeli�i-là p�éfère la, graisse ou itri 'lnoin� ce', 'en a, I'apparence j d'ours, sans dònie paree que 'êet qui animal , , , ,�. dans les ne est très-riche appartemens _à la. �node. O�l en , fourrure, -, pat: , t e! -soupçon ' voit plús .aútantde chimères, de vases _ d'une' vertu an-alogique �n-- ,;, la mê�e raison tiques \� fait la. de profils . gre?s,,- Çl' �l!lplú�eF �écbction de- capillaire, a,�a�esqúes_ d�- les meubles' de bdis .les _ chers­ 'parcè que Íe <' res; mò�.- plus doit oràppeler la chose, . son� d€ ceux que l'ibéniste mêmè les ga�nit simple­ que póur- faire tomber che­ éime. ment; mais il faut que I'orme ou yeux, l'acajou les�gens foi robuste . emploient en soient choisis" et 'Ie de symétriquement sang chauve- ap­ souris•. .. pareillés. « Ah .. monsieur , de la simpli­ Tous les corps gras nourrissent Ia halhe e� dit nne Capillaire�; cité, �aIS je VO� prie, s ïl_s sont snrabondans ils pe�te-min� , tresse.à -son tapissier; Tétouffent, j'aime C' mieux v. • -, eul�s ali has d'une chain; demontre ; .tout, e ' �n a quelqlle.fò�s r,eproché aux 11lèll!elà cependant grand si d:.elaler un Iuxe aurait �� répréhensible; tandis sen�� qllfous saviez, que devan�le ��rre de là l�n- l�s:v�teme_ns'�e l�ur� " ,,,ufans,étáie�t pluerne pas��� à v�!9nt� 'p1t.lsie'urs devÎ&es;-",­ qûe,smipl�s,. Al:l! bien oui, tout �si chàng ue les voilés d\1 vaisseau. .éta'ñt dépl,?r�e§��" =: Lê�:pètites<,�lIes,riyalis(mt de pa;úr� 'ive n y .Iit aés 'devi�e5; q_�'�nfin à 'letllls,:mama�s., ',s'est 1l1?,surè Qui "i' ne �eJquefo�llerla t�e 'tp?-�'e , �ê('p)anchettes 5€ aIT�té dans de,S Tui ' eveni 'vous ; •. .lerres:" 'l'a}l€:€ ?��n��rs'�hx . i p�til' pt)llrJesYQj�.jd!ler; of{rír·aJs);d€�ses ' a�m·s,èj.; courir. � r • .. , \ Leurs roBeso:�r�!�inos 'ver�es, �Orig�5! ' .,« � 'CA -', ,', , . ÎŒ:S --M O B�É s. �-6B I ..' - ": , . _Aa-�,l�O"dI 'e �t�,iach-"�us�: imagè de k < \" f:' � _/ . + _ • .. cession . ��s 'heures .setiÍit tm'"�lljet f �maiel1t des cabinets . ��che'S et, c�rieuxi f " ," � dans: no's, sal�ils� de "là' :v;ied( -que h eXiste",auJoufd'hui pe1:l,:?e� cQ�lèèti?ns t. '. couP, dé nouvelf¡;s'pendu L;s ti'riilt ,ce g�nre ,.e� ce S()lÜ ,les dames qui sont. p < ,'tIe ça'dran·l!Ppàréñ�. Íl eiú' d'àiít,Jl venues y antiquaires, D'abôrd ellés: ont � ': ¡ �, �l'lîeùr��présellte'� .la s�lIIe,qü¢ 1; né leurcou; Ieurs bras pen '),eur �ront� de . 'indique , n'est qu'uri Faible acce�soireo s pierres djtes' (antiques; mais la mode a, ' la: composition 'Île la pen�ule, l�i it succéde'r à ce -c'est geñ;e qe' , parure pl�1S' e, ' femme qlfi, Jetant u� Rau 'dè, son y récieux i:¡?e' brillanJ' le�< diamans {ú� .. < ment sur' le cc�dl'an, .ne vous -l�isse' ntà-la-fojshrillans ,�t' précie:ux� Cepens . � ,q,pc;uue des d��lze .héures, PIùs 'loin ant ces pierres, sont e:r;tcqre:en'�yidencp '- ,,' I \ 1 .- . � .' sont deux �n(�ris qui j6ù'elú�lnnOcel1lDl entées ér', des !c4a�ons-� elles-ornent , sur. un autel-, ,it soufflent ujourd'hur�es secrétaires; dés bulle 'commodes / une ir "'L la . s�vou ,_au. ;ma� U.:�v�J!S de.làlluelI't!»,ll 'aper, �,be��còup .d'é�ta:l).s Py·ché ;,dé .. I'heure p,r§entê ;'iñ$'¡nieti� l�rè q�e le, .boudôif d'uut:j?lie femme badinage :aa:�ucit ceue:gt�i1de st leçon de dérfiórale: aus.si -curieux nosjoíirs ¡que,"},étai�' . e letJi.Pfr!i!paó.se 'dallS' là, ... j�}VQÛ1:é' .' �dis le cabinet d'un antiquaire:'� 't: .' . ' , " • - -, - r _ ,,,, ,�,: ", "" J ,l:" t' �� 7,2 ,ft._]�· N U A. l'RE' D ,KS· M O pES. 73 panòra�ás et'les mille �utrel? .curiosi On ne lestrouve "que chez l'inYenteur, qui abondent. dans la capitale rue' �'o j 'tiena M.John Walker, ?�� Richeliéü, go, ' r, lieu, de spectacle : mais c�e�t'sur-to�t près celle Feydeau. '\ \ o : jardin! de M. Tripet (1). qu�il f a artIuen ' , . ---,', . \ ':" 'Les .amateurs -de belles décorations v "admirer chez ce' fleuriste �élèbr� vle.s a mones les plus rar�s, A zd Reine les renoncules Mathilde, rue Feydeaù , plus belles,. ,lés n" coin tulipesIes plus varie ? J ,au 'd�l passage. , les 'tubéreuses les plus suaves, S�� M. Canneval ; rué Saint-Honoré, n? 94,. , ��re offre le plus 'J¿ux le' l()lu' , 'hl it la Coupe d'Or, vis',- à - vis Ia rue' de .t. I '. , r -ª agrea I " . I ' .. I Írrs ,,':' � p u jm . l'Arbre-Sec Impo$a�t,-des spectacles -' celui' " � , la nature danstòut d��S'tol �adame Dehierne , à la Mere de son luxe et fa- I sa splendeur, ',' r mille , .rue· du He�der �'n-? I. . , " ' , I , Madame'Irl�md��Le:maire"Palais�Royal;- { ,J galeri� de pierre, 'no!_ 2&, 'côte,', de la drue ' GAt,NTS É, )lITS ..A.' BR�CELET' , . '. , LA.ST�Ql:JES.,.'" :, 'de Biehelieu ( ... , Leur avantage est de se tenir t�.na 'dans toute 1 la {, longueu� du .bras, 'et mieux le�dessin�r,que lés'gan.t� o�di�i ' t .:r \ I · . _' J¿ {'""" . Madame • CHarge. _ \ " An�ette� %alel'le Delorme. '"'" • M'M. Fillion et nuyern�y, rue de Riche- Madame- Heinè, rue des Fòssés:'MQDI, " martre n": 'lieu, noi:r. , , J; -", , r J' , , Madame' M. Bannes, au Palais-Boyal, galerie ' Raymond, boulevai-t 'Û� ' , Poisson, ° côté de , nière,' n? IS., pierre :,n 8" �� �ll:¡i?6 I , ,--'cl Riéh��ieû, , ' _', et " � -, Madame sousles-galeries dé , Toul; bois�' rue r '\;ivien!ie _ n" 4· _' 'M' . -, - -' � � Mosnièr', rue Saiht¿:>enis, vis-à-vis Jl1adame o - , Jacquet, rue Vivienne, n'' r :1,1, <: :� Ie Mulet Madame Varnier, ch�rgé': . . rue'Viviellne, rio ',J '. 7" - -' lVlademolsèlle ;\ - Boucher F L U -R S T.:E «< • .;J.'.' 'o o\� / , r�e J: I, - • :¡_ - •. nO ', .' ; \ St,JloIwre, " o "o . 97, VIs-a-VIS celIe du Four" Ma_cl :, a' ll}( , "fPrév,1ost.>, ',,\; B��-î' • rue Y�>., "tl.U,o'S, n.0," 7� I�. " '-,. ' ';, .r , ' . , . - ' l ' " : ,MademOIselle ,: . '. " ':, Toutte, ; rue duÇoq-Salll� (A sucee1 .: � . " • l,i , rio 230.: ',.- " Madame vey.ve ," , \lVleuple nO r. ' ; ( , � °r 80 A.NN.UA rn E_ -.,- M. Perrot ,- rue, Saint-Dénis , n" '3 Ig. � '�\ - ' .. - - r····. �- -_, M. . ''o. Madame -Cârcón , rue de Ch'abannal& _ '-, Ray, 7ue Saint Denis , _�1· 276. ° ... , Mesdames ��ginay sœurs, rue Traver.1l 7· .. . -.. . - " . . �'sière-Saint..:Honoré, n" 4t. MademOl�elIe ehe"¡,nau, rue The'veno t )co _ _ . . . 1M. Jourdan , rue S- airit�H�noré, pre/7' .�, >. uche " Patir yoir .la "mâchoire .inférieure - '1 e. \ ,es, Fosses-SalIlt-G . - '" ' , ,�' " _ " -' _ _ �', ". '. r ,". \ -. l -.: 'A- o' 'pose la partie couche du. mlr_orr .de ma'lll- uxerrOlS � ,n. 3 . , ',' , - " ') . 'ú'it 'N anière' ses, extrémjŒs'-, soient ap�" 'e ti -qut' - o T I È fi E S E, e . O]\. s .f � .Ò: , . rs, " uyees Sur lés .deux premières �eÎits mo- , 1\fud,a�� €qutan, nué de hi §our'die irès;lsi, ,�u�-'çontraiFe; OU,t �eùt _yoir Ia '. , �Q - -lg. >' < , , artie iftte�ne de li I m'â,èhò�t: �ul?�rieur�, . ��dame ,S�nl���Voisin, rue Poiss faut que' .Ia partie' courbe pose, pour, . � • I • hière, F." '. • . -, 'si'dire,_ SU� le palais � [a Í.igne horizon- Madeinoísèllè .Bourgeois , rlie de l'E� 'le étant pre:sque . suppor!ée" par .ta-l��r,e " qu�er(, n'' \ q-�: • 0 � \< �'\ rerieure. C� 'miroj� coûte �5 ;frarics. \_' I� � ' Mad¿�e Detróyes, née Millet, .rue , ........ " la Monnaie, Ò n � 9· , Nos _ da�e� ont repris �eúrs corset�; leurs TAI �L-E�lJ.R EN e ' o � s E T.S. ileines et même ce , .qu'elles.appellent . M. Bretel, �lJ-e \Montmartrè, n" IJ ur busc. On'met peu ·de '. �a-l€ines .der- 'vis-à-vis le\_���ché Saiti!�J�sepli. 'ere, maison e� 'met' trois s�r ledevanrj' . ç ,�." une d'elles .êst.appelée le dùw_'n;e " par_al- - usion à l'emploi qu'elle exerce au �ili�u· '., ,D'KS NI O DES. 85 . Lonchamp ;-mais la paillé d'Ii:alia,e� ua�e ;ta�tôt' enfin 'deqx rangs de crêtes haas écossais' J. n� jouaient pas' ,ùn g e coq fort � écartés., et am eritre - deux :, 'rôle i et lès étoffes écossaises étaient rodé it' mille feuilles. cessivement ,', rares. Ce qu'il y avait de ti _ remarquable était une fleur qu'on noa .' :. , ,'" sabot-chinois Les eh' de aill o� hÍan- s espèce de, apeanx 'p e, jaune e'os,s,e.. Rlate'h " , o '. :;' , ' -' o o : e e, 'sont 'teIl¡ant-kussi, .contmuns , ) , que : .l��gue et, �ntr:o�verte, q.Ul �alss,aoIt VOl! malI� 'I -:; ) o dé de epI -barhu. es Q,uatre ou chapeaux gros cmq de ces sab �aples. Quand l� . . . o ' " ; o • o v d olle il fauten- chinois _',:. • • reunis f•ormatent • la I, ,est questIOn , pal, jaun,e ', ' garmture d ,e /, ' ' , ,', . , tendrreela· npal°11e (I)'Italie et dans les hauts chapeau. SUF . d'autr�s:chapeal!K ,'" , I :, 0l1_'voJ , , . .'" � umeros, If4;-0 a".5,5. La-mode-n'admet point (_,. " - • .une autre fIelIr' 'tres I I' , - ; ,œ ·t ' : volummeu " ' " ( - •• , se. t uJe OlI,e iune i� mode. ne veut' non maratime. pal com:Q1une,. • 1 plus que detrès-b�lles plumes sur cette r . aiUe� L'ornement du has, des robes de p _"_ _-_. , ':kále est extñíordineircment varîé. Tan! Parmi les i�n6mhrahle� pijoux 'q'ui : or> " j e'est u� :vò1arit ( (¡tibara) de moussels nen! la chaine de montre d'un' élégant, O,U orné d'une petite dentelle ;� tantôt. ce so remarque lesAvent�ils à devises, l'Amour deux, trois volants, festop�éB;' ta'n!�t dans une grandes balançoire, -YAmour volage, . crêtes de .coq Surmont�es devl'Amour dans une rose; oÍl� voit . aussi', .lants etde re!'l}Îlis; 'tantôt de simples!! mais moins. communément '¡'UIf elis ,<;achet i targes ¡ d'uri. 'doigt, et a� . noÙ}hre dont la. tige supporte deux �assin�; l'un 8 / :17 rO .. l, j I' ./ ,86 AN�U�.,I"RÊ DES MODŒS. 87" . ,> confient l'A_ítiòl�\eÚ'autre, un papillon; ' seient' tous eXàcî:ertle�t de la même Ion- l� mère 'des Graces .les pçs� .. et le ' pa· t- " le tr�:- , ,gu6ur.'-La / mati'�. te-ainèi�p'ré'pàrée ,.. , pi�lon se trouve p�ucoup_moins légerqm vail é�mmeIi�e ; on �.e le �cohfie qu'à des Ie petit dieu de Cythèreo £ d'" o'nt la main' est donce -et ., lemmes " ' :' plus delicate ,que è'elle '- � des, hpm:mes .: • r �e's unes . . v ,\ Peu ;; de pa�isieimes sàve�t c-o:tnhieTho' font - les tresses ; 'les .autres.les cousent. Il; " '" ç' " /', . , , so�ns ',exige�t leurs ¡ chapeau.e de pailu faut des talens différens 'pour, ces diverses .d'Ltcdie. Les phis beaux se font"à '� Signa, opérations, et 'ce ne s�r�rt pas à.une ou= � petit vin�ger:pr'ès-·de Florence. On ,cueill vrière distraite ou. préo_cc4upé� que I'on tèS' 'pailles une à une', on lès 'choisi confierait .un' tissu d'une certaine finesse. , - ap�ès la premièrè dessiccation", 011 11 Quarante-rieuf t�ur[étai�ntjadis lej'sll�- . '. se:r;e dans un grenier, OlI' le jour n'enn mum de, cette branché d7industrie; et urt d'aucune ,p�rt; les tiges 'étant i�ngées su chapeau superfin ordinaire n'en avait que dé'� planches comme des, Iivres d��s' um trente-neuf.r. d'�pllis qp:�lqu'es années, -,' on hibÍiothèque, on place au miÙeu 'de]l � dépassé'd)iriquímte�,.�t dans les maga¡;ins " p;iè�é."un >6Irçèha�d' avec -des èharbòns aro hien approvisionnés , notamrlle,n.t dans 'ce-, éS: ,dell's, .sur tesqu�ls �u brûle -une grand _lui de MM. Haraneder'frèi'es , rJ:lê' . d�Ab�ou: ,� . . quaiItité de sotifr� ; on fait sécp.er de nou' kir, �o 9", près lé l@�sag{"aè, Cail:�' , on­ _ ����t! 'les 'tuYa�x., au' sol�il {�nfin� �n l� trouve des chapeaux de,-soix�nte tours .. < "._. r¿ûift'- en petites� liàssès, � �t', �:Q. t.es 'coupt , . -'" dèux exid�rilÏtes', �de" nianière qu'il! , - Brodez ':. mesdames. brodez : vos ou. pendue pa� mi fil- ài d.'esJr�i·ns d1a}urnetÍes\. vrag�s n'iront pas� à la postérit�� Tous cei Les ressorts sorrtminces. et A'une élasti ..... - légèrs chefs-d'œuvre vont ievenir d�s cité parfaite : on est dansla ciisse co- comme lere�tes, ?es guimp.es, des garnitUres dt dans un hamac: op. y, Iit. '- ,�n y mal_lge , robes? des chiffons. N'import� , il on Y dort tout à son aise vani ; point de së.