LEGADO CARMEN· I GIL'�- -CONDESA de VILARDAGA' , MCMLXVI· I - ALMANAClI ,,' DES SPECTACLES. DE L'IMPRIMERIE DE RICnOMl\Œ J RVE Ju.rN'l' .. ,JAcQ_""!J'BS , NO. 67' �"""\AN"""��'tJV"�""",��"",,"""�,,"\AN\NW ALMANA,-CH DÈS ,THÉATRES ÉTRANGERS. - LJ> génie est de tou� les pays: voilà ce que j'affirme. - Et moi, ce 'que je nie, - l'ne répond certain petit bossu, français et troubadour ; �( ce n'est qu'en Ftance-, à. Paris même qu'on trouve des gens d1e:&.._ prit. Ainsi donc., nous parcourrons l?Eu�, l'ope, nous explorerons l'Amérique, nous' _ visiterons l'Asie, nous - nous risquerons même en Afrique, sans trouver là le plus, � � petit génie, comparable à ceux dont s.énor­ gueillit la France ; et. Paris ojfre à lui­ , seul, plus d'auteurs célèbres, plus d'ex-­ cellens acteurs, plus d'actrices honnêtes, 't. que'tout.le reste' de l'univers. » Perit bossu! petit. bossu! tu déraisonnes. �oùrqtloi, pà� (4.) (5 ) exemple, l'Angleterre n'aura�it-elle pas de petite revue des aussi sombres les ,fait� et gestes de toutes Ie-s mélodramaturges que marionnettes. théâtrales de ce bas monde, Daubigny, les Pixérécóurt; d"éaivains pendant le cours cl e- Pannée 1822, con­ .aussi tendres que les Pain, les BOldIZy; de vairlcr� mes lecteurs de_· cette grande véáté', vaudevillistes d'aussi bon ton I ' a r.�marque assez curieuse à faire, c'est qu'aux: refusé tou� net. Vous verrez, ,Etals,-Un�s, le qu'à I'avenir 1 traitement des bons comé-s les négociations, .avec MM. les acteurs diens , · , est ,d'à peu près 30 'à 40 dollars devront se faire par ambassadeurs.' , (. 180 à: 230 fr. ) par semaine. Les acteurs, Ce , qui prouve, jusqu'à l'évidence, que en vogue, gagnent annuellement de douze l'Ainérique est plusfolle q�e l'Europe encore (9, ) (8 ) 'n Jamais .nègre IJe fera périr de femme 'ae jeux, de d'anses, de spectacles, �1est que » hlamche en ina présence, si je' puis. 'les dépenses du théâtre de New-York mon­ l) I'empêcher. :» YoPà 'tm dénouement tent, par jour, à près de 2,400 fr.: �e tragiqne d'une espèce- hien te déplorable. qui TI' emp�c?e p'as �énéfice de� trois ASIE. Cette du monde est en-, premiers mois cl eI lever pattie , �JDe s.alson,. d�. � core dans. J'enfance' de i l'art thëâtral, au­ constamment à 60.,000 fr. enVHOC� La. près de l' Amérique •. eherchez un �héâtre trcupe de comédiens fça�çais, �établi�, � à l� chez les Tartares;' demandez aux Arabes. Nouvelle-Orléans, prospere de Jour enJ?�r. ce que c'est qu'un mélodrame; parlez de . l'Opêrá-cbmiqu'e y fait 'StÚ-�OlTt, pl��Slf" vaudevilles, en .Gé-eau_coup plus �gé que Clytemn�stre, sa mu.slque de ce co":positeur, le peuple ra­ . mère; aussi le p�uvre Or.�ste a-Hl, mal­ mam le £t reconduire en grande cérémonie, gré lui, fort égayé J'assemblée. che� lui, par des musiciens. Ingrats dilet... Naples. Un noble marquis, de je ne tan�l que nous sommes! avons-nous ja ... sais quelle nation s'est fait siffler avec sa ,. mais , -Òan.s l'extase dè no's jouissances Foresta , d'-Ostropol,. nous -l'en�agerons à rendu pareil honneur au divin Rossini? faire des Renégats et des Soliiaires ; du Turin. Rien, moins que rien à' dire: moins fera-t-il rire. - Le Colonel, de on a . Y' mis , en opéra, le Menuisier de MM: Scribe et Delavigne, se joue �vec , Liçonie, espèce de mélodrame de l'auteur succès, sous le titre' de la Femme colQft��; de la FiNe d'Honneur. - les mauvais sujets prospèrent partout. MaiS _1!lorence� Le petit' astre florentin brille si jamais pièce mérita d'�tre accueillie Iavo­ . tp?Jom:s', c'est dire qu'Angelica Palli a' rablcment c'est , assurément cene qu'on � faIt, cette année, jouer à :Florence représentée à Naples sous ce titre: Cebu, une . .. tragédie nouvelle de sa composition , Ro- quiprend le v¿tement d' autrui, est promp­ � . me,o. et Ju lole�te. Ce�te muse, aussi jeune, tement dépouillé. ,Nos auteurs de vaude­ q�o a�mabl\e, llnprovlse une -tragédie CD' villes -òevraient méditer cet axiôme, deJeunant, comme M; Scribe fait un vau-. Venise.' M. Paër est tombé avec son' _ deville. Vest�'is se distingue au théâtre de ¡Agnese; c'est ce qU'OQ peut appeler u�e la Pergola; et son ballet d'Astolphe et nouvelle, _Quelque temps' après , ce!tau1 Joconde jouit (l'uri brillant succès. Nous émule de Ros�ini, il signor Mercadant�, a n'avons qu'une mi�ce brioche à reprocher fait réussir, au grand th��tre de la Eémce,- ( 20 ) ( 21) tm opéra le titre d'rlndronic m�_; femme; l'au�eur �vait d'avan.ee, pour lui;. ,- sous ; toutes les de Milanaises, . nes Campistron, _ réj-ouissez-vous! un Mtlan. nouvel de Ros­ Cette Gines. Sans ville a fait des merveilles; opéra sini in non " Gyro Babylonia, je ne sais pas pas précisément avec son opéra d'An­ Sl me fusse arrêté à dromaque, d'un M. Puccita, le même qui trop _je G.�nes: _une acte s'était duchesse de la Valtière a fait de chargé, dans le de y temps, corriger n'est à Mozart, elle comme M. Castil-Blaze le présence ;, pas, beaucoup près ., vou- ./ drait aussi intéressante chez .Mme., cl e G l.