­ mieux encore s'occuper de chiffons que di cousse�on éprouve un doux halanc�m�nt, _ romans : .�'aiguille sied mieux à vos doigt qui charme :quaJ?-d 'on veille, qui pr<:>vo�e - que la plume. le sommeil quand on vent dormir; et c� ne-serait pas 'exagérer que de dire-:- L3: ' e; Les selliers sont parmi les artistes ma- calèche d':une' petite zpaÎtress€ est �us��' , dernes , ceux donïja sèi��ce a peut-être, élégantè_ que celle de Yenus, et si ligè� fait le plus ,d� pro�rè�. .Autrefcis le poid� qùe, cotrïme le char. deJà r�ine d� Ç�p�i�, d'une voiture>e!ait tout deux co- : on 'comptait elle .pourrait 'être ttaînée� pa:r:_ ' I presque pour rien lepoids 'd'es pe��o�n� lombe,s.", .: q�i"âev�iè�t\ YL l�IitÍ-e���' Aujourd'hui 'c'est On "du' corail -sur Ie �ériQoso ';:t0l:lt le contrair�> la voiture -n'est co'mptee 'pUFtait .. oti en et il brille Rour rien, .Ies chevaux tr�înent le� hlanc, porte, �ll¡ssi" da-, ne que les de' ' personne,s qui sont dans la'voih)re: Rien vantage�, SU� robes perkale. �� plùs élégan�, -d� plus ,léger.', de plus , aérien- surtout , q,n'une calèche à 'la' mode; on dirait une bonbonnière .de ca;ton , sus· go ANNUAIRE DES l'IODES. 91 manches, aussi éprouvait- elle moins It procès; mais personne n'est' ja10ux de .besoin du luxe èt de la parure. Que payer les mémoires e couturière de �1a­ d'hommes étaient connus, estimés ; dont dame)� procureuseç.de la femme. du me­ 'les femmes étaient ignorées! Aujourd'hui decin, de celle de l'avocat. De tout temps une" , bourgeoise se montre tous. les jours, on a craint �e 9U'0J;1. appelle '" Je �émoires" matin à la promenade, le soirau spec- d'apothicaire, et peu-à-peu on en revien­ tacIe; et' il en est de très -_çélèbres dont dra il accorder beaucoup de confiance aux le mari végète 'igl1oré, ou ne doit sa répn- hommes distingues ?�mt les. femmes ne . . 'tatien qú'à la, réputation de sa chère sero�t point célèbres. . . moitié. . Dans cet état de choses 'une honnête Les capotes de perkale s'é1óignent cha­ femme doit faire doublement attention à que jour davantage de la forme de celles ses démarches, et_se respecter jusque dam d5 années précédentes. Leur passe., jadis sa toilette. Quelle idée . peut-on a�()ir d profonde, n'a que quatre doigts de mari dont les reveñns sont médio.cres, et large, et le fond qui la surmonte -" est Ull dont la femme . affiche un luxe extra�agant? vrai bonnet à Iá chinoise; Souvent -' le crédit du mari di-minue en proportion que la célébrité de' madame Parmi augmente le client" .le�. objets de bien le parure ; veut q�e l'in��s� paver . .J íne fait , .talent éclore , chaque .annee renou- I de, son avocat, le malade " les visites �u vellement du de des .son médecin, le plaideur les frais du printempsçon' distingue I " J chap,eaux de paille �:hUJ.' travail nouveau o - ( '.( 92." ANNUAl RE,. , '", \ ' Il imitcnt , pàrIe dessin, les tulles à jo et par l� brill�itt, les étoffes satinées. les fabrique �u�-, 6habanais, n" 5 .. Ily a en �oùleur natarelie, et en 'ròse , en r t. ,_ __ ,' l' .ét paillè , vert et paille, bleu ,et paille - �� "Cette �ou��lle_br�ncÍi,ed'indu��r,iep devenir très-importante ,. sur-tout si ra teur qui , jrisq�l'à présent n"a- t��_yail1é .' pour les premières' �lasses· _d�_'-la:' socié ses - '. rend pr�x �c�essihlesi à, �àe';' achétel ¡ -. ��ins opulens¿ :_'. ., ( -_ ! íocp����09 ��'fqJ'ÇfroJ�w,�: ". � . , J )j�.S_! M O DE,S. ... . (' _; � - necessaires au ménage', j 'y consens ': puis ...je ; -, wrtir'le matin -a�ec ni�, robe d'e perkale, mx mille fàlhalàs , mes basà jour, et.mes . �etits souliers ,:dë 'taffetas blaRç ? �Non " IaJlS doute ;"ma JeUlme. i...,. Puis-je sOlti�"_, en cd��lette ?� Non, mi�le�foi� non, jep�.," . � . " . veux pas q;l'on té -vcie en èornette- - Tu;-. levoisdollè,.une·p�mière t.oilet_te est n�( essaire; '�n petit honnët _JIu �atin" line; \Ohe idem" un schall' à l'aveIÍállt. � k hl" • ", - �... -c, _ '; bonne, heure ..:.,_ . J� r€ntr�·ave�:.de hl pous- siere et de la crotte , faut��l:sí� mes ·fii;r par- .:- .' ��s tapis, faut-JI .reèe:VQÍr eIL-,< quets ou ton absence _les: í)etsonn�s "qui vi�ñdr:ont' le voir, da�s un néglige aussi mal-:;pròpre( " , AN'NUAIRE " DES MODKS. - Non, cela ne se peut pas. - Tu le vois: qu'il est. absolument nécessaire qu'une toilette encore; je fais rouler mes èheveux femme dé ménage fasse- trois toilettes par . je passe une redingote, etc. ,. etc. C'es; jour; juge combien de toilettes doi�ent à merveille! - Oui , mais après dîner,' faire celles qui ne sóngent qu'à leur , faurai .toi-, fait jouer •. .' , mes enfans , vaqué aux lette) travaux \'. dela iriaîson ; et.tu V��X me con- L� moyen d� répondre' à de pareils 'ar- r: dui-re ' au spe�tacie', à Ía p�oI11enade, en gumens! 'J� he sais .si le mari était con-' \ > société; mes cheveux sont' en , désordre, vaincu, mais }l prit lé hau, parti, celui .de . m:á. - redingote 'est sale 'et chiff�nnJe mes se, taire. ,. r souliers. . .. i�.h'!, fi . donc, encore 'une ., .toilett� : je 'mets "mon chape�u·.à plumes, l�s ne sont mo� < s�hall'.- d�' En,généràl_, pas Cachemire, mes boucles ta�at��e8 un meuble de d'oreilles 'en ]èunes, di�mims, gens., -en roheen I� e�t�·, Illa cœur, et �e's pourtant qui .se font -un, Bouliers. chinois. .; C'e.st·très�hien, �ér�te, d"y. étaler " ' le' portrait .de" celle dis qui-reçoit leurs hotu;' je ,né pas ,le,c�n,t�aire. � ComPte donc, mag'es: c�e sont lesindiscr�ts. Lcsmystxi- �'on ami ,; compte.donc , et tu ne te fâche­ ) placent lm�ge eu ras ,plùs sans 'raison.�(Q�� riepx cette _-'signîfie?­ êhé.de. de la tabatière, et montrent deda� �ne en secret{? J Mais oui, til me gr�nd�is, tu mé-disas les traits de le!:l� idole q�'à rine trentaine que je faisais trop de .toilettes, que le goût d'amis. adroits ,.! Les plus ont des à . de la parure absorbait tou� me� boîtes momens; double fond: d'un et cependant côté ils' .pt:ès-enten�t du � je viensde te faire convenir "( 9 M.' rue ;-é.les �,Fossé� - MQnt- .-,�,-�--"-'-' C(:ghief." \ " ; 1 , •. � o . _�);_ .,,'__, " _ ; .. ) , ÀutrefOIs , . , reg',,ªI,rdel' ' e �ne, rernme en face _ .' était 11l1e impot"t' ..... I,. • . I . fsse, mamtenant c'esr k ", ; comble' o' au-"'sa,r .,', .', ." - z- �lr VIvre; et plusieun ANNUA.IRE· _ DES' MO:ÓES� .103 " " M. Belmant ,- rúe Coquillière; au coin Quand une petite-maîtresse�vóus a fait " de celle. des .petits- Champs.' voÎfson salon, sa chanihre � coucher, son boudoir et sa salle de- bains, vou� croyez - An lien de rabattre leurs cheveux sur avoir tout vu, pardonnez-moi: non loin Ie front, quelques jeunes gens les relèven . e on appartement est nne piece qu'elle ils: découvrent meme leurs tempes: ce ile de préférence Ia moitié dn jonr; et innovation n'a point échappé a . Pale " sont renfermées cutes "ses fleurs natn- coeffenr hré e�é passage des Petits-Pere: cutes ses plantes étrangere�. Là n" I ; il fait maintenant des perruque . nlement sant conduits les. favoris, les cheveux rele és. !lensqu'elledistingue. ettant labotanique an-dessus de tout, la helle vous dit d'un Les chaînes des montres les plus nou- air pénétré: J'ai jadis aime la' littérature , velless'appellentgourmettes,parq�qu'elles h musique, la danse, mon mari; main­ sont formées -de mailles qui ressemblent tenant je n'ai plus qu'une passion, qu'une exactement "à celles d'une gourmette. passion au monde, celle des Heurs! .Ah! . --- les fleurs, les fleurs font le charme de Pour les cadrans, _ on a repris une vieille mon existence, et ne dans "mode: le cadran est d'or, je respire a l'exception que erre- chaude. es petits o ales d'émail lanc chiffre des mm e '·li�:oil jamais on Íre se couche-, ¡�ne table ' . "'. � '" artl'fIiCI·e'll�e'·s-'• Oh'" ,'c;'est ¡rap" fort! s'écria�t,ilo�' , , � .écrirè do�t ?n ne fait fas usa�e, U? pu· �n'on aille chercher :cette �r'tiste, lequelon je 'pItre sur ne place veux". jamars un �convainère livre, enfin defriponnerie, tou tes sortes de'choses Lamarchande, indis- �emodes arrive. Ah ! vous voilà, madame, pensablesqui ne servent à rien. luidit le mari; je rie prétends p �ne table ,o. la mais vos fleurs àttificie1les no durent done-n Tronchin, 'un 'secre'di:e,�un lavabo ,e! �u'un jour ?--Oul, monsieurv.et Ie, re- im somno, �roche que vous croyez �e faire" es�, it' _?---'-- mes yeux, un :_si�les fleu-rs lIn �ari compliment examinait le compte de lamru- que je fabrique ne durent jour , chaude qu'un de-modes-de madame, et tronl'!il elles ne ressemblent que"davantage aux pour chaque jour un bouquet de fleur. Oeurs - naturelles, • 7 r ," , ) ·to6 ,� 'A�NUAIRE 1°7 '� ,'., ,': 'Il:y a 'desjë:unes gep� �i,po�tentaleU!aisque, màqamè: ."�, .':':_�a�ZivGUS:�6� j ' I ": montre un� èh�îne de'la .g;os',''sueunr'' de' Ites "une maladr'�Ít�. V'oUs.; -,' 11l.�.è "rév·eille.z, ' .' - > '. ' . corde de' puits, -m' et plus de c¿chets et � IllS motif ,:�bUS ri� épargnez 'ïiucun� ',' ' hreloques qu'il n'en tiendrait dans 111 �ite ffotheuse; � t les gens q,U:e j� 'ne t�ç.oîs -" � Î' - " ' s'eau. , jamais q.ue chins JJl�o� 'àrifi� �ña�br�', par� :' , nennent. maintenant j'usqti'à, "moh(¡;óu� • , ' : '\ r "Ò» s "r' • ' , '. _ -Ô , ) ' " '\ .' < '. � , \ .. . -. L' in�entêur l des pàp�i{ott�s in virible.i doir .. ; ; cela, est etfróyà1?le 1 ....:.. Je. suis" J . , form�es P.è' )leù;x: ,cerclés d� laiton, l� ¡�olée, s .. , mais' déja' (\eux loi� made- � couverts' en ·éhev�ux, avec, charnière �t móiselle Lucas est verrue � e'fc'est .pourla cl�vette l!Oisièm�', ,�"..,:_'Qiùst ce� qúe c'est qúé": . , se .nomme - Ma�tirr;. il. ,demeure � quai, d'Alçnçon ,'no, 15; îlè Saiût-Louis. made�0is�llê Luc�s? �C'eBda prèJl;R�e . �. ' o _'", uemoisell� d'�' l�adâme ��imo�. � Çom- I . f� toS �/NNU�Il1E -', n:ES -QIu,e', m'app. "¿;rtez -vous P MO:QES./ --Les \ .' . . .' .fichus. '.1;09 mentilie» , madame"'-'-l'�...com tesse que . ·de�;.c: " lés .. deri�·, au'-' llla'd�fea Cbmmandés,� .' ,'. ' à -Ils sont 'chârmans! tes madame la Ne ... Elles , r , II -s,ui�:-je, . pas con·,. duchess,ede:B; 've,nue ( ,'. du � etaren't� "â:�...prix ln' e' beÍle - - , avec madâme . '.sii'np1icit.é,.,' """'::"'Quel en ' , " , " ' \,Oui, madame Stinon,�"'\t ',:' .dix louis 'eal't' -1e les deux. ,'pr:_'l'�:.¡1:(:.>. �Húit , '" t�,ífranç's , -- , Ecri· cen,,' , ' ve�; I ' , Jils,t�ne .L c"etal:t p":ou'r chaq, " · : ;dtx:. louis: ,rI'e, n.', ue., ':.....;,... '_ roL• :. V. oy"ez, ;,•• ' J� lui, av� Iùsline; VOP8 ,"made " . niois'eIJ.e, I. . , demandé qttetqu� me autre chose, lIme se", ces bonries faitesÎdujoq.rs.màl}q�ei', . hIe:... D'es �e m�llches :_ occasions.t--, là un .. '.' Les, voici, J:ai ,éa- ' ' nezon de ...,_ éommen�? Mais .sont vi�gt 'iouis ce des 'p.¿ur'',ra >à,la Frdnçò,úe 'd� manc�I!. pr�tJ.cesse ... simadame-le est velé Fo�';. ! des C�st, durenœ vo�'4lit:!....;;�1 divi_p- le voùs í�, _ 6recs, : . . ..., ¡�radameest dans l'er, p�ie, vingt cinq·loui�. ;',Et _ reur. Des', bouillons fuites la. �n, broderies e�;up, pour princesse qU,e l'on ya ajoutés, leur moinsbéllù.5 h.ea�coup _ Nous 'donnent �n� 'forme n'avons rien à, refuser touta _ à-tait,originale. mada��; �tn Écrivez, .Iustine : six' tents '.:': ces manches au.x �da!Res-:pr�fère�1 &ancs.Mais, à e'!foagnofé$ 'qui n' Iail p�opos..• m'avez , ont :Voli,s �ê que par�ître. C' point �pp'orté de r�he� à la - elit différent, Et ceh Niobe,o et.toút · · · ûte? k co monde en _ -,. Ce!J,t.