� enüs, encore. - Un bonhomme de cho-. que régràplie s'est mis tête de Néanmoins, Ie or ' en métamor par égard pour �n .. �exe l'a hien accueillie au Pierrot de phoser la pièce de Britannicus ; hallet; quant en M. nous' Néron figurait, dans Désé\ugiers, on l'a travesti. en So-rcier croyons que un par Gloutonnerie. .de M. de . pas -deux, avec son gouverneur ou bien . G¿ne L'a�teur se serait peut-etre bien �ans­ aveG sa mère; résultat, e' dan- passe en est qu'en que MM. les Gênois I sant, l'empereur romain fait lourde défigurassent un de ses a une chute. Mentionnons l'Elisa petits chef-.d'œuvres; plutôt , e Gladio; .máis ma:lheu�, ce n'est qu'au vaudeville ,p qu Ilar musique del maestro Mercadante, peut aVOIr jouée une volonté à aussi comme il en use! ! avec succès,' et l'Esule ilt Grenata, lui; opéra­ ' seria del Londres. Il est maintenant signor Mayer Beer. de Décidément, temps le théâtre passer les mers òe Ia Scala est heureux. Mais pour .ren?re mable Tamise. visite.� l'ai­ deux entre­ triomphes p1us éc1atans ans, J ont Depuis cmq accompa­ gné d'abord tiensrégu1ièrement meslecteurs la Félicité ile la Tombe,," de_l'�rigine, de petite fort l'histoire et de ]a des pièce gaie qUè je crois composItIon empruntée aux célèbres théâtres de e'en est bien 'Catacombes assez. de Londres, Daubigny; puis tomme 'une comédie , toute-morale , intitulée: cela; aujourd'hui j'irai proropte.- - Ilne au faut p_a$ compter les ment fait. _ années d'Uriel:.' � ( 22) ( 23 ) A tout seigneur., tout honneur: com­ pour to�it dire, en un mot, rOpéra de mençons par le King's Théâtre.Long-temps Paris s'en .alla passer I'hiver à Londres. On son directeur fut aux expédions pour se dût s'attendre à des- merveilles, d'autant _ ct des acteurs et aes pièces; en que le divin Rossini avait procurer promis, à titre vain il tournait ses regards vers Paris, il - de cornpositeur du Roi d'Angleterre, appelait nos danseurs" suppliait nos �an­ d'écrire deux opéras nouveaux; bref, l'ou­ senses; les nobles lords se voyaient à la verture du King'sThér1tre' eut lieu le 12 veille d'être sevrés d'opéra. Enfin Mme., janvier, parles nozze di Figaro et le ballet Cinti-Montalant, de Paris;' lVlme. Gra- de Pandore, de la composition d' Anatole. - ziani, de Munich; le petit Cinetti, au �lme. Pandcre-Anàtole se fit admirer . . grand,thé�tre de Gênes; il signol' Cartoni, comme à Paris. Bientôt on monta le ma­ de Bologne, et même l'illustre inconnu lencontreux' ballet des Pages du Duc de Zuchelli, de Rome, se rend irent de toutes Vend8me qui ne réussit pas · .... comme à . - leurs diverses résidences à Londres , dans , Paris; on, 'imputa méchamment ce petit ' l'espoir de moissonner de l'or et des cou­ malheur à Mlle. Roland, fort belle dan-. l'onnes•.Mais c'était peu que ]a musique .seuse était du rôle de Ei .... ,. qui s'y chargée se fût montrée sensible au son argentin' des g�tini, comme s'il _pouvait y avoir deux guinées" il fallait que, de son côtë , la Bigotini en Europe. Plus tard, Anatole danse, d'un naturel plus léger encore, se mit en ballet le Petit Chaperon, sans Iassât d'être inflexible (ce qui, d'ailleurs, doute pour le rendreplus ennuyeux encore; nuisait à ses hahitudes J .. Soudain, le couple enfin Mlle. Maria Mercandotti s'avisa de ré­ Anatole, Paul-Zéphyr, le Doble Alüert, le péteI, à L'Ondres, son pas espagnol favori la petit Barré, Mercandottl I espagnole et No� Guuacb,a qu'on avait assez mal accueilli blet Fanglomane, comme autant d'oiseaux de rue Grange-Batelière. Cët essai produisit, passa�e, prirent leur val vers- Ia Tamise; -a!l'centraire, sur hen aombre d'a!Uate.urs, · (�4) ( 25.) '_ f un effet si prodigieux qu'ils s'empressèrent scélératesse -du' tyran, il- ne .meurt qu'après de crier bis. Quelques anglais ; plUS ga-' avoir annoncé qu� son riva] est tombé sOU,S ' lans, s' opposèrent à, \ cette espèce de ty- sa hache , de façon" ',qu'il ne reste plus rannie ; alors; un boaement général mena­ guères., 'au dénouement, de gens en' vie, , çait d'avoir lieu dans r le parterre, quand que les spectateurs qui se trouvent dans la l'ai,mable lYIaria, pour éviter le terrible salle ••• ., encore baisse-r-on fort. à propos aspect d'yeux pochés, de côtes rompues le rideau , autrement ils courraient risque ou de nez, cassés , s'exécuta de bonne .de mourir à leur tour ••• d'ennui., grace en recommençant son joli Gueracha. Cooent- Garden. Si. la trag�di�, StlC-­ Ïlrury=Lane, Vivent les tragédies an­ comhe , en revanche Ie mélodrame. triem­ glaises! ,an nombre de celles que les théâ­ phe: témoin ce Montrose qui fit tant de _ 'tres de Londres ont Jouée's cette année, je, bruit à �Covent-Garden. - Précédemment, dois citer Owen, prince de Powis. Kéan. au même thëâtre , une autre Léontine " en­ y remplissait le' rôle principal; voici Ía fant d'e huit ans à peine , miss Newton, donnée succincte de cette œuvre tout :m­ faisait' des prodiges;' de fait, elle jouait, glicanc. D'abord, on y- "oit un epectre: dans la tragédie, avec un succès étourdissant. (passe ppur le spectre, ils sont aujourd'hui HaJ'-Market. Ce petit théâtre ;: situé de rigueur;) ensuite, après bien' desfaçons, tout vis-à-vis de l'Opéra', donne , en été', l'amante persécutée vient expirer sur la 'pour les dëlassemens de John - Bull, scène ( rien de' plus juste encore); puis, quelques pièces assez amusantes j notre ' trois ou quatre �ataille� se livrent, ei pres­ Voyage à Dieppe s'yjoue avec succès, de q�e, (,Oup sur coup .•• (Jusqu 'àprësenrvoilà .même .qu'une comédie intitulée l'Elévation de helle et bonne úagédie;) mais bientôt et la Ckltte: ce- titre convient à mille pikes Owen meurt ,à,- san tour: ( ceci commence qu' o� nous repr-ésente chaque jour. ' à devenir sérieux) ; ,œmarqu:�'un p:eu_ la Nécrologie. George, Kèmblc" çélènl'Ü' 3' ( 26 J- ( 21.