écus. Fi r,-; madame. Ecrivez, 'Parle. donc, ,Nstine .. " V Cela. (Ius ne me de paraît ,depuis mont�ez quinze jours, cela pas moiselle �'ol)ès, made et. e Lncas.? ..:_ J'en avais porte vdns trois dé¡� en­ suis Iprsqu6 ::Zal.,POQvaisde je pi6senté� ollrir ?.:..£. me m�dame VQUS avez chez rais�. Que . ce ma, vQQS" et resté- t ., ti_�, � j� les 'ai Ú!d�ris �e vendues cl cartonP epuis, l'unei i>�� bonnets alá M�tÛStûtú-i.':':"oêsbortrlei; ! Que j'cri, ' ',¡ 'j ro " ¡ / , ,IlO, 11,[ essaie ' 11n .. '�' :'._ �Ju'�tine -., appr?�b.eZr 'mon . il nòu�' k· .rappeler, � J)�stin: �'je g�de le écran ... · v.oY?:ns�> .,. -Ceh�j:-.- ci �ous lit. Je �hi� nialade, .entendez -vous_i-=-­ , va à ravi� � -- Ybu� ,t�ouvez? . Je' � ,,' garde Madame ne recevra personne. - Allv con­ ce; bonnet. Combien- me l�� faites - vous traire, mademoiselle, tout le monde r ' .. .• . . pay�r ? - Six IO�li,s, madame.s-e Ectivez, Vo�s êtesd'une -gallchérie". ', .. Allez, doric'e-, ' . J�Œtine ... ' .- Adieu., mademoiselle Lucas, _;_Qno-i, madªme-, vous merenverrez sans prendre l.:!ne �a�i�ole â la Faporeusei B It º N zr]!., 1) O R_ É. . , _:_AÍ-a Vaporeu:�� r oh, non; �e:r.tainement, Pour l� nettoyer , - frottez ,la pièce tach'ée _ L� joli nom ! �issez - moi vîte_ ll persane à Paris; e'n � 8�9 'et les paie -six SOIlS pour'!ilanéhir une rob�e-; �t' , «'atltr�s" d:aprês,�de-s indiv:iil�s .des deux aem� (m_h�s pour' la ·repass�r:., Quand, l�:' - «-"sexes., .et-de' di;�rs.es: �oridÙi�JiS 'en 'Iar- matin., ,rou's-ête& 'ádlllis �,la tóÜette d.'ii�e,t - �.' , '" '. ' .. ., ",' . , , t: - j " DE'S MODES., 1�5 helle, 'et que veus' .entendez sa 'blan'chis .. Bagnolet pour quinze \jòurs. � Vous 'y�, ,�elJ.se -Iúi - dire; Madame �eut�elI�, sa rohe transportez donc votre íñobilier , 'vo_�re, ,là fa,' Ninon, S()� /-fic$u it' Ja', ))iáne ae maison .toute entièrei:_�h! non .,inille I Poitiers � sa è�le�'ette à la- it.'l¿d�"cis-? vous fois non, .répliqua- t-elle'� ,toitt cet at!.ir�i1, 1 ." prendriez ,cet�e. 'h'hUlchisseuse pour une que vous.voyez ,ne renferme que qJ�n�è,,', artiste quimanie.le crayonou le ' Pjncfiau, éhapeaux 'et trente' rohes - , ... Tr�'�te" et non pour une ouvrière, qui a .tonjoun rDbes pour si peu de t�m�s ! -- L,'i�he_ci�le , � I J'le savon' et le '}lattoir à la main.' nesait donc pas compter'! Est-ce-qu'on rie fait pas' de�x -toilettes par jó_ur quelque .., .tall,ai l'�utre ,jour :rendre' � �ne 'part quel'on se trouve? Quinze et quinze ,� '\ j visite petite-maîtresse -elle disposait' à font,'trent�, Je crois, riende ,plus sirnple.! ; se 'partir .pour la e�mpcigrte; -Et et faisait préparatifs, de, pll;tsjustè-, madame ,je n'-y fai¿ais; , ses -En voyantl'énorme quantité � " ANNUAIRE- ". n5 , , ,; '>' '.,' �':' Q�S' MOpES. - mon. dieu"! :riiòb.si�ur', vous n'y' eriteridez chargées:?� ròSéft,' ni,h�,mid�s; fpuis. met� rien, VO�1.s ,'dis�Je; siIes poil1té.� tez une Je��lli de de p;pier"YsiIr -les r roses.«. mœ 'êhauffer' cul d'une 'de . . 'schall :;!o�bci�erit .au ,milieu 'de" Faites 'le assiette Irion dos, t' ¿., -', / verrait- on �a,.tfliUe, ma rohe.en large couvrir tout cœur, íerre, ass�z :p,o�r \le, � " '. sur'le.vase'- les:po,:uts ft� D1"q� écharpe? �:,rout ce que vase,.' 'eLposez -;-'la Bemplissez, " _, (f �\ '. . voudras �a èh�re amie; niais, eette assiettede cendres :1;:t� tuparas 'ro�g'�s, �t�êfuè _, � ae charbons bos�úè: - '\ou.t ç:(que IVOUS� v�)udl;ei atdèn; vous· petits ;-l'effet'sera.de - mêine'; mais è� Iamode.-e'èst la mode! détacher les- pàrtiés od�fántes des' 'ro8�s , est • , .)" • L�, -'1, " Pardo� je n'ai plus,' de rien à, dire" je les faire ; et passer 'à¿trav'ers le linge" et de ' • " l. \ I ',:. I r les au vaset Mettez, . n, al.�ra��,_.P\as·, rephql�é si tu -ayai,s:. précipiter ton/ted,u - com- - 1 ' � .. /. men�é))�� me "d�?�er c�tte honne'raiss; promptement cette- eau de �os'e' en. b�u'..... teille, et L bouchet la- bou�eiIi� �vec ¡�in. On peut 'distijler de la �ême' nÍa�iè�; i� - EAù DE ROSE" OBT;ENUE SANS ÀLAMBI�. r- t lavan.,de, ill romarin (, _' ,,' ;1'�'iIJ�t, le jasmin, ' . � ',� , v" 'Pósez stir�' ùn' v'ase I creux dè' etc. etc. terre ver- , _;, � , nissée ,�un linge fin qui tOIp.b� �n forne �. de poché jusqu'ª Ia .moitié d'u ,�ase, et Cartesde visite � fondsatiné, à vignettes fixez les bords -;'d�' .linge gauffrées de avec 'ml cordon. argent et. or, �ien plus com­ Re�plissèz cette .poche � de' fe�illes de mun; mais 'connaissez -, vous �e billet. d� roses, rouges ou blanches, ,!!ouvellement mariage? Dans la partie supérieure ón ,._ épanouies et cueillies, et qui ne soient ni voit mi amant et �a , �aîtresse unis" par H. /" 'I?:6 '''A N'N: U ��IKE n.s s M/Oll,ESe' 127 l',hy'men; en bas est-représenté JeTemps; litd'aijs sa belle �oÜ�ctiQ#'de statues an-: que les Amours encharnent avec des guir. �ues, elle avait. imaginé uneespèce. de landes: ces d�ux parties se trouvent jointes Imse .où-elle répétait' les pr�n�ipales, atti.. '. par del! palmiers qui forment un mdes de �ces 'figures, etcopiait,' à l'aide en tout; i'arran� . -Ie in!l,iéu èst 'consacré �,l'invifati�n. lunlarge schall et , la disposition , [ ; _' ' __ �ment de .Ieurs di-�peri�s< " q_uelque �dée ,extraordinaire que l'on se forme ,de la dimensio� - dé -la coeffure e qLoRER",eOLORIER. /' actuelle de nos dames, r elle ne peut être ' ' ' , d'abord ont été, ex�gérée. En Ces deux éffet .qui , on vóit maintenanila :verbes, petite fem�e, brasa IMployés -I'un plus en dorinant le ,pour ratitr� iIldifTérem�' l'hòmme le plus grand ,s'élever au-dessus mint, ontaujourd'hui une acception dis- . fte lui dé il étàit 8 où, �ncfe. le 10 temps, d'usage pouces, grace à son Dans, où, . chapeau.;' ,. ';, ,', �', legraver,à plusieurs planchesIes estampes> __ '__ I, �ui devaient. reeevoi� les éoulèu�s ,dé 1� b À N s S main de I'imprimeur avant de E ,DU e II À passer- sous L L. ell�sétaient �lQ'_ U disait ne courtisanne , dè:énue d�p1iis l�dy' I� presse ,.OH qu' , . ' , .Hamilton , passe, pour en-être l'inventrice, rées; aujour,â'hl1i <{ne le travail de l'Ïm-, Jalouse dé son' vieux. 'mari, sir �meu� est tel captiver queheaueoup.de retouches , W�niams leStent Hamilton passiònne �'\aire avec le pince�u après Je ti­ , qui était en couleur on dit de ces mêmes po�r�a sculpture �ge ,> grecque, et se complai. e ( ,I�'�:, '. A�,tN�N,UAIRÈ:';','<, '� ',", D�ES Mó.nE'S�: ", 1,�9" gra��res�q.u��llè�. s,�nt �,npi�;lléÙ en cou. le perlta1e ou 'de '�6risJlirie 1. . 'longiiçs .leul"�' O'9-"slmnkment en ,,/, \' . ' t, , -", . . ,:' v.r. ' ", coul"eu'r.,"' et,l'óvn manches. . , " " -r�$'eÏ':ye_l'e�pr�ssio� �olori¿�s pour-les gra- \, ,_;l -_--o " , - vures d'a,bo:r;:CÍ_ , !inpl'.im�es en: noir, et sùr ,F�ites:-,moi d�s ,s�uli�rs. -'- �oftsie"':lr les, ; lesqtieIl�s' d�·:.cpu�eù�sclliiÍ'es;sé � passent reu\·il fins ou fort.s?' �oris et fi,n�. --;-' '. Y, '��' ensuite �av�� lç p\l1è�áu:., .'NuÍle tlÚfféFtmce �¡ei; a�dòubl� ·cóll.tür�? �Avec un 'p�t�t,' . > �'�Jré une' �ravur� (lnlumùû!è et une gra- !alon , peu .�'ollyerts ',; ,cá:�rés d�ss�� et �l.l:_ . :.v��e c��orùfe., /;si ce �'est petl¡-être:qu'en- Dout, to!ur.�é� �n de�òr�: +: l\'Ionsie�r j� Iuminëe doit 'sp�c=ialement se. dire d'une aes cors-î- _,_.;. Justement, Veus m'apporte- ', gl(ll:v�rep �o�si'ète., d \lR�: i�lI;e¡; i et colo. rezcela jf;udL·_ Oui, monsieur: A ,��leJle.::· �. !:l"éè.,_ d'une \gI:ayim� quelç��q'ñ� ;�lo.rsque lleure?· '- �vânt se�t'.hèm;e�·i r: ,1)�râqn." l� ... trav�il·e� _es-t. délicat.�_p�e grande/dis- mpnsieu� ; 'mais personne ici .n'est l.evé ��nc�i�n existaitidéja,'entre le �:ot estampe, �n'à' neuf. �Al?rs_" .ne m'�pp�rtez pà.� �d� ,empreint� d;�n_e�grátuf�,fait�t:ttvec�art, et ¡ouliers,�,: • ;.�' -Je n'aime _ P!lS 'le� o�lvr�é��'- " �.}�ùil8ge,,;'résu��tjl'un. 't��r�îf ,gr.o&sier. �ui de'�m�n� comme' aes s��gneurs.'�;-, . , ", I''¿' ,.' , -�'--'-' ,_ M. Simon, passage du B,0is de Boulogñe, �o 22, pr�s là porte '-Sai'llt�1?enis. � . M. :M:�o�, marché SaiÎlt��etriíairi, il� I_; M. BèFtfOq, .rue dès Petits - Champs , ' nO h. ' . . • D ES .M_O�E�. l�t .' 'i3� . �NNUAIRE " - . �. Alvlsenet � '17U€ Helvétius", ... lÍo ae nG () côté�e là. rue Ri .. � ," 4 piêrre, I, 7· .de- chelieu ,-èt au coin de celledes 'SS. Pères, - BOT " / T I E'R; s. / ' ( M. ; de " � I ':. � Tellingç rI r�oe Ridi,eli�u " n� 67': ., • M. Dodie � rue Vivienne', nO \ M. Dalmont , \r!l�è Cmpl�llière, n". 4,6,.. �.� , 21" o pre� \ celle des Fme5�Sa:ipt_:Tliomás.' M. Mer:ry-Ve�ter, r���Yi���l1'ne, hO ào • �, � . . f �'M� As1il�y rué'Vïvien' j o'·6' , .,.... , . . '.,.. � . . � . I' I . '.' ,- ne ,n; ,pres- FABRICAN.S PE FOR.MEs ,E� n?EM.BAucHorRs.',' " que en face la .vue ëo1h:rt. ',.-. � M. Da.lesme 'ru' 'e ·SaO tH" "I, 05' ,IV1. Josso ,' rue des Mauvais - Garcti ons, . / . - , _" , IU onore :n I, ' . M: Roti n° 5 . get, -rue de� Petits= è�a�ps ,Jatih,o.ùrg I Sa·in�-Germain. ) . . - nO- �'. .e- M, .. � I 9. ," S.akos-ky, Pa�als-:"Royal, galerü� de, . I o 'M S -. akosky pierre, n?· 110 • .. , .;I?a1é.!ls- Royal, galerie de pierr--e, nOll o ,. côté de la ru-e . "des Bons- � �Ilfans. ,; _1VI. Charrière, 'successeur de .M. Foster­ Stair; boulevart ]\�on,tmart�e o , n '7.' . � � .Gastens, ruè Cog.uillière '" ri°4r. M .. � '!{iggèn, Palai� .:RQyal . ; gaierie- de - pIerre', nv .'72, côté dè la .rue des Bons- -. .' ',� . . - . Êitfans: .. , ;':M�''é�lrrí��t � 'au, Palais-Royél, �alerie 132 \ -D,�S'VMOD)ÈS. - I , ', -U ' � .. mère pdrte l�s plus beau¡ . pçhemires, Deax gf!rnitur�s de fleurs ' Voris . " �'óffre� une femme'l reilOnilil� èhez madame Nattier: _," 1,800 'rr. ,I .Florval; j'en.veux 'bien"une, inai je veUI Denfell�s ;"plumes, tulles, . aussi I , une dot, ,et Mll�. Del�aœ n'en a rubans, -éventails , gants, etc, -,' pa§o' Céci vous é�Ónne / e'est une énigme; " Douze je mouchoirs de _há:l, à vais l�e�p�iqu,l1r, Puis- je, me, d�sRens� lriallgl��, en tulle de 500 ,.q."'?ffrü·'une corbeill� Mall�es. 'à' Mlle. - Delmaré] � Unnécèssaire Non. � garI!i en.ver.. Ne 'faut-'ir pas qu'elle soit digne �eil.. ' ' � " � Or" o o .. ••• )�, • �'" ••.•• 2,400 .\, ' d'elle/"'::'_ Sans doute, � , 'Parebnséquenl Une gibecière, uite bourse; . ilfaut que J'aèhette>; �edorgl]ons, 'etc, ... , . ; J)eu�' .,. -: cachémires lo¿gs , 6jooofr, La còrD'eille idem ' ornfe'd'Xngle. �. , Déu�' c�res� ',' :': 4,(joo terre et d� perles, , • ; ,� ,7�. '2,-400/ . Une pal'ur; en ��i)!�ns. • .• I5;t:Joo 'U�';bOllrSe 2.00 Une idem (contenan! �n émé�audes /... 10;000 d�lllbies napoléons ) , D'ne' idein -en g.ép��� , perles litres c, .. l" .'. I 6,�oò délicate. )m��t •. _ da�s',/le' fond' de' , '" ' • " r -, Deux , 1)�utò�m�: _( d� \ diâin�ns ' la corbeille '. •.. '. 'o '� ••• e •• ,,-.'. ( pour lè n�gl.!gf}:o ,! • O o� •. ,/. '_. .. :4,,000 'B�oùx d�fa�taj:si�, bâiues,' .: " , beaux ,chevau� "ètc pour p�£terà - - I lo" � .', O ," •• �!. ; � ,. :'\j;��"� .<_ '. : ,'e •• �", 2,4oó 'Six rob:_es � d�òàt une, de cai, '·,chemire .• , ,', • ;'; : • r; ,. • 7 , ."� . �. , - , 'r ' d'6 AN �:U A I 'ÎtE nES lioD.ES.: rr�37 ' � , ":', "� "- .... ',' J' ." -e I... .,:,1- ;, �n gránd rôle ·(lan� la "tòilèth�' des danies. la damé. . '�El�, bien) n9áró.�deurs .. tf�u.ve- I , ,·U � ,�commé"à'd�es fortcmauvais, y Í'id�au_x de raient cela croisee, d�s: franges nes glánds .h�s-t].e Deu� bellès tra'V�rseJlt le et houlevart� au leurs ':U;Ij ".:1: cr : I ¡ .' , robes. Ces , of'Re'�i,li:ei}s:s'Oflt_bizaÍ'�es; elegant accourt ,�ur, sòn,-c.h€val' au g�lop,h. on,s�. ' " >, ',.Crifie '\ "". < , Ies CDllvèna.:qc.es à .la- uQ:Çtv:eáute; Ies'femmes' ont p�ur; ,eH�:s crient, et n�7 • I mâts. ODçl1'e,st' P�fi mis 'ioritme �.� savtmt 'se l'etait qù .jeter ,,- et'l'á�fi;� g�lop� ,��ù;,. �hiell, qn�e;ess';m�DI� monde jours da�t le del l�' pas �:tout frayeur ,g.ti'.:t�,Aa caü�é,e:'. Chez Tortpni" t�IÍ� '�seple 'thb]� reste lihre : une d�me' ènú{t'�vee' sa fille �� Je graitd'- pè,;e j trois jeri�t;s�g(ms entrt;ntf,ge lc���c6té ',; 'il� 'Po�ss�l;t·l�.·\�raIid-père_, la' . fille, -la daine, et s'empa!'�tit de la tâblé: Au spectaèle, 'Ies hommes sont assis au premier .rang,' les' dames, sont ,de��)lit par,. derrière.' _., Ò",,' ��" �!s\ ANNUAIRE C'est une chose �harmante,�uriè inven­ tion admirable, un prodige -de l'art. Figurez-vous, Sur une robe de .;<� perkale, peu ail - dessus d � , g�nóu, ,,étroites, tro�s 'handes de tulle uni , séparées par un gros c_ordqn en hró,deriè, et . encadrée$ par une' double 'chaîne ' d"an�eaux à jour. Plus has , six petitsremplís servant de' , tête à six' rangs de feu illes de rosier en . tulle découpé et festonn«L � . " , 'Immédiúement au-de�so'lJs-; trois ban­ -des encadrées, comme les premières, ' 'Plus bas, un; volant d'une mousseliee , ,si claire, d'une broderie si .riche, que la' , plus belle dentelle n'en approche pas. ÁU­ dessQus du v�lant � trois bandes d'e tulle et-deux' cordons 'en ·h�derie. Enfin nn l�rg� festq_n formé d'un tûlle encadre. Ajoutez-y des manches mi-perkale, mi­ �jIlIe • et vòu� �urez l'i d6� d",unè robe ,qui .a coûté- 1500: fri��cs.r' ' I - t '\ , DES MQ�nES. (41 JUILLET.' ON prenjl un .cost�me> �ég�r, �n s;em:-' \ larque dans 'u ne - �oi ture légèr.e et' , d_éépú:..;_ , verte, et ron va montfèr Ia légèr�té -de 'ses -'aù 1 pas hal de' Sceaux. La salle de danse estenplein air ,-on saute; on s'anime, on est en'�fage; minuit,'sonne, on remonte en voiture; à peine -un léger schaU vous . préserve-!-il de l'intempérie-de .l'air : le lendemain à midi, madame qui s'est mon­ trée si Iegère, si .svelte au - _ bal, veut se�' lever; èIle n� perit remuer _ ni bras ni jambe�,' 'et reste douée dans �on lit. L� docteu� est appelé. Transpiration rentrée, fluxion - 'dè póitrine , rhumatisme, qüe sais-je! il faut €pulser i-a boutique du ' pharmacien, o-u le rése�vòit des eaùx d� _ Tivoli. « _;.. Eh bien, do�cteùr ! - Ce .n'est -.' �r , ). 144 DES"l\tICJ-DES. - P AR F U.M E � R S. �L·, Çhar.din Hadan�ourt, rue' Saint- André-des::'Arcs, n? 3, vis-à-vis le M. pont' Fargeou, .rue du Roule, n? It. Vivienn�, n� Saint- Micl!el., M. Fargeon, rue 13. lIf. , , M. La Boullée .rue deRichelien n' Houbigant-Magnr, rue du faubourg, . , ) -? , ' ',' , n" l, '9:�' €n face d Saint-Bo,noré e 'la' rue Feydeau. �/' 'M. Tèissier , rue de Richelieu 51 .1 - \_, n" ! LE-S-.NOC,ES. à la.Cloche=d'or. ' , ' M� Dulac, rue Saint-Honoré n'' ,pre� �n province un , -!ll,ariàge est une grande, , la rue, de I'Oratoire, affaire; dés noces sont "?l� grana��mbarras. , , Un mois >à l'avance tout le monde est en "M. de la èour, rue de Richelieu, n? 'coin 'de celle de -Ménars. l'air, toute -la. maison -est sens-desens- 89, all dans toutesles M. 'Dum�s: rue de Richelieu,' aneie dessous. 'On dress�,des lits ' chambres pour lés ,patens qJ doiveu't du café de Foi. v�ir ' , passage \' ' ' - "" - . j- Je M; Riban., Helvétius, nO 43'. loin pour .assister it la cérémonie. O� rue rue sable le jardin , on p�rè le salan de M. Catherin, Caumartin nO 10. gill-ces • , on rassemble les couverts , M. Gervais Chardin d'emprunt, tous , rue Saint- Martin, ¡ I, n" 139" ,'... "d'arg�t de la famil.le-, on met du vin en , 'MM. Laugie'r,' ère fills .rue Bourr bouteilles, on, prend hue �ide .. cu isinière. r , 1 � p' et ' nI ¡,) , _ , r • , >' On fait venir de quelque métairie L',abbé'"üo U:,n 4i. petit' M. Briér�,� habiÚ� ell Palais-RoyaJ._g¡tlerie de pat�e qu'on -jóckéy, �n. fait' pierre, n'' 88; près le passag¿ d� pohr et cirer harnois .du charà banc. Perron, ,les . - _- ,7' '" �a� f�te' comn�e�ce; el,e 'tOl¡l:t�S parts on Pour 1à' �?mmodtté .M:· 'public_� MM:' ahonde aulogis. Les uns viennent à pied, MailÎe etAclo.que,:viña\gri€rs-distillateUl�s, . ' -; ,. . � - - • J les .aûtres à c�heval, d'autres en·,?iligence. rue Saint-:-F\_màté-des�A;cs, vien�lent d"éta-:' o� sontdes...hÓnj�l1l's, des �eVél?en�eS\, des blir un -dépôt de leurs fÍlarc.ha:D��se� ,< rue "_e:rr;bras�ades: �et.�ûs vo�là !·et-·vo�� arri .. Vivie�nê-, .. n:ò î 6, en _fa�çé de la rue ColHer-k�� - Ils ont, �uir�,·lès.vinalg��s· aé table �h;s 1 \, ,",:->1 y/ ,ANNUAIRE n'ES'MODES. pas caducs Ha fav�ur d'un tu ou tu corset éI:sliqúe; peur quand marches q\�le danses, les .bas d ',un incroyable qu'elle ne tombe sur tes - Ah ! mon' sont, retenus pieds. par .une.jarretièra élastiqùe tu me f�is de me � lesgants à' coude cher, �ue� plaisir ell: disant d'une belle ,dame sont attachés par' cela! Figure - toi' que "c'est le comble d'e Lm { ' bracelet éla-stique. me' Floridor s'assied s�r l'art. I:autrejour ma 'couturière disait: un fauteuil élastiq�e.; Clara se penche mettez votre robè de ma�lëre qu'elle sem- négligemment' sur ble moins élastique. retenue par des .cordons ou des. une ottomane , Le cabriolet du petit-maítre est suspendu épingles, que pat les formes du' corps; 'sur des ressorts élastiques;' la calèche. de fixez-la si légerement_ q.�"£? semble le .. que Ia merveilleuse 'se balance des' moindre sur sou­ zéphirpuisse la faire tCfmber.,. � p.entes. élastiques: on dirait que les artistes' ont deviné qu'ils avaient affaire à des La de se ou de ,ppupé�s que fon f�ire mouvoir crai�te fat�gU:er sefaner,' ne, peut une mère son _que par des r�ss:orti. emp�ch� "deJlourrîr enfant; � mais elle -f¡x� une �ourrice près d'eUe�: _ Mais man .�ielr! ma femm�, c'est un ton Ull, 'cela -le fais donc , Íuxe.; augmente remonter _:_ train dire,' de.la maison , et l;�n,est à ' robe: portée de ta Tu veux mon soigner, sinon la santé, au moins la .toi..;.' ami " qué l'on voit mes épaules, mais ce ' , lette SOll� préciséluenf les épaules du, nourrisson. qu'il faut faire voir, :_ � A la bonne 'he�re, mais ta robe semble ne pas tenir, j"ar toujours l�U # ' ANN-U.A.IRE DES M Ü'D ES. , L_A Y.E'J;TE " •. perkal� , brodés à j'Our; et' garnis 'dé den-' j - � Deux -douza�nes de 'chemises' � 'bras­ telle. . sières en toile dé Hòllande pour la Trois douzaines de' nuit, péguim" , garnis.. II garnies démo�sse]ine, unie. d'une ; dentelle droite. .'- Ij -'�eux ,douzai�és� idem , �n'batiste, �ole. Six bonnets de -laine a� S#govie. -t _.._'. rette et bouts de manches �de' Six idem- . .garnis den- de coton tricoté, double . . telle. . Une robe de _ baptê�e; en mousseline" II Deux douzaines de brassières de brodée à piqué jour; ·rayéë. de tulle, et garnie . de)Vfarseille, doul?lées de Yalcnciennes, en toile de Laj-obe de dessous en coton . ' it pluches. satin bla�c , garnie d'une petite ruche. Huit idem de couches de toile de Deux Hol­ bonnets assortis.. lande. Deux douzaines de petites taies d'oreil­ Deux" idem de ler laQges de- en, molleton à pcrkale, garnies de _hal1des de' pluches. mousseline brodée, Une idem de langes de Une taie piqué de Mar- d'<:>reiller (pou� porter l'en-' - . seille. fant au baptême) en' perkale, 'hrodée. à ' Une idem de .langesde. bazin et anglais" jour, garnié ,de Valenciennes. garnis de bandes de mousseline brodée, Trois douzaines de t�bliers de bonne Dix robes de maillot, en p�rka:le'- dont d'e�fant, en tQile fine ,:-avec, deux grandes .' . quatre" avec dé .riches br9derie�. poches. . Deux douzaines de petits bohnets Deu� en tabliers de taffetas gommé. . D�u� garnitures de barcelonnette, l'une, ,AJNNUAIRE ) ,151 -:,�� b,az¡nallgl�i��'.�11�i� ,D,'E,S',MÒrds. !le larges bandes 'de Is artistes rie sont pas là mousseline pour-rien ; on brodé.e, l'autre en mousse- hit de Iíne �ouveaux corsets brodée ,à étoiles qui prennent les , avec transparent reins et l'abd{}�en. Les c6�sets des dames -rose, Le .rideau :en mousseline . £, , . pareilleIo'nt ga�nis d'une �norriie de baleine; garnie dentelle. ceux,' .: , ' , . ' .", �U:n . ces �ider 00 messieurs "faits de' �asin et de hS_SU collier d'ambre.; P9ur à Ja �e tout et aussi " se lacent bdnn��eD-t âentitio'n." fil, (, " ,fortement qUe le vieux 'Deux 'sachets , de satin- -rempls jeune homme rose, I.e ' " , �esire. 'Peut _ être cet accoutrement est-il �'aromatt�s. , "\ � , . ,. moinsdañgereuX'que les bretelles; , Un ho�et en·s¡r·, \ jecrOlS: , mIme qu!il péut aider à- divers mouve- L� tout dans une corbeille de satin , . rose, brodée chenille. mens;mais je ne sais pourquoi 3e " ne peux en m'empêcher d'écÍater de rire quand je vois' L'emboI�point, est Je désespoir d'unepe- l'artiste-couturière'ven�r�pportefun corset '_ ., tité�lllaîtresse" �€t fait le madame et un tourment de tO�lS, �our corset,_ ,pou:t:c mons�eur. iWB incr�yabl���. eôinment., en effet, 'por­ . Une "ter un Jupon bridé ,.ét 'qui 'dessine né les for- gin�cière contejiait 'ord-inaire-', < ;m�S�Ul� ment qU'l�m' mou¿h�ir, des lorgnons '- ,,' un� ventr�,�:un très-gros_. volume! uu. - ijacon 'et des tablettes. Ce n' CÔJ?1ment 'ce vieüx je!lt:le homme était pas � pourra-t­ ass��,_ -íI flgu'rer pOur nos -ou petites-�aîtresses; ou Adonis, Antinoüs Pâris, avec vient·:� . ri��e faire I!a�se en hoi� de égal;;. �ítromù�r avec des ornee à celle de Bacchusoudu mens en de vieux �c��, r�lis �,¿If:rets qui ren­ Silène - ? �aîs Il �y a . remède à tout; ferment des sels, des parfums, de l'élix.ir, ! . í54, A�NNUAIRt DES MODES: , des. pinces, 4;5 � fe�me, au lieu 'cuillers, de-mettre quelq1:le 'impo;� un verre réchaud, Cela d'�n sac wee à bien imiter les etc. se qu'elle recouvre de ,vêtemens l'un Jafffltas lui tous vert ; l'cami ou le volontiers valet-dechambe ,orte, Ies ôterait ,p�rt� cette l'antre pharmacie SÓU5 le bras. a,res -. ·,· -, ' Comment, disait l'autte JOUI' Aglaê'- à- ," On ,prétend. qúe le, chapiteau des de ce­ l'autiste 'chargé .la p�ilithe .en "niinia�,� ,�t)nne� iO,riiqú8S n'est autre la coeffure lure, vous me 'fáites·� que quJtter- - �ce chapeau" � ", » . , des jeunes "filles de l'Io�lle. 'Neos archi­ �u( me va) si hien � cette-collerette qui est _ tectes seraient 'fori embarrassés 8"i1s au derrliet'g(;nit? 'v (JUS éñàng�z 'ina coef­ vou- . . laient corpposer lin nouvel ordre �d'apres fure? Mais J:l�,rsonne ne me' reconnaîtra !' le couvre-chef aè nos Parisienne"s. Le cha­ ùoyez-en rúon. e'xpéri�nêe, lui réponpit piie.a_u serait 1)10:8: haut que lec tiers du fut le pejntré ;" si ,k portrait 'que je vais deIa colonne, fair� ét�itp�rfait��eritressemblant le jour " è ' ou je vousle livrerai, il faudrait le 1én4e-,"" �,' On;,.c.�n��rvai� "autJ;'ef?is ayec 'luri soia � "presque , rel,ig.ieux,Jes portraits d� tamille, ' ' � •• ,et le < seul du DES MODES. i�7 AOUT. VOILA. une société composée d'êtres bien ssortis.Tous Iesjours même ardeur, même constance, même exactitude à se réunir, C'est un cercle composé tout autrement­ que la plupart - des cercles de Paris , Ott­ l'on se -rassemble deux fois par an, en tu­ i mnlte ,.en grande étiquette, oil t'on s'em- brasse sans- se connaître o� l'on se , sépare pour ne plus se revoir. Parlez-moi de cette . reunion, .elle est /formée sans doute de q�elques familles- aisées qui vivent entre elles sans éclat .et sans façon, et qui fuyant le spectacle et les lieux publics, objets perpetuels de dépense et de scandàle 't aiment�ieux passer léur temps à causer, à travailler ensemble. Là -pôint de gêne ,� de , cérém�nie de femme� à e grande parure,­ de petits-maitres à sottes préte.ntions� Pré- -) - .- . 