-) acteur, vient de mourir-à l'�ge de soixante ... - 'fer If! hudjet des théâtres ae' province -seta cinq ans. Peu de jours avant, sa mort, on presque aussi grand que� celui de ces mal-­ le voyait encore �n scène, et c'était pour heureux directeurs de. òépal'temens, lors- remplir un acte de bienfaisance ; il jouait 9u'ils veulent composer une troupe 'ou I alors au bénéfice d'un de ses parens. A former un répertoire : toutefois faisons prop_os de .bienfaisance , disons qu'une bonne contenance ; si -les nouvelles' me actrice anglaise � très ......connue, vient d'ac­ manquent , eh 'hien ! j''C� ferai ••••• ; on me corder une pension v.iagère à �crtain vieux prendra .pouf un joumáliste. - , comédien clans la misère: pareil ' exemple b�n vouDloi?ibror�., ce serait fol,ie à moi q-�e ele est à suivre. tenir mes lecteurs all courant des' 'Je �r.ois n'avoir plus rien -à démêler avec émigrations et pélerinages continuels de ,Londres et ses thëâtres.; je passe donc nos actel):� par�siens; car les , congés sont, p_romptement l� détroit et rentre en France.' " plus que JamaIS, à l'ordre du jour. Ju,s­ qu'ici les, théâtres royaux avaient eu seuls Je prlvil�ge del laisser alternativement pro� , THÉ�TRES DES 'DÉPARTEMENS. mener , -de ville en -: ville, leurs comiques, (' hanteurs , actrices et danseuses; aujour-> L'habitude est, dit-on ", . une. seconde d'hui le Vaudeville et les. Variétés se don- , � nature. Tous les ans , je m'amuse à courir nent , àIeur tour, les tons d 'accorder des les, théâtres de province 'pour voir ce qui congés, cela n'eó finira pas: .eh ! qui sait si r s_'y passe; mais" le plus souvent j'en� suis llOUS ne. verrons point les théâtres des hou. ... pour mes frais de' voyage" et pour, nia cu- Ïevards adopter tm si hel usage? Les dé ..... -riosité punie. Pauvre voya-geur! je n'aurai parterne,ns ne se plaindront jamais d',un fait encore, cette année, qu'une moisson abus' qui ajoute à leurs bie.n jouissances et (e� - triste, et mon embarras 'pour prësen-. tranche des nôtres, - _ . (28) (29 ) ' Mais si je m'affranchis de Ia t�chc. pê .... serait intéressé à venir au secours des cn-: nible de suivre, dans leurs marches tnom­ la 'treprises d'un sensible Duchesnois, 'auss� ga:Íapt homme à 'phales, la sup���e ;, 'c�r, moins d'Ull nouvel ordre de choses, Il "est Georg'es la rlélicieuse , Mars, ou le raVIS- impo�sible que, ses deux théâtres se soü- . sant Ponchard et-tant d'autres 'a1. a suite , t tiennent. � qui ont, cette an�ée., et l'""".apres l'autre, Maintenant, s'ihn'était permis de donner rendu, pour ainsi dire l� VIe aux , P?uvres . quelques bons conseils à M. Singier, je lui théâtres de province vraiment agoms�ns, « fairè , dirais: Commencêz par réparer, que me restera-t-il à dire? on le devine ; nettoyer et blanchir 'Cotre grand peu de chose. théât.re; les . . le midi; premières loges, .yoilà tout ce qu'Il a Commençons, mon inspection par de présentable; Votre sane 'visiterai tour-à-tour Bordeàux" ,est, trap obs­ je Lyon, cure. Po�rquoi ce parterre debout" que Marseille et Nîmes'. ." vousvous obstinez à 'conserver, datis l'une LYON. Ses deux .thëâtres sont toujours des Le premi-ères de.Francei' M. V,illes Singier. g�c:n,d Th�âtre Pe?t�êtr� òirigés par nr' des Celes­ objecterez-vous qu "un. part�rte assis se­ êst constamment désert ,- celui rait une innovation. tes, 't�ujours mais, les. J désagréable pOLIT tins fréquenté;' comme ce', -'Lyonnais qui so�lt habitués à aller ,. ;venic, , recettes de premier ne sont pas en �ro­ entrer et sortir sanscesse , d'ans yirúervaUe portion avec les dépenses de Tautre " Il e.� d'une. balance falte, les pièce à l'aiître ; l'ohjection' est ,spé­ résulte fl:aIS , - que, toute cieuse excèdent , soit; c'est un usage à.détruire , j'en de cette double administration m­ conviens : mais alors ne bénéíices aussi M. Singier viendrait-on- 'Elus finiment ,les :: , " à votre t1�éStre comme on entre au café q.!l' tout actif qu'il soit, se ruine-r-il pour les , à, la bourse, pour' causer et parler",'d.'af:... menus -plai$irs des Lyonnais. N,OUS pen- faires,• .I�es gens qui' ne vont "au de Lyon spectacle $OP_S. donc que le haut commerce , que pour - voir et pour .entendre , ,Y trouy-e7' ( 30 ) (31 ) raient doublement leur compte: d'aDore!', vreuses de log,es. Respectez donc, admires­ ' jls ne resteraient plus quatre et cinq heures M�olière, Regnard, Destouches; mais ne de suite sur leurs jambes ( ce qui ne laisse' les jouez pas. Nombre <:l'acteurs signal�nt, pas que d'être fatigant); puis ils .n'auraicnt chaque jour, à Paris, leurs débuts .tant .aux plus à redouter les colloques et les change-, Français qu'à l'Odéon, soit dans la comé ... mens de placesd 'un parterre toujours. mo­ die, soit clans la 1fSlgédie, pour aller en­ bile, toujours agité (' ce qui devient fo�t suite courir la. province sans e'ngagemen$­ emluyellX); en un mot, ils assisteraient fixes! Que ne vous les attachez-vous-l' Votre avec plaisir· à vos représentations, Mais, troupe une ��is au, complet, moissonnez le me direz-vous pour pouvoir exiger, pen­ nouveau répertoire; o'ffrez tour-à-tour aux dant toute une soirée, de la part des Lyon­ Lyonnais des Mari� Siuart, des Jeanne-. nais ,� une attention soutenue à laquelle ils J'Are, dés Sylla ,: .des -Régulus, des' ne sont pas accoutumés', quels efforts ne V.