14 D .. E S-o M O'D ES. sentez-moi dé grace" à ces Bo:nnes gens; '/ , , ��!ai� qu'enú��ds�je? Ld- bruit \ d�s j'. jetons. ,. ' M. Ve'rdier, rue dé R1ch�lieù, n? 95. - -J, � n aime pas 1e;; cercles'ou 1.;on c: lanse; M.. Palais - de 0J�a,'tme Henry, galerie eneór� 'moiñs ceux où l'on joue. Je R�yál, pierre o , � � 2. 4. . ne recherche gué les !,éunion� , où l'on , M. _èa�se'�ans Laurent, Palais ':.Roy�l, gale�ie �'� flét, o:ù 1'011 rit �ans mechan- n": :e:été : elles sÛ"ii�'r'ares pierre, _; mais on 'en' trouve, ?o. -�t je vais anum�,�'��a, lanterne' pour tâ­ th�Î' Sparterie 'vient d,� ", espèçe _d'eJi déca�J'vÎ!ir au móins- _�ne-dans /partf d� la , �apÙale. grâmi�1ée q¡ú �orme u�ie- gerbe', de d�eu�s,� .' trais pied,s de"haut. Ses feuilles so�t d'une ligne 'et demie de la�ge': sur (Ïi� - �llit �, trentepouees de long:' Dà' fabrique �veè le, sparte, :non � s�ul�JJ1ent- 'des ,eQrdl:\g:es·-, mais en.�m·e des' l)Jl.tt£e§'� 9�S'cofp,eiU�s, 'odes ' chaus�ute� et des· chane;u.x. Ce fut )�ers, la fin �e 1 ;76 q.ue l'o�{�jablit à.Paris, rue de Popincourt ,--la ,premi�e mamí facture - d� .-.- r spaEterie.,' Il y a.� a'@s� années '" (lù: l�sl chape��n�' ,'cl.� , î ' . sparterie ont autant -d)� ,rogué querl�s �lî�-.­ peaux 'de� paille : pl� en ,a l'annéê .' .. 'P?rte. • J 160 DES M6DES. -dernière pendant deux mois; cette année. nieuse : l)�mour est encore plus léger 2 ; ei, �ous n'en un �vons vu voilà que d�ux trois, joujou charmant. qui se . rr6uve ou dans un œuf d'or: tontes les dames en .- ;. '<, - Si le soin de'1; toilette ne prenait pas raffolent, il ne coûte que dix loilis.\ tous les momens de ces dames, -'et si leurs -�-_:-. lòisirs agréabl�s leur laissaient. qu�lques Un bonnet qui ressemble beaucoúp.a,?­ instans à consacrer �ux affaires du mé­ coqueluchon d'un domino, �t que 1'011. ap­ nage, nous' nous empresserions de leur pelle Coe/fe à-la Chartreuse Be fait -en , _ / ·ànn'oricer la pu�li�a tion d'un livre utile et�ffe de soie rose, bl�ue, ou blanche. � 'stl,r I'art de conserver' les légumes, le� Il est garni de hlo;d�s, _forf- larges� LJs'" fruits, la vi�:nde��t le pot-au-feu. Ce livre dames·'à voiture / le pórten.t- dans leur,S, vi­ >­ á ét€ composé,par M. Appert;�p�ppriétaire sites du matin; ��lle; 'qui 'vont à pied ne , à Massy]: il a' R.�)Ur �titre :- Le Livre de tous l'ont pas encore risqu�� lès ménages. On le trouve -chez M. Bar­ -_-.---_. � r: '!?is, 'libraire] rue' de Savoie � O· 13'. Prix: Les serviettes dont. òïr sé sert mainte­ , - 4 f : et 4 fr. �.o� cent. par la poste. nant pòrir prendre le thé dans le-s�;nai­ sons comme il faut, sont d'une finesse à . -Une petite bascule en 'or , f�rmJe'd'une . � le disputer à la plus. fine batiste ; elles sont flèche qui offre à I'une des' extrémités, d'ailleurs ornées de' t:ranges �l'lllagées., et l'Amour, €� à I'autre , un papillon aus les plus belles ont de� ce -'genre SIti 'on ait encore Jr�ùe à Páris:� � erest à_merv�ilf�, �adame j - �ái� ·me diré.z'-·)�9US, ébmbie� .de voitures " r . faudra, àr' ... - .' .- .. 'i_l yo-us ]a nn. pour VOUSe . promener d�u�s'Parls � ¡_/j�',it.e 'Suis p�$ _�lt{s exigeante :. qU'-l!ne qutr� , ,et }é, ri; fais qu; èeque font f toutes les' femmes �de lm,a: côn;álssance: "_ Da�s uñè'hen(H�UHinée-d;a�toiline, quand le soleil .brill�t-s",ans incornmoder par sa ehaleur, que devenir dans únü,," caleche � ffo1'mée par tl_esz n·¿le¿u;x;? La calèche que " J') DES MODES. AN�UAIRE, ,3'.l\tI. Gerbod de l'Université n060 lacause de ses màux de nerfs. Marchande , rue ' , " de modes, couturiëre; dentelles , faubourg Saint-Germain. gantS,' huit iU., Braidy , ruede l',Arcade ,,,n° 4,'fau. chauSsure, tapissier; total, pour , bourg Saint-Honoré. mois, douze mille francs'. �. Cathrein rue Feydeau', n" ']. La' forme' du �di�a�:, la coupe' du pei­ - ,. * - 0, r ,. tnoir et l'ajustement de la .soubrette sont - � 'Il en est maintenant des souliers c�mme n'uue élégance remar'q�able'�- \:' desgants. Uné fe�m -,--� e comme il faut trouve qu'ils .ne lui vont bi�il . qti'au�nt qu'elle Le même M. HipP?lite je�me ,. que' _ , res .déchire ��s e-ss_�yant. '_ J �n nous avons .indiqué pour Ia teinture dés . . { ---,._. cheve�x, est possesseur 'd'une pomrnade sert à faire o� vient de _. mettre envente au Bureau épilat�ir�. Cette pommade - 'd'Q Journal des- Dames, une caricature nisparaître les petits cÍíeveux -qui la , sur _, un si, effet qui a po.ur titnt:-Les Fapeurs, ou le Jour nugue, produisent mauvais ' " .des Mé�oires. sous une coeffure chinoise .. Une .jeune femme, pâle', défaite, les t _ I -Òr � yeux battus �n 'l?eignoir et en bonnet de , P�NDUL_E .. 'l�u�t�, a des carreaux.' sous ses bras, un . Un amour; sur,une chan­ édredon SOUS"ses pieds', et recoit malns : appuyé- 'petite des à. enfler des d�; , d� sa femme-dè:chambre .�� mère s'amuse bhlle�' verre'd'eau d'or', savon. Les ressorts sons ; le cadran spiritueuse. Sur a<€s" papiers ,épars on l� c�chés 17'1 . Iui-même est dan� r�t¿'ieòr, et au moyen M. Pienot rue des Fossés , d'une dé!énie, le. chiffre de des M��tmartre, chacune . i' JO. heures qui -vient à frapper . ç Se découvre M. rue lVIeslay, n" 5-8. . "/ ef Lepage, ·se reflète sur Ia bulle de savon. Cet .. -. a�_o�r, cette ,14�ll:r:e fugitiveJ�t légèrement _ o _� aessinée_� tput cela prête-à une foule de M. Odiot ruet , ]6'��vèqu,¿ ; n" I, « : . CÓIDmentai'res-.- .: ¡elle Saint- HOÙ01"é. - -� M. Bigl1�ais?, .rue Sai�tHOll0r-é, n? 2.���, o M. ,BGl�lllie 23' cote de Ia rue-.de heli - - 7 ,pres ce11e F " J:\IC __ �' eyd"eau. 'lerre, ' , '_.' o' o .'. le.: u,' , ,', \ ¡neZ M, G Derepas , optICIen, ,qUI a- o',hte�n�" li. A V E II li. S S U il. e li. IS T,AV X. �ur cet objet, im brevet a'i�porta_tíon • � , M. ",Barbier _,: . .rue des Bons :-'En,fans; n? 24. (Cl-devant au PaI�.is�Royal.) On donne trois fêtes allWaùxhall, par -: b"l\I. Charpentier , auPalais- ilóyal, ga- . , " lemame, l"e dilIDanche le lundi _ , ". etleJoeudi' ,- Ierie "de pierre', .n" , I �3'-, côté de la rue �telles' sont toutes très-sui;les. M. des Baneux .Bons " - Enfari- s. �': '. , -,- , - t ._.� ¡ reVIVl"flie" cet eta"'b�u-S,semel)-t• o,' \ DES MOD�E s. toire en , forme de' corbeiIle;' ,devant Se! La Chine. ne nous envoie poi�t de croisées étaient deux petits meubles sup- dessins de ses modes, ,ef sans cesse' les portant deux corneilles à fleurs; à côte modes chinoises se renouvellent à Paris. de son lit deux énormes corbeilles eIba. On a recours aux vieux' paravents, aux ant les parfums les plus doux, et ren- vieux écrans, aux vieilles' tapisseries. A. fermant l'une le linge et les schalls, 1 autre rune des courses du Champ __de -Mars, il _ les robes de la dame; le lit même o a ait sons le� tentes des chapeaux de . . - . �lle reposait mollement ses appas ét', 'emmès évasés comme une cloehe et , , fait en manière de corheil]e. . Autrefois j� pointus comme une ouhlie.' vu les cJlamhres de nos dames -> , ët je me rappelle n'y avoir trouvé qu'une cor­ beille 'à òuvrage; hélas ! cette corbeille t ia .seule que nos .artistes aient oublie de mettre d�ns'l�appartement dé l1¡JS belles . ---...._'. . S�;)ère est un mot, qui, par fols, reçoit pes acceptions bleti ridicules. On dit d'une table, d'un chiffonniêr ',- d'un bois de lit, . -que la forme en estsévère. SéVère se dit , aussi de Ta coupe d'une robe, du dessin á'_une broderie ,'et de J'arrangement d'une ��ffure" , . · �83- ... ',/ r�·�"�----:�-""��-'����'�'� , - -.A: N �'U'A I R_E f¡ DKS 'I.e . panieh-poulèt.est àu'jòurd'h�¡ �ussi ._.' :5t?itgrié pour Ia;gra�ure' q"ue c�lnrdesle[tres de chu_pgé;, et une,' peti té - �aîtresse ���4 '-se�hle:, sur � , c:t a�'t�cl�,., � '�n bànqui�r. � \Ell�, fait -du _ faÏI�e 'p'�pièr e�pré� pour �0l1 : 1 boudoir ,\ comme celui-ci en fait faire pour -ses h:��eanx ; 'elle a un timhre , une vï'- ., '&n�'ûte/. et- un cachet auxquels ou. peut la ). reconnaître ; }a' d���'i�e seule de ses ',le�tres 1 'varie, suivant l�-s sentill1:e.ns� qu"épróuve , "célle' qui écrit, Qtt "ceux' . qu'i,n�pire celui à, I qui' elle s'adresse. :.. I . . Ir, . ." '!!àù:lll{ lés lWllvetz,lités, co,rl,ñ¿ 'cartes de misite, ec-ratis, p'orte - � feuillçs., écri- -, - \ ! \ toires � etc, . ,:t\i;; �u,sse, passage- d�s Panoramas, é 7' " "� ')i M'I .DèspiIiy, -.r�e ,du ·Mont �fB'Ial1c, �u 'coin de la rue Neuv�--des-Maihltrins. .. " .( 'ÁNNUAIRE_ D E S' � OJ} KS. cette réunion- de 'femmes t�·s plus' joii�s et ;¡ ',,:.) � ,M� Boz�'�ian, �u�, de �OtlT,�On" nO?I. des jeunes gens de la l11eiÙeure tournure ", , r M. Derome, nuc des Amand,iers, n'O 9, -'----,f , ,M. Courteval-, rue des Carmes "n' 5. '. marchande de' M_ 'S.. Îl��1er_;" r�e Mademoiselle 1?ertin,' n" '" . '. .' -t- • '. • ). .: - ...�.· Saint-Honoré ',- 1,5�: - . modes de l� dernière reiné d. 'è � " M. -Kalenbaek 'rue o ,�ylefi'f �mou:- , Chabanais, n). 4· ,\. . �,_' . J'ir �ans uri â avance. U _d M. 'Doll, ,Mazarine, n" ge n:, rue 16.. m�gasm, �, - modes Thouyenin assez rue,- Riche- M. de l'École de Mé-'. considérable de. . ; rue '. . '. ;; .. J'.. lieu, était decine. dirigé �ar elle, et portait _·son ;-' -, '. _ - nom. 1\1:. 'Thomas � rue Sainte':"�Ma�guerite f maison dufour-reur-, . , ....-...{_ . 1; 90 A.N NP A I R E ;D ss :M O D,É 8.- . 19i ' , , I J;ieurstabl�au;'��e� lIl'�tièrè g'C'1nre:Vartist!l ( I) ¡grcelainè esi: qui mód�rj��(·� 'doirt .a consàcré à èe travail un talent'aussi dil,sefont le� vases de 1>:òrç�laine, di! Mo, - � tingué 'que .sa patience est. ét�n-d�e com- «Percier (cDiscours 'préli:minaire (te sen " . . '\ " . -, , " "'" \ /' . men?�' � recueillir _le fruit de ses veilles. u Recu�'il: ,dq "décoratians -inldfie.ure_s J ,.! à . )( a pàru' ag�aJJle 'à quelq].1es chef� de ,paHllccmêÙJ.e u:tlC',beauté .et �n� ,valeùr ta�ines rich�s cl Tà�­ 'avoir des' bouqÍ1èts gi- 'telles,' 'iu :elkk devrai��lt i.mpo�f à . nfJalogiques ;,d'al.lir�s ont voulu ombrager lliste !ál�iae ne pointIa cacher, êòmmè " une urne cinéraire, d'arbustes formés de 'celas� 'pratíque, sous (les c.!}dl!its merí- '" .cheveux detous l�s-individusà,qui laper- utetirs,'qul'"loin 4'� a-ugmenlér, 'en dí- , sonné défunteétait �hère.\ '� ,minuen�.le prix 'pour I'ho��e de �ÒÛ{_ . . \ ,: _, _ _ ,Aqú����í-venÚes dorures dmít,Ón éou-' - C�ez un marchand Ú- c!lriosités de la -. pJa�e Saint-Cermairi-I'Áuxerrois, en face \ - )le la colôI_l�adé du: Louvre; il Y it il ven­ ¡ar� des assiettes d.e�porc�1á_in¿, 'si b�l1es, \ qu'un amateur les a fait" encadrer. Elles / . ,,1.92 .:��N N TI A I II � t. ID È S"', lVI\��D.E S. '!93 , '" '.�. ¡ , c'." �es �abl�al)�en m!�iat��ë,' tou's cespay. On, 11:a pas cessé. de' faire de . petits cha 7' . �< sages, toutes ces perspectîves dans le pe�ux, /dans les premiers magas,i�s, de ( creux d�' nos a8siet;�s'-, ne ,-s0!lt qu'un modes (chez madame Coro�, mada�e qué� . '/ ,'({ faux .emploi de�l'arJ., de, décorer, » rin, made�oiselle Despaux ) ;.ainsi les ch,a.:. - ,-( peaux "à /p�tit fond, que I'on voit depuis La me-Neilleus�- qui 'vient de. paraître quelques) jours ,_:_pa�;ni les chapeaux. à,-' - avait été dessinée par M'. 'Hora�e Vernet, haute forme', chez iés-modistes du second' le jour de la -dernière course �ü Champ­ ordre "ne sont pas .précisément une nou-' de-Ma;s. Cette jeune darne �st vue de veauté. face A l'exception d� ;SO!1 -clúlp'e�u, dont Iaforme est'reco'uy.erte·d'�ne gaze citron, PET I T E S o B S E R V .A. :r ION S.' .tout son costume est blanc. Jamais on ne Avec une cravate de' cOl.�lenr, montrez : vit tant 'de broderies, tant, de chiffons, les bo�ts du col dè' l� che�ise ,¿si toute­ tant de cercles. autour des hras., tant de fois elle, est de batiste ; cachez -Tes avec );oùffans "al¡ "'bas', d�' la' robé/��t,,-à··F�m. UJ}e cravate Ge' �ousseline IchlÏre� -,o brette ide �tl�hgu�s,fràÍ1ges. Tout .cela ce- Me�tez .��s souliers dégagés> avec, une pendant a de la � . gr:_àce, tout e�la paraît culotte courte et .des bas à mailles,coulées ; -�imple et naturel, ,parce ·qú'il n'ra.rien qu�, de', larges souliers vous €IIJ.boÚ,ént l� qui I?-e soit à la mode" et rendu parfaite­ ,pie.djusqu'à la .cheville , SI vous . avex-Ie I?e�t. Le lointain représentel'enceinte dr. pantalon traînant. ' Ia. course. 17 DJlS 195 f .' - �.. • ri'. .' \,.. '. ,_1'; d'Andromaque ,� pendule grand modèle ; candelabres 'corint�len:s, '.cassoÍettes �Ùus­ IV1. �b�rt�, nie dé Ja Vri�iê��·, n", ' 2', ques ; 'le tout en hr¿nze doré,' et d'une . , . '\ pre�que en face. d� la Banque .de france, ciselure 'achevée. , et' au coin 'de Ia, tue -"Croii-dés:..Petits- 3° PÓ'[�r I_e boudoir,; un Am¿ur i' ça,chant: \ , Ch�mp�� ,,� avec ses aiÚs les heures (1'un' cadran; . M. Crognot, place du r'pa!ais - Royal, deux figures, runeÍ'epréBe�fantleSilence�' 'nO. 243., l'autre, Zëphyre effBuillant une rose. Cette­ garniture� doit .être en bisc?it de Sèvre�,.; -En acier, en or, et en argent, les , épées 'plus" d�l;_X flacons remplis d'eaux. spiri-'. 'à fa mode doivent .presenter un travail tueuses. brillant, mais simple, et plus élégant en- , MEUB�ES. Bois dorés , étoffes: de Ly�n; bois d'aca­ jou, l° tapisseries des G�belin's� ou Pourvla imitation; ëhamhre à coucher, vases, hois de racine de .velours de soie , p�n�ule" flamb�:au* hêtre" . (i?aIbâtt,e,;�coffrets en '. . '-,' .f, et torsades montés ;d'a.rge�ú,. -, - , cristal - , .en or; éfeignoir ,de ver" - 1 i pÓr.t�anJ. èes' \ l�èil, �()ts émaillés : bonn« É B É N: l'S T E s: . 'J nuit, , .M. Jacob, fabricantcde -rneubles et de' " . , r" . 2:0 Ponr' j,) le,';:sªù}� ;' A.die�<'f: ¢'Hector et , bronzes n" , ru� Meslay, 57.� ,'\ " DÈS�:MOîlES. (; I ,o, ,¡' ,�G" ", , -Beila?g�r : 'rue ��u���Saint-I5ènis. �clacte. Et yO.US vJ;��lez. que 'nós dames ¡Io�cúpen! de .leur m���gè ;�, de, le�rs' I '�n- - . ,---'-" �''', fans? Eh L pour -nieu,� donnez -deur .au I Autrefois . ú�� femme ne c�nl1aissait et moiils l�.'temp� ,d� faire, 'fmr-.íoile.tte�!· - - -�ne '_ �¡ �ais��t d'autres" ) toilette§ :!lue c,eÚe du �" .. '. , --pigligé et?elagrandeparbre,: aùjourd'hui Uile �.ouveUe carleatllrè", q:lii vi�nt· ' la�grandè parure dt mise en presqueen défaveur, o'etre �ent� ati' ?ur��u. du"Journ�l \ etnos femmes , p1us'mode�tes,�'hornenf ,desllani,eS; a pour·,tit:re:_rÂ�erse. €)st, "a�, ,�i�ple négliger; �ma-is� 'quel '-Ïlégligé, un élégant ,eo! l�n� éléga:q.te qui out �té grands di,el1xLou' plutôt combien de IÍe- �urpris dans' uq.e plaine, p�r un orage', j-tigés 'en un jour! Le' négligidè 'la nuit,' paru�e pi�ie épòu�an'table. Ii� se sauvent, le négligé du matin, le demi � nigligé de �e, dé.fe�ent le' visage, de l� 'grèle, ", aye� , la prò'nú�nade,,�'et le néglig�-:-p�ré du soir! lme �l'ribl�el�e. Le _ hronsieur , -fùr�. g�l�nt, Chacu�, O?e.,. ce� :!réglig�s à ses lois, ses (c'est' sa:n:s�.d9ute aans ;¡�, co�{m,encèn1.e�t rè-gles." ses, c.ouleùr.s, sa' nuance: -'et 'Ja d'une passiorl ).� q.tl�t�e' son 'habit, et-ra ". , " ." "" -, , , ,�, , � . . femme quív�e�hle"m:se avec"le .moins de mis s?t:",lès. épaulès de 1I1a'dame, (qui a prét�htio� ,'",à-' pèut - êtr�"'pàssé "les trois al,si,sm'la tête le -:�hapeau de m��siei:U", , �?arts' de sa, jO{I�n:ée entre les �mail1s du tandis"q�,�, n1On$i�ur���a�ns son mouchoir � , _coeffeur . ou' de . sa, femme _ de� chambre. la capot; de 'notre. �eryeille"Use ,. et sous . .Âprês cela , i1Íaiírbien aIlen_prendré l'air, son hÍ'a�-,' le ?Re�itc fhii�'Doi¡: au cºlli�l' ou 's� montrer u"l1jnÚant fn. sod&ié: ou au rouge a�ecJes 'grelút(� ,,¿. Quelle 'folié -f: .TIe=. � f· \;- J _t08 AÑ)L¥UAIRE' Ir �t;�lJ,X váJi€r-est tout. tr�mp¿,; il"géle, i.l fait .une grima'Ce h,ú>rrih1e . :.. �et.la dame" l'i!l,grat�, l�; frip'�nùe�, 'rit aux éclats de l'aventure.", " o� ve�d dè; tabatiere; d�une'di�ension ,', ,(,' �' \ ordI inaire, dans 'le�au�lles :, \l. cep'endant se trouvent des .sérinettes qui exécl�tent des . 'airs; ii Y- a :rhê11jl'e des, c�cllets (¡,ui, �ffrent 'ce "mécanisme vraiment extraordinaire , pûis�Íu'il, a :,falÎu" renfern�er dàrrs-ùn très- r_ .. ' "" .).,. , - , petit espace '�m �essoit" un cylindre, un '_ soufflet, "des, tuyaux de diverses ,gros­ seûrs , etc. C'est princip�lenie�t à Genève que s'exécutent ces bijoux. � , � '" 'r Wk;�at£ <:�it' '-qj� � �-6f I ()_�': ¿ ' ¿'¿.'ud; -: i ,,,' I, � f:y,: t/Hr/M." lX:te ¿'!�k " em' ��dllel' lIJa/�,:' DES MŒDE;S. NOVEMB1Œ.� M AD A :M E et roonsieur á�:i�'t quelques;' .. �heveux blancs; "mais : :il - 'sur un trépied {\e, verm'ei!: :is Elle a beau ne míroir� à Ja Psyché, .Jie Iavaho f de, � ... . 'faîre sa,lal11p� Íl� v�ui p�s èelle d'une wm�Ò; de- �idin�ère� d.� feu�, ; �e lus':"< ; /p'r�b'esse de T�de1 �qüi Ait' tailler la, kls, �t(��ndules, �eeàn��ía�rçs; de a ta:-� '_,;,-Slen�e ,dâns'-ù� 'tRamant.', ,,', riS �e pi�(I_, etc. etc. , . .le ·f()1U'h�tiqu�rê'�_e.t· .\ [prix fixe;'�n peut dans , ces dépôts, c�n�� r . �arer le� .produits . de I'indnstrie actueUe .. '.,.' _ �vec les objêts -de ,pa1'e�t genr�, fabriqués­ mF��nce�i}y.a quiti�e,vi·ng.t�, trente ,cÏ11- . �uante. allls "et a'u-rléJà. ; 'qùelquefois même! llec á�s .nfeublès pT()�e�� de reirang.,e�, ANNUAIRE DRS l\tI o.p ES. - ., - Nós 'tentures de taffetas plissé acheter des' sont aller au .. topazes " des r�bis, des .tant de . petites rigoles. où s'amass, la s�phirs. Depuis quinze jours '. madame ; poussière. Nos autels sans rebords '( tables soupire après des grenats, et .il faut que . de mût). sont d'une extrême incommbdiu monsieur aillevite en faire I'acquisition �. Pourquni a - t - on retranché ' des. tables sous , peine (Je voir-son .impatiente . moitié , -, \ , 'r�ndes_,e,l; (F�utr�s' ) ( .meubles allèr , ces galeries ,troquer ses saphí:r:st, ses topazes., ses d'orée; qui étaient à -la - foi� parantes et rub,is�? voire' même ses diamans , contre I. \ utiles? (".1 un collier de J, grenats.� ) ,Qu� , Le RÙl�tè_; si commun jadis sur.les boîtes. à ro , ouches, les étuis .et les tabati�r�s, était , depuis long-tern ps- tombé dans l'oubli; nos tahlettiers viennent de le faire revivre : c'est avec de petits clous d'or -que sont tracés sur de l'ivoire ��es mots: 'Gage d'amitié.'-Souvenz�9. �-Pensez à moi, etè. . ,; m1'l?or¢l. � on ne mit sur les coeffures chinoises qu'un b-o�quet � puis une d�mi�, I �JllirIande, une �óuFonne';' aujourd'hûi-il . -' " , " »<: t 1 ,< � ,-'¿_¿'", l? E S: M{) n \ è�èú�,biriaison�Jd,e;neurs E/S� J1�,9 , :(�Jarit' une 'telle> et \ langui, M.f ,Amb;'oii�fi<, 1iardi�û , , ��èsque la ,quai' des dè_(�he·�eu.x;.,-qu� toute tête en , 'AugúsFins, n" 5,9'. vièl)t "de, gta��t'�de� livres' dé blanchissage dé différeris formats, ft oil tòíis' les objets à'l�us�ge 'aM hOíjllJlès , et-des 'feinm;es' ¿cint' det�ill-és. ces,Ii.;.ie,s,-se vendent chéz te_,,�gta;ètú� ,ei s:ch�� M. Bro­ chetofi� �a,petier � ,TU� �-ontnlartre", fio: 6,. ---�--;. �' ¡ " '\ :Ai.;N:_N.IJAH RE� ) \ Pour 'l(lettoy_�eJ;-� et rendre. COln;me _n-euft l�!.' re"e�s deo, . bottes �� on verse dans; urie _ chopine de-lait: écrémé une órrce d'acide sülfùrlq�e ;.c� .m:-�huige's'é�haurf� un peu; 'on attend qu'il soit 'refroidi ; �n-' y ajoute quatre onces iJ_'àcide muriatique, et l'on 'agite lég�remetlt la bouteille. Il se dégag� un�e yapeur -hlàlJch�t:rè; on�e }j�'u�he la -� bouteille que IÒ,rsque eette:vapeur est �is­ sipée, Le lait ne tarde pas à sé cailler, on déç'�nte Ie' ser�úin ::tbide .de la p.artie, ca- séeuse;' et onle gatde-pO�ll" en faire j. - � • "-' � ' • usage� .. � .:¡ .• -' '; f f ,\ � \ • 1 _Cflf�. DES MODES. DÉCEMBRE.' Q u .ui D oh a donné à sa) femme un - \ érin , des robes, �es chapeaux , d�llinge., et des cachemires, ori croit en être quitte; et \. point �du tout. Il faut encore à madame . - des fourrures , et-=,,, des fourrures .qui ne nssemblentpas à celles qu'on voit par-tout. - " , . M,adame··3. les nerfs dêlicats., el!e- veut se' prés�rver du froid, �t cependant n: �tre-pas accablée sous le, poids: "(Íe sa r�dingote. et de - sa p�t�rine. I�aJ9u�rp.re doit être, ell cóns,éq'�lence, l¿g�èré �t_ chaude à�b- fois -, et les' peaux des animaux lès. plus rares et - d.es pays les plus Iointains , ont seules eettè qualité, Il est �t-elle redingote dont la fourrure vaut dix� ��le francs, tell_e­ - palatint dont on ne donnerait pas /trois louis, et qui en vai�t- cent. Où diable. 2'2.4 JAN�UAIRE" ,DES MODES� -:va- t-eil se _fourrer', le pauvre époux qui de bois , est oblig� de donner de pareilles fourr�res? ¡¡extréinité d'�n. morceau applati la où veut .écrire. Xi��i �ulIe saison n'est imbiber ton 'Cette bonne pour les place été à- l'air, on marts. L��té il� .sont déses.pérés rl�ce ayant prend parce séchée: � que une taillée trS. M. Ver�iél', rue " V�VîelJn,é, n? i9�; au Il " y à - Pelerin blanc.' déj;¡tlon'g temps que lès glaces ' ' . . \ sont ian: de glaces, les ri- .cDelªl-é:ID.otNir:ueSaint-H9nòréj' nOr4Ij ches près d'es appartemens sont tristes; 0D: .à ' POli1ie�.r I " J' , '�n�t . I, ,_ j ,', M. Mareschal ,'rue chaqu� • croisée double paire de ridéaux, .St-Honoré ,'no " ,UI, \ - , , A' � "pres l'h�oteI 'dr"A-,.'"li (.( 19re. r . J c> , La mode enfin ,/ M., �ouffañ�_: nue ,des Petits.- 'Plfr,aît' 'avo,ir adopté l'eau Cl!amps, ' vis-à-vis .dlarifie_e .et dépl./rée du ·p·o¡'� Saint --Paul; celle ' ae?"<�.on�-Enfans:- , M. Duruflé, rué Que.I'on vienn� dire ,maintenilllt , Béiizy� n?: 20" p�èJ n' !]�ne est è.eUe pas quelquefois 'd'accord de, urie la Mórlnaie avec .. - M:éra ;r�� �sage prév_oyançe., ret .Ies 'M. �ai�t-Hono�é, médecirís n? 51 vis- I It'�.v�.� , 1 qui 1 t· ,hvis ·l,es Piliers recommandent des cett� Halles,' e�u comme PIus � , ��M., pure et plu& ,Andibert. 'et 'Ç]látelet rue Sainte salub¡'e�)V9� - seulement ]es�" ¡ �. ,_' . pers�nnes Honoré n" ,q9\��u qui Grafl,d.Lwll.�s.. 'tie!lnentun 'cert�i'n ét;�ld'�' , , maison, mais e�cQr€ . cenes . 'qùi, � ll�ont , 20 I' . \ �30, DES MODES. ' �2ji -J / qu'une, modeste aisance , eI3 font usage; aussi lamés en a:r·gent., la toque est bro­ �t - chaque 'mois on s'aperçoit qQe le. nom- dée en lames.Ie colest cmrver't de I' -' --' � diamans; . l}re des .. voitures" dépendantes de cette de, sorte qu'au -reflet dés, bougies, une �. �dmini�tr�tjçm�;d€vi�nt phis considérable, femme " "; l. ,\. . _ est, comme. c�t_ astre radieux qué � \ _:<- I J, _ tout -le 'monde aime à -�oir�. mais. dont .au- r .' La cornaline.¿-ouieu� -de gros.eiUe � cou­ cune vuene peut só��;nir 'l'-�clat.. « , leuF a� .citron.était à. peine connue l(le nos Une, jeune demoiselle porte ,J..au .ëon­ -parisiennes ;' abssi e font-elles cas des tr�ire, �m� robe de 'satin � blanc ,. jamais 'j . VOl '-' grand 4 J _' ,¿ . � • _ perlels ,de ces deux de nuances.> 'qu�! viennent broderie , 'point ¿re .paillette�.'- point' de �<�être.mol):ltées·�l:f"pe.ign�s, en épingles/et dia}rla�s .'; elle fa�t, consister Son pl�s- beT - � en coltiers, :. ,�- ornement dans la . � sim·plièité. Au, li�eü/.� de \ - , 'e _ . repousse-r les regards, .elle les a ttirevL'iiné brille d� ses attraits -naturels , l'autr�-, I d'une heauté'-e�R�lüi:tét: ;'''l'une' �sf�elle., l'autre le paraît. Toutes deux'y'trohyènt ,��". . � � leur . cemi:tè'. � ��. _'-.._.-'_ .D KS -�[O)) E S'-: �3l, �fj2 AN.NoUATRE é I ,'r � -o, _ ' . . .