épres siciliennes; faites suivre ces chefs­ . - nous íaudra-t-i] pas faire,? Tant mieux ; d'œuvre modernes d'ull' choix de comédies vous recomposerez' votre troup'e; vous ne nouvelles, comm� ]e Médisant, le Voyage possédez pas desujets pour la comédie à , et ll'ieppe, P Àmant et le Mari, et mille '/ '(Ious en avez trop pour l'opéra-comique. autres, et puis nous verròns si votre 5aU� D:aillèurs, entre nous, .cer opéra ... ¿ri..... J 'restera déserte; excitez la curiosité, vos mlqu.e, auquel, vous tenez t�nt, je le ren­ destins sont assurés, J'ai' maintenant deux \ verrais aux Célestins; je proscrirais, en mots à vous dire de votre théâtre des Cé­ même temps, toutes ces pièce-s du vieux ré­ le,slins : on ne saurait trouver , nulle :part pertoire que vous jouez sa'ti'été, san's ailleurs, de salle de' , jusqu'à plus dégoÛtante, spec­ doute pour économiser' des droits d"auteur : tacle plus mal composé ; toute Eersonne elle� produisent , même à'Paris, à peiné de qui se respecte tant soit peu, rougirait d'y �Ol 'payer' les' frais d'e -lunrière et Ics ou,:"" mettre, 'le' pied'. Quelle figure 7" en . e(f�t , (32 ) (33 ) .voules-vous qu' on fasse dansvos premières lité; vous êtes done le plus souvent dans la lc:>ges � I fr. 50 c. ; dans vo,s secondes, à b�:arre obligati?�de lui\ offrir. jusqu�à cinq . .I fr.; da.ns votre. orchestre., empesté de plece;s p.ar soiree., dont quelques � unes ;_enfin dans même" en 'deux .actes, Cet �l1es publ;ques votre usage ridicule-a , parterre. 60 lieu de à certains a centimes r Votre sane est, tous les donné dire, _ plaisans vous finiriez demander à l'autorité jours, pleine-comble, je .. le veux}. mais, que par la des ,encare _ u,n coup, elle n'est JréquénJie que J?rerm�ssion de, prendre pensionnaires seraient et nourris à votre théâtre " par Ja. classe la plus inférieure de la 50- qUI logés ci�té. Si vousvous donniez la peine dC' faire aíin. d:éviter dés- frais' âe déplacement. En: ce votre' pe�ndre toutes séparations de loges, en qUi' regarde troupe , elle est. en c�s .: assez bien Prudent . .et bOIS natu.rel., sah par le· te'mps, qui rap-. général, composée; l' tables S,aint-Albin sont de bons : , pellent Sl bien à observateur les et acteurs maïs, ,les bancs de si dls�ns-I�' tout bas \ augmentiez , vous êtes l'éc'?le;. vous pauvre en le de vos com­ quelque demoiselles peu prIX vos places; si vous actn�es ; Marigny �t ' ' vous attachiez ?t mettre ,; avec quelque soin, pa�m.e .ne sont' que de .mauvais sujets, y�s mélodramés,,�h. scène; enhn si pour Cherc�ez, trouvez du neuf, n'en fût-il , _ decors, vous cessiez de nous offrir de. vrais plus .au monde. E�fin', l'opéra�comi-q�.e,. lambeaux de toile du le mélodrame et le qui voltigent au gré vaudeville, voilà les vent, la trois vogue de votre théâtre des Céles­ genres qu'à votre place je 'j:ou�rai& con ... tins deviendrait, curremment aux alors-plus 'plus. Célestins. Sur productive, ce, M., Sin-· .. honorable ... Vous amèneriez là toute la g��r ,}aite� ou non votre profit des con-, i , bonne compagnie de .Lyon,; elle viendrait sells q?e j'e me, permetâde vous donner , je 'à la dérobée, comme celle de Paris, rir: V,QUS tue ma très-humble: révérence, Ah '! .... "­ ou pleurer aux mélodrames. I..Ie encore un mot, s�il v.ous" menu plaît; un �trait êt�e le peur1e tient. 'plus à la qua�tjté, qu'à Ia qua- d'humanité ne saurait tcóp cité dans (34 ) (35 ) siècle- 011 nous somm�s : car "il faut prêcher qu 'on nous a laissé de la charmante Ni.l1OJl < pour l'exemple. Nous avons, donc, appris se prit à � :ire et à �ai�e tapage •. , N1adem�i� , 'qu'un pauv-re jeune homme de Paris, selle ,que Maflgny ,. qUI :n� pa,rta'geait certai-n�� la mort _d'tin oncle .avait attiré, à Lyon, ment pas-les idées du parterre-a ,'5Ql1 ,égard ,. manquaít tout-à-fait de ressources 'pour s'avan.èe vers l� rampe' et dit avec.énergie ; retourner ,dans la capitale. Après avoir Je :OlS '. MessIeurs ,'o que 'j� n'ai _ pas ra� _ imploré 1 mais en va-in, l'assistance de vantage de vous plaire'; je ne suis point quelques personnes, il conçut, enhn 'le pro- ac�outumée à ces brouhahas , et je vais me jet'de s'adresser à 'votre cœur s'est retirer, '» .roA. ces mots, la vous'; moderne Ninon I montré sensible- : le j'el�rre homme a pu ,s"éclipse, en faisant cl'indiéYnatiGñ'� .' un , , geste gdce à' vous, revenir à, Paris j'avais donc Cette .rnutinorie E�UX., Sans �les:�.v¡-siies ,.qu'à ;e� trastaient trop ridiculement avec .Ie portrait çues 1?ò��eaûx celle.' á�pçe) .je" ·n'latJrais l' . ( 36) ro (37) presque rien à dire d-e ses théâtres, Chacun seul Jour, jouer, � l;d9is, une comédie en sait que l'esprit de 'pa�ti se 'glisse partout,; cinq actes et un opéra en deux 'actes de sa , 'mais aurait-on, pu jama�is croire qu'il allât composition, ,Au reste � si M. Tiste' est" se fourrer jusque dans .Aes entrechats et des aussi bon auteur que' bon acteur, ee "dolt ronds -de jambe� C'est la singularité qu'un être un écrivain �'une'fi'ère forcé. Ce .'grand ballei , .intitulé la F¿t� indienne, � ccpen� artiste jouait, dit-on, P�nnée dernière, en dant offer'te au grand théâtre. Deux dan:­ une ville de province,' i�e manière a se � . senses 'ont faini mettre tout' le parterre en faire sifíler; quelques efforts, qu'il fît,� on réveliition : les entrechats de celle-ci,don- . .Ïe huait 'toujours. Le directeur, voyant qu'il' -naient dans l'œil' 'aux 'uns ,'les ronds de lui fallait ábsolurnent °renonceJ; à Ie faire' :jambe' de celle-Ta touchaient le cœur des jouer, lui donna, .son I compte'; mais , 'en autres � - si bieñ -qu' on distribuait tour....a- même temps'-, il 'adressa ·Ies vers.. suivans ail' ' , 'tour une multitude de, claques à chacune de publie : ces nymphes, qui ne s'en -lassaient pas ••• Fort heureusement que l',autorité .est inter­ Messieurs, vous avez sifflé'T�ste " Et Tisteest ,ma,uvals c�nvj�ns :' venue; autrement il eût, ,.j'en :y eu (lu, sang. ré­ Mâ�s'fatl_t-il, qu'ainsi, pour un rien ; pandu ••• ; ct" franchêment parlant, ,des Le public, se fâche ei m'attriste ? .danseuses valent-elles lapeine ( , 'que �'llOn­ Si veusréprouves un�al'tiste, nêtes 'gens �e coupent la Je en gorge pour leurs, vous dédommage bien , . beaux 'Car, ma ' y�ux. '._ troupe est - bonne, à, J 'pa�t Tiste; , 'Nous sommes ,effrayés', à' Paris, de 1a � Il parfti"que' les Bòrde_lai ont' ' uh faIble, , pl'odîgieuse fécondité de� nos Scribe, de no� pour les ballets; Erazier, de tr���p[Qnoncé nos Merle, mais 'j\i" ces grànds" déjà. faIt menti-on de h. FIte indienne ;'ne voilà­ fournisseurs pâliraient devant M. Tiste, t-il pas maintenant que l'I. Blache s'in-' 'auteur-acteur de BOf<:le.aux, qui fit, en un gèré de mettre d"abord -en entrechats êt pi-" - , � ( 38·) ( -39) . rouettes .le Pelit Matelot de - Pigau1t-Le� -cinq minutes, suspendue à la croisée 4'un,e-­ brutI:":( on observait à cette occasion , , qJ.H� humble .chaumlère ; et _, Mlle. Elvina rôle pendant' ce temps, dansait son avec un es� plus ile trois mètres �t 'aemi ·de TIler . prit três=remarquable }';' pu.is·', il a -remonté �ra'-, . le ballet (les Marchandes- de ,Modesl, ge'us� dèvie�nent . la", p,foie d_e�'.• pe­ �a-T�e:� un tite nouveauté qui gr�nd' au plus la 'cin� Aff.ès �'n eve�eme,nt, J l:eslte ra compte farre part a mes lecteurs d une circens-e quantaine ; it .est vrai qu'on introduisit,� _ tance toutef�is remarquable 'en elle-même ,_ fort chez' _ 'in�génieuscIn-erit\, 'ce.s marc�a?de� c'est de cavalcade que I'opéra de Fernand ) _ .medés-, une HUI produisit UQ Cor!e�."s':sf joué, 'à J3or�dèáux , devant le dernier merveilleux effet; ,'e11e se composait de reJe.-. - ton deI'illustre famiBe du rnexi- onze dadas de carton , attachés' aux hanches monarque dànseurs: cain, le comte- de Montézu�á. . . des _ vous eussiez cru voir, à peu . MA RSEI LLE.léthé�tre .de cette ville fait de chose près, les chevaux de. Fran­ des merveilles : s'il n'amuse pas lesspec-> corn, tateurs -, du moins éga.ye-t-�L ses Hélasl tout n'est qu'lieur 'et malheur � 4 Iistes j?u�a� ; dàns tandis et, p�ar -le' court" e ce monde! qu'on applaudit l�mp� qUi. e�t . Cu�eliér � Paris, le siffle à _Bordeaux, quelque chose- que dp. [aire fam: d� 1 espr�t on à un Ûaoerne, Mais, conscience ," ]oúrnal. L'aristarque marseillais v�ut-ll .avec sa en pouvait-il être autrement � des figurans parler des acteurs: (e ils en s?nt ,généralem:nt les- deux plus belles très-goûtés dans 1a comédie , 1(} chaI:g:s, va?rtevIIl.e manquent fait plaisir la , trâgé�ie afflue; » fm enhn des charges excellentes le tyran dIs­ .fá.ut-ll ; annoncer que' MlI�. simule Corvett� ( actnce du sans grace; puis la. vertu paraît m�l les de théâtre) est malade il , vous dira naîve-. a son aise; ajoutez: que coups POI­ gnard 'por-tent à faux; enhn ment qu'elle', jouit d'une fl_tixion. C.e , pour cOI?bl� q�i, . .. prouve assez le de malheur que pauyre homme ne salt , une monia�ne reste, environ p�s ce 9!le c'est 'que d� jouir d'une·�au- (40 )" .', vaise (41 ) santé, - Plus tard, if vous prévient de la mise à l'étude du Paoillon de nÙJré railleur impitoyable que tant <]' in;_. , Fieurs .qui.;.; d·i"(�i� , 'v¡�nt dé . réu�sir à, "dispositio_ns ne finissent point par il1dis':'_ . Paris., quoique le 'poême soit (le M. G,úil­ à son tour, le public. Il est. certain . .. pose.r" ' bert Pixêrécotùt! Sentez-vous s·'é- l'.épigra'mme? . q\le toutes, ces dames et demoiselles le te pas mëme académicien » de .Piron taient, pour ainsi aire', donné. le -mot n'avait .pas plus d'énergi� ..:_ M-ais pouTse trouver indisposées ; nous aiIrio�s' .. vous .Ji'�tes:�point.au bout : le-souffleur du théâ­ cependant 'à e.foire'· qùe , nonobstant la o J�e: " .. hien JlI�s poli ,,,9uè nos' soullleurs le'· mal�ise ·M pari- fluxion de· Mn�. Corvetta et . SIens , étaitdans.l 'llatiitude de sortir ·de. ses son compagnes', le the�h�e' de M.ar��iUe trou, 'p:nd(lnt les entr'actes, n'était transformé tout.-à-fait'ren.ufl _ pour offrir', pas , èu tàbac aux musiciens} - des amis officle'llx hospice' de.la maternité.' . nous di.t-il � .a cette oocasion ont conseillé , Aprè� occupé, long�enient, sans. , m'être . , � J'hôrmête spu.ffIê,ur de, prendre son tabac doute, du personne] du-théâtre de Marseille, tout . s'eu,I de , po.út�évîter d'en. '�en1r prises .. aux j'C ne. dirai qu'un motde là reprise ,d'eux' avec _le public, 'Plus rêcemrnent c'est anciens opéra joués'� Paris}, Vb'll intitul�' \ , l'affle·he du théâtre qu'il transcriraplaisam., le Vîe.ux château, de ,JYI. Duval; l'alltre, . ment, �a voici: 1\U premier Ïe Gondf!lier, petite ,"yeU¢ité;' d'un noble cc -jour ( Falklan1" retardé par in'disposition "cl; pair; -tous deux sont.venus s'enterrerçdans o . . MI> l\'Iassm; Mích�l et -Lnrisline retardé les' formes ,�à MarseiUe., ' par indisposition de � me-. R.ichard Mutée· . Vers la fin deI'étë dernier , nne troupe, "Je Z:�rbier de Séville, retardé iQdis� de tragediens nègr€s vint débarquer dans Ja par pO�lhon de Mlle • .'Corvetta; le JI \ orage. à Médi_tetran�e,; on �iatt�ndait. à contempler, Dzeppe.; , retardé par -iudís.position de à Mars�ille, nIÍ Aga�emnon noir .de- cor- Mlle . . •' . ..J. U literme. )). ..D·leu- veuille, s'éç{re beau, tme veuve d'Hector couleur d'e'bène ; il pará{t que ces artistes ont ". p-âli d"effr9i, I • / '-..... , 4� • 1 ( 4.2.