\. dans la ••.. , .1 que plùs l/'sur, une Les d' "�lri :v�rge. chaînes hyme� dans d'acier., On, 'tro-uv� de. eonsistent ces caI!nes câble d' - or �o_ùs ' de-Ia du côté de là ,gt:0ss�u�r du �()igt, �t� dòI!"t le. pass*gè-�Feyâ�a�r, bout� sont rJl,eJf�:ydea� ;,�ti �es' ifhez I'inventeur; M� rénnis':pár- Sag-" .' uJ;l'làrg� . c'�d��ias. 1 1 .' , '<>"". '., �n . . * �, n���, piertë 'd'ure, su/r Je{�rRelf'e$t des VieÎ!llep-Ai1�riettfs.: gravé le moë .rue' _ - � r. éternel!' -'" ,c�r çâble�" • ' . d'2! est .si • . ,eom::t, qu\l. ,1 f.' I ........ I _--, � . ,t semble .devoir \ 'gêner le cou auquel il sert " " r ;' �C.H'AîNES D;�ri�b� _'.' 'ET ])-')"�YoME\N. de parure ) ;/mais ces ?-an:�,s savent � .', o, :. bie? ql:!e - ¡. , J '1' le f o _ � '� , câble- ..Tel� . sorit .les nò:rits donnés à"d:es colliers �'s(�lastiqüe:) , ," ',_...J, r . . ',," et à d�s'brac�let�nouveaux�que ,quelques. �lles v-'�e. ule'ntÙlett�è èp- faveur. - 'ó4 Les: Ñ c?a�. e - ,�€1'\a'amour.'n'ont· . • ni commen;ce,�çnt· ttl s. Yfi�; -elles fo��e:p:t� plûsieurs tóurs1_e,t.�e,' �ètú1Íppsent d€(, pelÍ1s anneaux' t��s � déliés , .au'!' milieri ¡'aesç¡u:eî�l sont a:tt�çh�es des . pierres mouvantes d�· .div���es couleurs,. L'�r�.;;lngem'el\t 'de f·ce-S pîerre� '-,(lonne des ori;ots , même, des -pJ:irases �qtiè�es.o Il y a _ ;lu� .d'esprit, plu� de sentiment-dans deux an�è�u�,.·d'une _chaîne "d'amou�1 f < ANNUAIRE D'ES ',l\10nES. Comme elles ne répandent aucuneodsn-, ces, soit- de ca�hemir��soit de mérînos . I , - on peut occuper un appartement le jour noit se trouver un petit r�ha� de soie. Les ) même 011 il a été peint.- louts de ce ruhan sont renfermés sorts un Les couleurs ll��i-doniqués se vendent cachet; qui, d'un côté, porte la griffe - chez madame Cóssero�,. rue de Thionville, îemau» -,_et, de l'autre, un timbre sec. n" 2.0. La nouvelle demeure de MM. Ternaux .: ',> est rue des Fossés Montmartre � 'no 2," B:aODE:IÙES. , ancien hôtel de la Banque -de France, près l\'Í. Lagrenée , p�intre, a emplové la qu�l­ place de� Victoires. ques mornens 'de' loisir à -composer des - dêssiils- d�, )5rodenes,: le�-'-damê� nous On -brode .des 'Y�o-beS-r 'de tulle Ie :1".... I pour _ .sauront g�é de leur t,annoncer,' que les six bal, non-seulement en paille, ce qui déja �âñ{e�s de gravu�es qui forment- la col- produi,t U�l' assez' joli effet, mais' e�c�re ' , r Iection- de ') ces hrodeoies /se trouvent chez, en' petÎ'�s. rubans de, satiu extrêmement: Ivi�. :M:a�chànl,;grrav�ur, rue Saint-Jacques, de:" diversé; c�ule-�Hs. ai�' .. etroit�-, ft 'Des . nO 30. Chac{lie cahier COl�t� 2 fraIÍ�S� guiUe;pl�íes et �ein}¡jàhl/es à des passe- lacets, il;troduisent ces ,ru�ans dansIes 1\. tous les s'Ch�lls de MM. Ternaux trous du .tulle, Les dessins sont 'faits ex­ , qui ne sont point de� contrefaçons � ei, près po�r �e nouveau genre de broderie. '- de deux en deu� a�ne's, à to�te� ¡'es piè- -,' ! nES ·MQ�PES. FTI¥!lRS �,Â�TIFI9 ÚL'L�S� l1A:NUF,ACTpRE n'OUVR.AGES EN _fCŒR." e Dans d,es vases de porcelaiíie et sous Ghez- M. des cloches Schey, rue du Faubourg Sai�t · .. � de cristal', chez M. Fléë-helle,s . . , On' Denis, nO 93• passage ��s Panoramas , n" 5S. Y trouve . 'aussi, des lustres. L u '5 T:�R E S;' '\ )\ "e , , VOY�,z·-Fablic4ns dé, bronzes � page :i.76'� , Et ªjoutez : M. ,�uverg�r, fahricant de lastres ", rue :cyeu��, ,I?es' Petits ... 'Ch�nlp}��. > ,no 'I - 65.... - : .' �,' � < , M.: Noël, l�mpiste., rue Vivlerin�\>� � .. -'�_:--._-'-_ �,l\fACÚ��1�,E RÚ � b x� nO I I ,.� au coin de la: rue CoÍbert." C, A ,"'QlI�Z: M. Q�i1let, '\lampis't�, rue du Roule, . , "T Re_mmlt" rJle, de. Bondi,- :ó.�8, vis- " . , .. à-vide cÍíâtea� (l'eau. ; M· Ch�,got, rue -de Cléry, n" I Vous , 9! _�app�]ez-vous ce temps déja élQI- �I. Sc-h�iu� ��lais- -i�Ierie de gné, où .nos bormes et nos fraters .nous - Royal , PÎèrre, n� 41, ç6té de Ia rue de Riche­ relevaient les cheveux du toupet aveé un. - liêu� hon bhon de pommade forte? Nos sour­ Voyez. -ensuite Graveurs Irances sur, criStaux" n��taient' rien en comparaisof rle -_pag�'.I7_8. I celles ' que doit éprouver �ne femme coef­ fee à la chinoise. N�n-seulement les che- !�'i' D E S M-Q/O KS.I . , veux ,�nt �;e 'dirèGtiò n' qui n'est pas ba- Madam$! Fortier-Mpnta�rie, ru e -Neuve- , ��re1Ieímais Ia'peau est fortement tendue int.Au��stin, è2.0 ��fait desreprises» s�r \ le .. . front, . sud�s' tempes ét Burla nuque. __._:_� , " /� ' '-.... .. � --- :'t'- .. A�,�P�CE.S�Dt�EJlSE.S: �l}f. Maehaqlt; teinturiêí·�è,t appr�tè�r â � .passy,; a qua_trè . .en'trepÔts Ú?al.'' is, savoir: , '.. de la � ,J • • . � rue :¥rdhefe, o . ... n ·10; rue-de Riche-' lieu; n" 44" .Ímed'9rléá�s�Saint�aon�ré, J1� 12; � et rite. du. r�tit:R'eposÓit.; nO 5. , .JVC�sdeI:{lQiseI,ies B�rtoil't' et .co�pagnie, _ '�rne� du . .: F'a\)u' boQrg' Boissonnière, a '_ . l1H7 , :' '.' g�uche '" en �ÏJ!�ant pàr le B�ulévart, re- mettent à :nèu:6'lés .. ,_. çachemir:è� ""'les tulles, . , '. .' '.' '� �'>les , crêpes et les' btoderies en -¿ir et en af- í · -gent; elIés ¡Oillt aussi dès �epri5�s_peraues. ..J J . '\ y J. "Semelles de 'c"rin l': imperméables,. chez la diable. On ,dit qu'i�s sont dé province � madame Bourljer , 'parfumeuse", le 'rue. 'de je croirais ass�z à la mine. joufflue dg. l'Echelle Saini-Ho�oré, nOg./Ces'semelles l mari �t-à'la fraîcheur-de la f�ínme. Nos� '4 sont- en ,dr.ap, (;)1�' en chamois; pour n'ont' l�jS p�r-isièns_ pas, cet. air robuste, nos dames, on en. fait en"pluche',de\:soie.et parisiennes, n'ont pas ces cQùleu,is,' ver- ' ' en yelou'rs.' \ .., '\, .. tmcilles', ou du �oins quand eUesle� o'�t, -, " o • __ - c.e n'est -p�s toùj_ours if si.bon compte. CÀü¿ \ \' T VR ES. Du, reste la charg� es} drôle, O� , peut , " IJ10nsieur Garr/h¡ ou plaisanter les 'gens de céîa I'introducteur des pi��vince, .ne -! ".';' 'modes! I leur, enlève-ni leur f6rtun-e , , ni leut', �anté. "1, ,J , G��- " ,'.' '\ . " , - �; .... .;: '\' est un gnn:d,' garçon , . 1l)�igre: ¿e't .plat Nos artistes .comme . �ne·:-plap.c,he ·_t�_��all�e:q.t déj'a �ux ,bij�ux . .Il lipara1� que, son Ide tout nofll�rit' genre en', que no's petits-maitres don­ ,¡p.étier)e mal; revanche il �e�ont' �n cádún: au· I�r l'hábilí�"l?ien.Habit, pantaJ.� à qui renferment p�utôt un�a�illoIi 'Q�U - qui .sonne plu� �2( (L. / .-J ,24y. A ��NU AlR E , D ES M , 9,0 ES. - ..243 �ie�rs.,airs:,·à merveille, De par�illes mon­ D�ns: uue de� premières lettrés; Ia con­ � -tres -ne ma�quen-t7pas,l'h�ure av�c' exacti- ' : -:.-. ' - .,{ version 'de .mádame de La V , - allière, 'cst . -tude '.',mais font " pass�r .Ie temps très- . rac�ntée avec 'X" beaucoup de finesse >et de malignité .: « La .paùYÎ'e _ personne ," a ,tiré - - r�. _ - , � ,', - " :_ � _ � ' . (jHsgtl'��la- He d� tolit; elie n'a _ 'Tou�e� pas-1vou1_u ' .,; '�es pier�es 'so�t à en; la;moar.,!.a�is � perdre ùn�,'a�diétJ" \ üiv��ses uf Ul?-e Iarrne.; é.ptr� ' on formait- parures�;', aiijour­ _€'st, 'I( huit durarít d'h�i aux Cârmelites. eù �on le�' �nêl� toute�', . - _ jours , on associe même '- « et p�rl�s �t �lIe' a v'u' ses enfans toute: -Ia diaman�. Cour; '��s au� aux pierres de «c'est-àîdire c� en' reste: Elle .fait - . , couleur. Uner�lég�nte-Idr qui ,3. nòs J.òurs res­ (,couper ses be'aux mais él seinbl� �ll� à une sainte cheveux; ou à une' madone It gardJ deux belles hóucles sur - ,Ie front. d'autrefois. t ' \ I -.,.J fi Ell� �c�quette , et dit merveilles, EUe a�­ - « doit sure qu'elle est- ravie d'être se trouver d�s une « solitude; elle croit être dans ua desert, >= C( pendue à cette gt'iUé�) , � L�ttre I7e (anné�_-I68o)-. ( Disons un ' - �' _, ;' ,�"é�iiê.i�ux,. ,�Mò r.>rróuvé ,:-le, jéulli et le sam�di sái:nt." " . < , �ettre .26f' (�'683 ). La 'Éémhle. q?-Í; �Il «a.&�ínt �J�cqq,e.s � dU:�;lÍâut - �as;'.iaimé ,\ 1\ N NtU A nÜ3:". _ES ¡\lOrD-ES. �( tout �'à_'f-ait'-sa mánière de pr&olíer: elle . :" ;vise à h sln;tid�tf, apOstoÚ�u:e de M".Le . , ';à$�" D E�S,"'MOn'ES. ,<�!hi:, j ,', "�'o ��\f(�tel't �;" plus �.}iNN,�_A,�lt,;' -: Juste avec .eux, orr tomhe dans 'Le' ttre'2S� " ' "d ',l..'�a,d��e",de'sévigné.p?,1�', , ',�- ,'�, , ,e ''Y''e',lllOV·tm,te t' à'ré-di2'er¿aes; '" , ,C"f.,(Tav'.er, s.î"on:;.'d..añsTen , ,íb,a'rras,"'etenfindans, lllpeu sOlnqu_ '�� , u�,' :' : llllt�es, «. "n"Ae�dl· "': eu, '�m' on �her monsieu,r,,' -'race. ' » :. :.' J . --, �;,la,: dlSg, '" er - "j'( ,.., "Ici 'vers -la , i , VOl a fi,lll, ce n'est pas '1,'- tou,t ce mon ;.' ' ,me.,,/ " que ' , '"",,",' 'I . '. � 'seu/' lem,ent 'I, ','''�: ,lmagl,nf at�on {. _ c' " 'sans" sans" d1,l . , caquet, ce, des I, ", so�t la�tJeter sur 1e i�arlier _1':"". ,'. art" or' ' pells:!,!es morales �F, . � . l' - .... , , '\ "'. " ",,' cr t a course de 'tres;- profondes, , . , "', " q:u� rlévoilent { arrautjemen,' -' plum.e..,» ' une, , ",' le con-, '," '�f , .' '", " - , .-, , '"'" Dans une -1e tnre, ':e'ne avaitdit : « j ecris ' naissance ,_, exacte du cœur-humain et .... :".,),.' par- ,_ . _-Ir '. A , , ' 1:Iè�uherern�nt , du , Sl vite des que Je, n'e" IlO' sens . . '"'. pas:'», .Nous. cœur femmes, .. . ._ � " � , I, J, ' ,- ûensons que"l'on a eu tort de soutemz Âprè!l ' , . ' qu�f�ues.mQts.' '"drmr,la �� M. "' ,( Tr�l�ve, _¡ lue madame de paufJre,petltepoltrmc SéYigIJ.é l'e • " a-excite.un saignai� styl� . • " ." j, 1 f� elles sont souvenj; " IO' Jlg 'D'ab,ord -intérêt, le. Ile ses lettres. , ? " caquet reprend, mais il , " ,,' " . : cache ',- " ,_ eS-lnCOTrecte s ensuite' c'est l'abandon l se, ' sous -des .: réflexions .d , un grand '- " _ !' , " " _ .J' � -. -I la et l'a sens. de reyien�:à nature., " propos I. ".'" �,': IG,ettéduçhesse.Ul1,),grand 1esprlt '"'>g."ra,ce .r " ,I _,' I 1] ' beau de } ',> "", et ,,1le Ia lui en font tout le-charme. -" . �. r caros�e velours. avec la pense�, ,q t nOIr, ' / ' < , , . , « heus�� ét¿ffee' des mieux, unè"' calèche (� de 'velours aurore; ., ��ir",: �t point de «, carreau à ,I'ê._�lise � Cela pal�a-ît' tellement f; désassorti qU,e 1;11011S 'en- dè:rhandons jus.. -. C\ ti�e.à . Port.:Rô�al.-,C�r. un�car�eàu modeste � �� 'Pàru moins ¡lff�cté aveê. ¡�rit de ma- de l'aíÎl()�r,� et l'efupi «, lnjficé�ce: · ;. gii:u: ¿�ve' ,singp.t�rifê qn'i� toUS" Í!;S �ge�. llrix: I o.fi-� ; à�Paris b êüea' it. faut , �xpIÜlùer.à' tout le monde. ) ¡ - D E l' S M O DES. . ,�53 Vilquin , marchand destampès �:m ,poëte chansonnier a _dit 'cour que> du Palai's-.Royal, 11°-20. l' , ' -, ' ... " ans cè mon'c' le la 'rnoztlé rit de l'autre' -----' moitié'; au renou�el�m�nt' de' �l;année ',- ; . . r: .. Tel hermite du faúbourg Saint-Jacques, la moitiédu genre humain r'it , et l'autre tel solitaire de la 'rue Saint,- Loui's,' de- �st prête à pleurer. ,Leg. enfans ,.les .ado-./ , \., meure- 'toute l'an!lé£i _renf�rmé .dans sa leséens � le� denïoisebles de' quinze it sei�e' . \ chambre , q':;:i sort vers la' .fin de' :> , -dé- ms" les domestiquêsç.Ies pauvres hères', .. ,' f • ""\ I .,' • .' .' cemhre ; .il revient comme un, spectre, mbhan� leurs , " pei'll�s. elt le_ur� fa¡tigU'es� , , faÏI�e. apparitíon d'un - instant- dabs') ce �résentent des visages rians et .heureux ; .< ,./'fn6ndé. aùqtH�lEil'-á re��n�é p�'Ul'.jarfiais: ils attendent le premier de 'janvie/av�c. " l� "g�anèl- uiamàn_�,', le " g)ra:r:t�d � oncle ', qui impatj,e�c� ,:,.l�s mamans',]és . onil��',"lrs .vivent tout�,1�année .retirés dans.leur châ- vieilla�ds , ,le�. maris,' les parasites, "l.es r , _ teau, font _attcler leur chaise, prennent Ivares, -ltis. 22 , /�� ·�o�. - ':A:âS"'N UA IRE - :Q .i �� �9}Xt�.S_., _.' �5.5 �etlrêüx 1Jtrçi�#&tre"a<1ue ���it1i 'q-ili �'èç,òit. dont la prospérit� >n� 9étt� quelquefòis _'l �·'7A�\i"l��emi_er- 'de .:l':an·, la nú)itlê�� ,�ohtl� que d'un a�', 'se gar�e bien- de rel)l�réje'r _' . �ae�enftri'b�a:ite"tl�1'�u:�!