> ( 43) rien qu:à l� vue du savon de Mal'seille., Oa, _ ce 'divert �sarit; ear 'c��tf est les spectacle attendait à 'Paris. " , vérÍtablément. ra pièce de hœuí, et NIMES� Ce n'est point, à N1mes ;t'��tre�_ ' . JIu'il n'est que le desserts '" ". , " -: - faut aller pour -vòir un théâtre, organisé, .BEZIERS ••. Me voilà dans le " département une troupe, passable, et �ç1es pièces même de PHéraq-l't.: J:ê n'ai parbleu pas le temps .médiocies� qn nousv offrira, par, exem­ d'entr£r _ à MQntp'enier;. j'ai hien autre.chose ple, une Fille de 1Exilé" ' en nous, pré­ à Ïaire à ·-Béziers" .puisque j'y:: rencontre venant qu'au -seçond ac-te un décor nouveau une merveille , en.unmòt , M� Bazile; ch représentant �une in�d�tion, or�era tout lè qu'est-te que,�. ,Bazil:ñ? un trésor ,:. Url -': - théâtre � �m�. Rósalie Loth- nons y jur�ra peiritre---�écQ-raú:ur,,: ,. qui�· peint -.t'a_rchitec­ que la main libérale de certaines. 'personnes ture, lá- fig.ure ,'le paysage-t,' l'ornement; a semé. 'sur ses pas le laurier etles roses 1 . Ull machiniste qui connaît- la enfin-même régie th�â­ voudra-t-elle nousÏaire adnû- . trale , sait mettre le mélodrame en scèrre ; rerrles ,ve,l's charmans qu'elle a reç�s, VCFS' un -"" ", acteur qui jo.uè les Lamette , les Dozain­ aimábless'il ' en, fut jam'ai� , r , '. ,.,' <, ville, 'les Le Sage-, les' Juniet� ,pour tout: 'I'halie , 'à to� berceau présente, {lire, (},l1" p'eut l'accommoder indiff6remmçnt . Te" vit efsourit bellec Loth! '; , 1 'tOUt€8 sauces ; où comme Ei I'employer' d'une gl�ace séduisante. peintre , ou 'comme machiniste , ou D'une.main lot. c,om'm� tu reçus le acteur, ou Déd�é��nt, �omme régisseur. Que:, vous �è­ > .l')art dramatique est mort à mandeia M.�Baxile,:pour prix de tant ele ta!...:'" .' Ntmes� Parlez-moi plutôt- �"un combat. à." .lens , réunis]' 10,060 (r. d'3ppol'nt�mens. �� _ coups-de poiúg: voilà ce q�è tous .les-habi­ Ñon._.,6,oo()'fr:,�AUons doric. �"Eñ" tans de Nrmes �ront_' voir ,., poûr quelques bienl.milleécus, ,�. Vous',n'i' êtes pas: . s-ous ,"·à' Pamphithé�-tre, et notez bien en-, I80d·�r. et pas un soú avec , c'estpour rièú, ��re qu'un combat H j'aime GlaIn,pagne;" vou�':$ert- ' �t une forê,t l'es�ri( :des r:�ampe� � si vous lUl demandez de respecte �n�Ilimen� bl�in?ns • nois.jene dirai pas qu,'on.,a J�ue d�rmereme�t jardin.s; la s��ne 11 offre chambres'�" pa�s'e-�Q-elle e? A.�le, -sa .. 1 on. 'à "'tl:òye,s, , ue IJme­ �alpn3on,falt hlsto�zqlte en rusflque Ja Vestale, vous êtes sûr actes .mais en revanche, ma mor.atr�li�té� que, .Licinius ; ," m'obHge � déclarer sur la les �héStres' cham­ triomphera place. du "marché que � ,de Troves , .três-Iidèlement pen,ois' ne pas tout ,à JaIt,' l.es J \'.représentée, Il s�y 'so�t ¡ com�e trouve, par. parenthèse] un.ob'é'l'· nôtres des écoles de mœurs! ·Ne, donnait­ 1Sqr�e, haut ' , remplira le rôle ,du Dictateur � . déC'Q�'� ��mt -de Cicéri :, voilà tou� SO� më- et dansera Ia gavotte _�!ll1S lm des eÍ1Uc':' i , (48) , '. (4gJ ' actes ,'eQ tenant , en' guise dé balancier, gencl�rm�s.- 'Eli pourquoi]" ,'p�rcc' 'qu'�lle �n essieu de cabriclet.L. , .refusait [de paraître •••.: Cet, · .oHf�age aux I ROUEN,. Force oiseaux de passage,!:•• •• mœurs, à la vertu', crie vengean'ce. ,.' Baptiste s'est fixé décidéfi!ent dans le sé- REIMS. 'On offre,� dit-on , à� vendre . ( jOlU� 'des toiles .•• De son côté, Mlle. Cha­ ou louer les effets .suivans : Un - salon , \ rivari , .caniatrice italienne ' ',_ s'est �ait, plu- marbre et or avec ses accessoires, trois ciels �ieürs .{ois ,. entendre au théâtre des Arts ••• complets, une mer' avec J.marine , 'une, ri..:.· on ajoute' qu'elle y .fait-beaucoup .,d� bruit. vière av�c chute , quoiqu'un Le, pel Ca,símir �,échirée.; Delavigne 'rouennais, M ... Lie- une [une à son déclin; un lever-de soleil quet , 'a fa:Ît jQ Ie, -5* ( 54) ( 55 ¡ Vn Paul, -danseur, 5;000 fr.; chan­ voix plus claire; à la première chantense ; - teur ,-6eo Ir. trois ou quatre tons. qui lui manquent dans. Un tyran: dioo fr. (ils sont' à bon le haut de la voix ; .au premier rôle, quel":" , . marché ).� I que tenue ; au financier" des créanciers _ U» niais de mélodrame, 3,200 fr. moins 'eXigeans; a l'amoureux, des faux "',( un niais qui fasse. rire, est rare ). mollets; au souffleúr , une respiration pl ,., Pères. nobles: on n'en .veut plus. longue; .eníin à. toute 1� troupe , u� di�'ec­ Nota, Les bergèrs, guerriers, peuples, teur sourd et av�u_gle. Et moi, pour com-· héros, sauvages (h�mmes et fernmes.) , pléter tant de -vœux, je souhaite à' Cel à raison de 75.c.,' (58 ) ténèbres, vient de suivre l'exemple .de Lays .... ; .elle s'est retirée ••• Qui donc. osera maintenant s'approprier son sceptre P ••. On parle � il estvrai, de la rentrée de Mme'. Fay. /_Mme. Grassar�.' La voix cl' Almazy est agréable; mais quelquefois elle manqye de justesse. -Eloi et� Bonel sont des- sujets otiles; .Ïlabadie mérite des encouragernens; La Feuillade' ne travaille pas: Dieu sait 'ce­ pendant sur quels -la-U:rÍer? il se repose;', . quantà Provost, c'est un triste chanteur. Nourrit fils 'étudie, fait des pl'ogrès ••• ne désespérons pas .de le' voir s' élever, . un jour ce '. au premier rang; qui, du reste, ne'-lol serait p-as difficile ..