é .{en.tte pedt,pas la providence de cequ'elle.vient' de taire- � >s�·CC:O·�fei' sans�,ê ùorlhC'r JOU' �� ,.- .. -, pr�tfi�ttre pq�l¡ll!i. ,)! 'l)�«}' ! �:�mpl�; �iUJ.(trr�g.e�_ l� r �ie.l <. �� ·.wll m.oihs:·qu�!true"- éhose .. 11le�tèu� "Mux q� �Qljri,,�îtrç·Je tot�smtiOÎl, ��C9!e qu'il croit q;tie,�'�verÛ.r - ��. ¡ II,. �gA:erré�aJ:�1o' - . � . .1 ". .". ;.des�«l§e. \14 . B.lª-I\chiss,ag<{ ti�iYJ'�s .�e ) ,_ 21.8 pªnnes �5á , ) Bland isseuses en' .¡I fin, , 3¡6 ÇalInes 'C marchands de.}, �. � 59 Bonbonnières , 1-79 �a�nes\-à 'paraplu�e ':.' ��3I t (bag.iès à Bon�eur ) , 22 Cipotes de p\erkale ," - Ci f)I _ 1?çimetie-rs, 168 Caricaiùr,es, l,5�, W4,)-I92:.� 19-7-, �o.�" �4o � .Bottes (composit-.-propre ,à nettoyer les), 220, CeNclcs .modemes-, � '(g.'- ' Bottiers, 131? C�aîne¿ d'amour et d'hymen, �h Jr � .Jloqquet artificiel , "143 Chaîn�s de montres, �o�,_ ��ô c/- Bouquets elf ch�v�u� , 189 Cnap�au� C grandeur d.Ç�1_,_ �4 - �(Hitiqties (luxe ,des) , 169 C�apeli�rs .� (l! , _ _ _ ]lr:acelet� i��oüs, 128 Ch�m�nées - (g�rni{ures de) �-_ :Bre1o,ques . '., 61, .67, 85, 106, 206- ChiuQis_e (GAeffqre à la)�. ,J3r-etéIïes , 147 C�in9is� de lª Cl�al!��ée d:'AÎ:!t�l1, , B�'òderie-". 88 , .138- Gh�M�e �è Yfovip Ge (la) � , , . ' ( 13roderies ( dessin�' de�) , I i34, Ç!Fage., 13rón�e doré (manière de nettoyer �e), l'I I Çq�ffe à la Chartreu�¢ -,' ,- Bronzes (fa�pic��s- de) , 176 Qo�fferirS , 20 _ r�A B L ty. -�f6� . tQIlanS . � surprise, Gants • < :gras, ;, Pa:g-e.g .� . :¢crans chinoís - Garríçk.>-(lvq_O� l'introducteur des , mod.�s;�4� E'!Jlhau�hoîrs (Jábrícans d'), 131 Giheci�re_ l "j .. '"':_ . \� - '>6� , . - �n£ e d'argeL\ '��,> 24 . POllunade épil�.toire ,. , ". J ", ;75 Scçau�(.bal de), f. l4.:f - �bfmlli:er (lneuhle.), ' '6í Selliers« carossiers , � . l7� �drcelai�e, 19q Semelles - imperméable-8, r -. "_Parcelaiu_e (manufastures ae)." , 60 S�P�EM-DRE, . . - ,.... :' ��drtra�ts, Serre chaude., '103 _ Rartraits actuels (.critiqùe des) Sé;ère , (ridicules acceptions. du mOlth J.80 ( '" ve - �Peudre dentifrièè, - _ � Soà�iers, . 165 '!Poudre -' et lique��.· ttanslli�tatiYes., . SpaI'_té�ie ;- . 159 r.. \ . , _ji ----Poulets (létfres), Sphè�e (écritoire,), 65 • f ,��T·. Tapatières , ' , , Tabat.iè';ès à �se�i�èft��_ . Tabl� (',servides .He)�.'- � TabI;ettiers , � \ !l6S, . "':TABLE '1 ) ,.' I,.. ',. ,'o . • _. \_,_ '. ''Faéhês� (poudrè: 'pour enlever �ésl�' Pa.g� 239 taiíleur�:, ' � 44 . ( 'nliÍlems pour les·,d��s,. 81 , f' Tailleur pour les ,�nfans ; 46 -A. . '-1;apissier� � 2 I ·A �RO _ CM.), Md'd:étoff�s desoie, 208 :feinture .page de Goldsmith p��r les dents , IIg Alexandre_ (M.), Md. cl'étoffes de soie, ibid. Tentures d'àppartemens , �o, 3_8, �n6 f: Alvisenet (M.), eord�nnier,� '130' Tivoli, 163 - 'Am€tt� , Toiiette ( Madame) , chinoise ,ínódiste 7� (la), caricature, Annette ToÙettes " (M,adame), .C les J t�ois), módiste'� 78 ' - .. As4ley (M.) ; bottier , Tortoni (eaffé de)", i ' .. j Aubert ' e M.) , passemen tier, Trousseau, � 'A¡lbi�e'au ( M.)_, fourreur , 5,0 Audihert et Chat�leí� (MM�)-, ÍVIds de dl'ápS; �28 'Â1ldtffran'CM:), " dkhtiste; " '" •. 64 ' 'Aligfe (:l\n., cai.f?���r �. <, :. : •. � '. �7? ,�:··'·B .... ¡ I \ : ¡ - 2-t¿p TABiE ·DES .F'ARR1CANS ET I :/, !d�l\clf�N-nS� j 17l . . . " \ . Bannes (]VI.), marchand "de · rubans" Page 79 Biennais · (M.), .orfèvre � (\. Dage. l�77·. Bàrb�y-Petit tM'.).'i �a�ch '45 Rouehei'( M�demo�§e\l�) ,,1J1pdi�te, . '_ "f �J?asti�n 'c M .i,. c.ar�ssler, . - '.. ' 173,'. Boucher ( M. ): parfUlÛ€H,lP, \ I, l1 .- Batài]Ie C M.), t�pi.�sier f 21 B�u�her- è M�.), l-ua;ph't�d de draps , �27 Bi taille tM.)·, pa�fu�eur;. J,I? B01;11,�rd' CM.) ,- tap�ss'ier ". M B�;u�s.e. (M.), 'hor�o,g�r,:,", ,70 Boulé CM), marchand .. de 'j' dI;(\�S, 2t7 , a,euet 'c . _ eM.), fOc�rI'e;lll' 50 '- , � Boullief. ( M.)" od���:re�, J v 77 · Bedel (M.)" pa-petier �? ,,' 1,87 Boürd�e� CMa_dé�oisen�)',.�Ii�:diste� r"'7S- .- BeJIang,er (M\; éhéniste, 196 Bourgeois (Mlle) ,coÏ\tùrièrc: ea co�sets ,: 8� .Bèlmant CM:), chapelier � I ,rÍo�, Bourlie� (Madame) , ,- �4() ,',\ Bel'chut'(:M.), tailleur p�rf�llleuse, � . 4& Boutrais CM.)', chapelier, " �' �OI . j J3el',nar� (M�dame , y, �()diste,¡,¡ ", 77 BO�èri�n ( M.) • r¿iji'iur �. ; Î ifS , Berthet ,i' (M.}, tailleur, 45.. Braidy (M.);, carossier, 174,' ' Berthomieu (M�), .' ' cliapelier , 101 Bretél (M.) ,: . tailleur �:p corsets 82' ç.: -; Bertout (Mlles)"faiseuse�cde'.repris.es, Bricard, E M.), tan.issier,. _ � '_, - 21 .' :B�rtrand_CM.), I� cOff£e�r, .. Brldoux-Auguèt CM.), tahíetier , '99- 7'\Ber"tro� (M.), éordonnier, 'Brièr¡e'� (,l'i.),' parf.u;méùr" y t � 141i � B�sJ j{), parf�meur',' ",1 . \" . BringoUè eouturlëre," 8� ) Beu f (M) �,�oàilIr�� . (iMade�?isIlUê)l . . . > Beizard (M.)" tapissier 2 I '. , ( 'í ", r. '\ ',' �7�' TABLE DES 'FlBRICANS ET MAR,CHANDSe' . ');73 �lh'Q�s�oñ _tM.) � dentiste -;-�\ • Chard�r· (M.), coeffeú�,.,_ ���' "'J �,Page' > 2°4' ,- �:Bi�'èheton EN.l. J',' papetier, 219 Cha���èrell\�.}, b�. 'Coutan (Madaillcf,.'dbitu''rière en teor:_sels ,1·::�.2' ,.Ûl'��4ª�d (Madame_)� li.òSè�e'" .":." :3� . �74 T�f}¡''K DES FÂ1HUCÀ�S ËT MARq-RA1'rDS. 27} 5 , CFoisille- (Made�oisene)-, -l:ing€_��-; Page 35 Oèsje.ans{M.), cOlldon\. pour femmes�p .. u1 ·D. . � Desmarets (M,,), den tiste, 6� - f,f .. , Dagoty (1\'1.), 'fahricantde percelaine-, 60 (Mademaise!�)-, d-i-ste, r:¡ 6 --DaguiD Despaux (M.), �� march. de nouvean1és, - . Oespilly (-cM.) t 86 , papetier., _ .palesme (M.), bottier, DespTez (lVl.) , fa�ric.· We pòrcelaine, -:Dalm0ut . 6� . (M.);�tti(?r-, I -, " j '. ... . Detroyes (Madame) C01:ttll�,. al c0_r.-g.. 8� . , '.�, . Damotte ,tM.), marehand de ¿baFs, · lïevoix � (M.), joaiUîer', -" ¡-il �" ,) Darrac (M.) ,�ta:ei�Sle-I' f ? !KI Didi�r. : (�Iaàame), -ln�ais�" . 'l'Iv Darth frères £ahJfÍ'€. 60 .. (JUIV!.), d&. .2 I 8 ) J �'�cl¡el (M.), 1�arc�an4 'çl� ' • 4r�ps'" ..228 . <, ' '. 'Louvet CM.), passementier, '13 .�·i.chiels. ('M. )i��o��9:nnie.r pour femmes, 123 . r . .lU. ,Micquetti (Madame)�; couturière , ,81 )vtach�ult I CM) ;"dégraisseu:r;, . Mignerbn (M.), M� ª'.étçffes de soie ¿ �o'9 t . .. '��l'g�et (M:)., t�pi��iéI:, I \1 � M.illirou; (l,ro) ;.�ch�peli��(. ,J ) .!OJ . ·M'airé ('1\1-), tahletier; ; 98-, MiI?-�tte (lVIada�e'), ��I)gÙ�-; J. 34 . ··Ma�yïHe G·M�)" t�'Ïlleúr pour. �,es enfans ,'¿: 46 'Moi�s" ��'-CMadaní� co uturière "_ Br J"\,Y';, '.' f" "" \ .Marassi (M.Y·, .fahÍ'ic�út de ·ínasqu��"., MQntcloux-Villene;!lv.e (M.), Ft de porcel. 60 Marchand ,(Nt) , .. �ra:veu>r<, ".' Moos (MJ, cordonnier �_. 1 129 !\iare,S£hál c- M.); ,�'l�rChahd,. de qr�Rs'�; Moreau ( Mªdame ), '. . tirigère, 35 1 ¡ ,Milrgu'�:rite �� M), jo�-¡lHe:r:,' Mo�n�.e�-.( M.Y" marcband-de rubans s. . 79 Marmont.( M.), ·âènt.istè�· . Mouffang (M.), marchand de. dráps � _. �28' .. , Milgn-i�r (Ma) ,Horloger •• -_ .... �. 70 f\i�r� (Madame); l11__o�iste �_' ('76" .. ..�N.�� "- . 2S-� TA.BLE _ DE� "FABRIC'AN'S � -. {M.), ET lVlARctU.ND�. 285 ,No.ëI lâ-�piste ,- Dage· 237 _... Noël { l\'lad-ª:me Plaisi:r ): ,� lingère, .(M.)" coeff��£,. Page '�w4 . 34 . � Noël Plantin (Mádemojse�Ie) • (M�dame }, lingère còutur�ère, 80 , � 35- PIuchet (�r.), marchand d'étoffes de soie, 208. Nourtier (Nf.), marcllapd�'étoffes- desoie, 207 Pi'adel (M.) ;maTcBaúd ,d'ét0ffes de soie, �o8 .0; Prestat '(M.), marchand de draps, 227 _' _ OdÎ�turièFe , 80 Rasp (M.}, carossier , 173/ 80- Ratier (�.), marchand de. draps , 2-�6 s-Ó: 80' Ravno (M.) , fabrioant de bronzes . , .:_ Ji76 .16.9' '" Itay (M.) ,: ,Ile�r:i�t&', 80 . <,8 Iby�o;n·d . 'J .. ('Madame .) ,,'modiste, " f ��: '7!' R�in.�Mathime (Ala)magasin demei"c�nes,.7.3 "- . Reine C-Madame), lllófliste, 7� . Reñault (M.), mâr.ehatl.d de cris�auJf; �36 . Re�oua�d .CM. Hil�iT€) , ,passementi-er, .14 Restout (M:), marchand dé nouvéautés., 209 IÜbán (M.), parfumeur 'j , ])44 llichot (M.), tapissiër 22 , - l\ing:r (M.), cerdçnnier pour femm¿S., 122 , '. TABLE�DES FABRICANS �ET"'nURC'RÁN1}S: , J{�h�ne,a� C�.)�ij�illeu·r 'il8" . ,;',' Sta�he (M.);, tailleur' ,_o �\ Pàg�" 45 .R�get· (IVI.) ,:cqàp.eJier ,": ro» ' (l\fade'Inoisel�"e r; ; I . 'Rougèt (ív.I.)' l,)lOUier�. St��y parfumeuse "., I�� I Io �ó{lillie:p SUSSJ�' (M.), (�.), p'apeti�r; "_¿ � • _,' -:> 186'- cordonnier pour Femmes; I �3 ·',T. Rq'ze'Ti\�'.); � culottier ,,, 47 ,::., � ""', > ",-' \� S. .': ,'., . S�iIÍf.. LaurentI ·'.l _Ma�an;J.ey, JingèFe' JI' ',� f' ,,35 JSªg�aiéit.( MadaÙie) ",,, K: . ' c'òut�uri-ère-,. sf ." "',-"" Saghier (M.) , fabficé;lni de'paraplu¡'es, 2,h "S_�k�sky ('l\t),�oùier),' 13,0' , Sakosk,r,( M.) , fahricant 'd'e�baúchoir.s, 131 :} SàHamhier (M.) ,��a�chfll�d d��aRS,: 2'27 � '. ' .Sandoz ( M.),;, taiHeÎu';", .,._, 45' .s�nI6t-Voisin (l\:Iada�é)� coutur;ènC�I:$�ts� 82 v . ' . Schmitt (M.)� marchand de cristaua ,- 236 Sc1i�lcher_ (IU )',.fabrjcant .(le por��laine, 60 . 'Schucherer (M.), cordonn. pnur fem.·mes, 122, Scribe et Brémara (l\'lM.) � Mds (l; �J],b�ms, 79 Seyffert. (M.) , peintre , . Simie�r '(M.)', ;eUeur / . . Simçm _ (M.), -o-, g-.raveur s!_lr pierres tilles.'- Simon (1\fáda�e), lingèr�,' - Si�o.n' (M.),.�or�bn!lier" Solaire e {M.), ��èffe,�up f ; . � _. ,; � < _,,. ,! ,'t �So.mjean- ( Madam'e):, coutJlrière , �oy,ez (M.)', {aln:ic�llt de bronzes :,: t=. �88 TAnLE IlES FA:Bl'ÜC. E"T MAltClt. Vaginay sœurs (Mesdames), fleu:ristes, p o -SO �J V-ttnwalleghem CM._), taiUeur pol·es'.da«\es, ·'1 Variété (A,la), magasin de���es, )Ô Varignot-Musmont (M-adame) , Iingère , 34 ' .Varnier (Mada�e),;, modiste ;' I _. 78 ,Vllssal (Mo); hGd�er, :" �{ 70 Vaniont (Mada,l'h'e�, �iste" [ ,�� r Vautòu.r..Versepuy(M.), M'ò'd'étoffesde s. 207, Verdier (M.) ,marchan-d de cànnes,' .,I,E:g Vernier (M.. ), marchand dé draps', u8 Victor (M.), .èo�ffeuir , 2 iI.6 , . . ViGIGt-Burty (�.J "jlll,éllI'chand oe hllle�, 20.9 Voye,r (M.), tailleur,' 46 . '\tv... ._ l yvàlker (M.John), fahricant de bretelles, 73 W�roq:u.ier {M.) � culottier , 41' W'eiss (M.), tàillenr; -Wiser (M.), ,iilllleur pour les dames" Y • . Thert (.M.)� marchand d'étoffes nouvelíes, I94 ' Yvé (M.. )., t.ai11�ur,pour les dames.,. .81 . Z ZaeharÎe CM o) � plumassier � Zann (Madame) , hlaachissense e��fin , ANNUAIRE I DES MODES. rien ,_mà bell� dame.-Je - mIe portais& en bien sâmedi.-Oh! In dans gue"tre.s' ju. pon court -comme _un uri ou . vous deuxmoálonelet, ne peux de la pourrez je m'empêcher en dire autant. -Comment! aarder. avec compassion, Il est vrai tm ou deux mois po,ur guérir une maladit:tes que nos jolies femmes sont \ prise en ùnjour. ;.......Eh, ne, pas'si m�dame, la est san�imngement rpis€s,'et,qu'il se trouve fon­ comme -Ia fortune, il ne 'faùt qU'QI ursdcs folles 'instant qui prennent à tâched'exa­ PQur la . . - perdre;heaucoup'des,oilU'lrer la de I:. alors peines et de sont '-"", mode, ��me que temps. necessauu . la"�ode lexag�rçe. " .' I, ,\-' pour la recouvrer. » Madame se rétablit: elle es: 11 fi 'peu plus s�ignèuse ,"", ' . de ,,_ sa santi, , �ais eliedissipB Qaoi, nía chère, tu portes un heu son bien, et 'se, voit quet, s 's un vrai des fleurs duite à.la .dernière misère: bouquet, naru­ or, :oye� I lles? fi d�nc! les en malheur. on trouve 'quelquefois m� paysannes un p��tent ant, sent' "decin Que' .iÒri qui vous r-end .lasanté bouquetj.Ia- �ais tubé-:, , quan se, l'héliotrope" le jªsmin? Re arde