• On lui a fait un -singulier -reproche'; le voici : lorsqu'il afta'que les notés halites, la position de sa t�te est toujours élevée; en sorte que le son d,e sa voix frappe plutôt les frises du ihéàtl:.è que les loges de la salle. ll111e• Paulin. 'VoiHoujémrs belle. Mme. Dabadie" 'jadis Mlle. Leroux. ,Jeu animë; qu'elle travaille avec ardeur, . êco�te les conseils d'tune critique êdairée, ( 59_) - et son talent ne fera qúe' croître -eI�c�re� Mlle" Qulney. Sa voix ne manque ni de justesse ni d'étendue; mais qu'elle se garde des tons criards! J'en viens � MUe. Sainville. Sa taille est -élégante, son 'geste a de-l'expression, cne­ peint l'amour avec .grace en un mot, elle , paraît belle 'SUl' Ia scène ; mais . il faut plus que tout cela pOl1f remplacer Mme. Branchu. Cette demoiselle s'est trouvée, pendant un temps, forcée de garder la - chambre pour des indispositions-qui provenaient, à· n'en' point douter d'un excès de travail. ••. On , l'a menacée de ne plus faire partie de l'Opéra; elle a, donc ·promis d'�être', à l'ave­ nil', moins s6uvcnt indisposée ••• ,; mais à � - l'impossible 'nul· n'est tenu,,'· Débuts. Mlle. Ney, dans le rôle d'Arna­ zilly. Succès médiocre •. Mlle. Dussart ; dans' le rôle d'Antigone. Voix juste et bien L - / };osée; bonne musicienne. - Du chant je passe ,à la danse. Albert est toujours le premier danseur. pour Ie' genra- noble... Il a Jait une 'trop - ... longue' absence : on l'a revu, .. ; sei torts .•• sont pardonnés, . (-60 ) (-6� )- Palll-Zéphir.a voltigé, selon sa cou­ ëla" . , assuré, puisqu'ils' auraient toujours lume ' .. r .. Qui se pourrait flatter de le fixer? l'un et Í'autré le cœur à la' danse. Après Bigotilli I'inimitabie se pré-, Après avoir "fait l'éloge de Madame, sente Fannj-Bíâs , danseuse incomparable, pourquoi suis-je forcé de dire du mal de qui règne sans partage sur ce peuple char­ Monsieur? - Montessu manque de grace; _ mant de nymphes, dont on ne se lasse pas son corps est mal 'placé, ses . mouvernens d'admirer les -gr�ces enchanteresses et l'aé­ sout heurtés, sa figure froide, sa- danse rienne légèreté. pleine de roideur, : Anatol« Gosselin a' lait, l'hi.ve,t der­ Mlle. \ Gaillet. De jÇllis � bras, de nier , les dilices efe Londres. poin�" pantomime, , Mlle. Aimée (dont on annonce laréforme) Mlle. Bertin a r�çu .sa démission, et ma­ croit assurément justifier son nom ; elle pa­ demoiselle Altrélie, un congé d'un an ; _ raît , en effet,- si content� d'elle 1 Son rire Bordeaux va la posséder._'_ ¡ est contracté désagréable. , Antre calamité. _Mlle. Brocard doit nous Mlle. Noblet fait de gr_ands progrès dans quitter ;' la N�va dispute tiue la nymphe à la pantomime ; Psyché séduisante , eUe Seine :' •• •. AiiHeü les ris, lès 'amours. .: . suit de loin les traces de iligotini : elle n'a' Débuts. Ils ont, pour la 'été qu'ua d.éfant, plupart, suivant moi, ,:'est d'aimer hrillans, - ,�. - , un peu trop passionnément les guinées. Mlle.··Henr'- 'Bien .faite et jolie'. Ce_ ne Mlle. 'Paul. Sa force et sa vivacité serait, au -toíal , char�lent·le qu 'une/triste acquisition. >' publi�.·Sa .� Ou peut regretter 9ue MN.I� ,Deli:ieif'ct -( 64 )" (65 ) G�rcia n'aient point passià dormir tout le lm Tournoi qu'on a b�en accueilli'; enf1r� - ,temps Qlrils ont employé 'l'un à , �ompos�r l\'t de Jouy vient de conher les .Atlte� cet ennuyeux opéra , l'al�tre-à fabnq�er une niennes; poëme reçu fout récemment; à Iª. 'musique s�ns chaleur et sans g,out. A.u 11re�mél�dieuse de � Ros-si�i. Espérons! surplus, Florestan n'a pas tardé a se VOIr Bénéfices. décembre 182 I. rayé de la liste aes vi Représen� vans. tation au. bénéfice de Mme. Courtin. Ene a Disons plutôt un mot de cet (llfreà­ - produit I 4.;000 fr�n.c-&� Cette belle -d�n- ..... le - Grand qui ; SQUS les aUSpICes.. de seuse méritait, de dernier, reste, cette faveur. M. Aumer, parut le 18 septembre ( 13 .mars de 18�2). Duíresne ; ancien � Son histoire est à peu près cene toutes chanteur de l'Op-éra '- n'était Ies' réussissent à l'Opéra. 9ue jamais en''':' pièces qui rhumé: les décoratIOns toujours-ce soient riches, respectable gr�nd les prêtre costumes se montrait brillant prêt à entonner le l'hymne du belles, spectacle et pompeux, Seigneur, lorsque Çñéron ne se trouvait et leur succès est assuré. Ré()-étitions� Moise pas disposé à faire, le rai ou le On annonçait tyran; il ••• . ; fallait bien 'l'Opér4�Buffa s'en Sapho ,récoînpense�,', quelque emparé peu, un est ... ; zèle aussi rare: la 'de reprëseñtation à son-bé- musique Reicha, est en �épéti�lon. Apt�s néfice . _ s'est élevée à 8,500 francs, . --S·apIló., nous-verrons un(CendnUo?, .P!llS Chronique., une triste victime de l'amour, Vzrgmze, L'ét,� _de.ml�r, Montjoie déclara, certain paroles ,:musique soir, de' Désalil�giers. raîné de'. pe p'ouvoir d�nsét, _parce qu'il� é�ait. erírhumé � l'excusé Berton. La hUe se lasse e:�·t " . � pauvre� ne pa� 1 i . jo ' e. - _ "' ,d'attendœ z.on s'occupe en même .temps de L� _ 'la de 'Gardel. ;omparaúoll_. Un amidu remise �e l'Enfant proJ:iguc lor(tS**·, , Í' aüquel �çe: "'dernier 'se- Alc·ibic//de AstMr,ù ont été à pl-aigna'if'de_ l'"áb4lid'oÍ1 � et reçus de �nè' �**1(0 ; lui .r¢Eond�.t : Ehl ne l'upanimité : l'allte�r d�rlspasie a pt:éseúté' �a:­ ._ 'vez�v�us pa� qu'une dâaseuse -es(une �p'en­ .- (ite .._. � (66 ) «(i'7) dnle, dimt un sar, d'argent est le bahrteiero.- tm eadeau à" la fois' plus convenant, pl�� , Dep'uis fr�p long-temps on médit de ces magnifique et surz, tout -plus piquant, : demoiselles'de l'Opéra; essayons de prou­ Mon autre 'anecdote, est- encore, plus ver que la reconnaissance et le désintéres­ édifiante. sèment sont encore des vertus de coulisses, , Désill'tér.essementa UR officier .supérieue Recônnaissance.•. UHe jeune danseuse" deSe premiers corps de Parmée, épris, dit-. que les leçons e] les soins de son, maître -on, d'amour POQ),' une de nos plus. jolies avaient tireede la condition la.plns obscure, ,]lYmphes de l'Opéra" v assez' prochaine•••-�. Est-ce Lafargue qui le" rem­ placera ? ••. Sylla Ïutdonné, pOUf Ja pre-· .' rnière fois, à -so:1) bénéfice, le' 26· novembre 182 I. ••. le public . a done éprouvé ;àeux: � plaisirs à la . fois., ' . _ Talma ':', toujours ipimlt�ble, toujours sublime, sans modèle, comme sans rival .. -Ilécrase, de s'On talent tout c� qui l'entoure; Régulus 'et Sylla n'ont fait qu'ajouter à. -ses triomphes ••. ;,' Pourrester-á la scène, ce 'grand acteur demandait une rente viagère " de t5,ooa fi·� .• 'Talma està jamais perdu pour llOUS' ! ! J . Baptiste cadet, Damas, Baptiste a1ne, ' ,JJevigny, Lafont.•.• voilà éÎnq noms à . peu près bons à ray�r de la liste des sociétaires_:.? L'un se retire, Pautre donne sa démission, celui-ci boude celui-là ne'-joue plus, cet.; autre se f�£lle .. G7est l)_Íeul-à·]e Il}oyen que le1< $ceptre� Jle la comédie tombe "en� que� - nouille.' _ " Mic.neIQt¡.:': toujours à SO-IlJostc ;:dll' fet�j ".= (7° ) Je �'énergie, quelque roideur dans la tra-· -géàie; de la grace, du. mordant de la , légèreté dans la comédie.' Cartigny, 'Monrose, Firmin et D,es­ mousseaux travaillent chacun de leur côté, à soutenir l'éclat de Ja scène française ...•• lIs son'[ secondes 'par 'le' petit Ligier, qui pourrait bien" un jour, devenir un grand I acteur; p,ar Graridville qûi joue avec' inh- � , - niment d'esprit et dEY tact les pères nobles . .et .les raisormeurs; pai Dumilâtre ,- acteur exact, utile, intelligent" et qui ,s.erait plus (lifficiJ� à remplacer qu'on ne pënse ; par. kbarb�-I'e , le monstre, l'épouvantable d-e l'A�hig-ti, Stokleit enlin, quOi promet d'être', f désormais sous la , casaque appelés, peu cl' élus. Demò�tÍ; dans Cinna -, TanclJde_, (72 ) ( 73)- les norace�; trop d-e gestes, héros fort part : voilà, presque en deux mots', I��::' "raisonnable, qualités "physiques et lés talens de ceite Alpho'ns17 Geniez. � Taille médiocre;' belle débutante. Ori .lui trouve, une.connais­ " ' 'fi'gure _agréable; flit sagement. - sance hien précoce du -grand' art de la co­ - ,L(lgardèrt¿';. vieille , très-vieille con­ quetterie ••• ; cela promet•• �_: c'est une pçr�e;, naissance. - Petit, maigre et flu'et•••• ' quel en perspective. ><., -c, Œdipe! Répertoire. Huit piè€es: nouvelles ont : _ , Camille sortait de l'Odeon ...... c'est paru sur la scène Ïrançaise en l'espace d.'une,. preuve de modestie. - année; . �. Roùsselle: physionomie ouverte , allure La Fontaine chez., madame La Sa:", franche" beau timbre de voix débit animé •. blière_ (' 13 novembre 182'l , ) ", de �.t Nau�, - Bon Francaleu. det n'offre ni , action, ni intrigue·, 'mak,.." Pa-ssons à ces demoiselles. Mlle. Bro-t ; en revanche, de jolis vers ; .. j'engage l'a},l-­ card.; - figure charmante', jolie voix" teur à soigner un peu plus ses succès. point Je manières, de la monotonie . •••••• Les. Plaideurs sans-:-prôcès:.de .monsieur - - \ g�re les fugues. i' Etienne reposent sur une donnée fausse et- � Mlle. Beaumont: médiocre :A.r;nénaïde, vicieuse; niais les détails.en sont spirituals ., accueil cl 'honnêteté. . ' . comiques, et Ir. style, élégant., - _ " Voici le début par' excellence. made-, Falkland, de M. Laya', aurait heau-­ moiselle Mante. Toutes les cent voix de la coup mieux fait , pour. la gloire de 5011- renommée ont à peine suffi pour proclamer; auteur , de reste-r �n portf!fétiîlle.t• ft falJ�it . le triomphe de ce nouvel a stre, De Ja beauté, que Talma sût faire l'�ll,lP?s&ihle P9'12lt- de la . r...ohlesse el de l'_�légance', d'unè part; rendre Eal�)and s-upportable. - ' _ de- l�apl(}mb, (lu brillant" une intelligence SJlla (26 novembre-), Chef-d'œuvre de' profonde -, une finesse exquise , d'autre M. de. J�ouy�u !/� tr,iom-plle -de Talmá"�,,, ;.- (t4 ) -clnquante-six représentations de suite ••• , sans orehestre ••• ; c'est en dire assez. Le premier mòuvement d'enthousiasme passé, disons que les ressorts, le nœud, Ja marelle de cette trag�die, sont un faibles peu '. un peu vagues .•.• : toute la pièce est dans Sylla. Son caractère est tracé avee vérité, énergie, profondeur. Soit au eon-­ seil , aevant ses victimes -, aux prises avec _ sa conscience; soit au forum � c'est tou __ - jQurs lui. On a elit, en riant', que Sylla faisait son tour de France: cela est vrai, car par-tout on le joue. Le Ménage de Molière { 15 janvier 1822). A-propos -charmant, semé {Je jolis vers .••• ·; les heureux coupables sont Ml\f .. Naudet et Justin. � Une Aventure de Grammont (5 Joli mars'), piChé de M·me. Sophie Gay. II était, à - ce �u'il- paraît, dans la destinée de ce mauvai-s sujet de Grammo�t de jouer des tours aux' dames, jusqu'après sa morf. Mme. Gay ,en a lait .la cruelle experience, Son 'héros 'était cependant spirituel, plai­ santerie à part.' Au 'reste, style gracieux, ( 75 ) élégant', -ton de bonne cOmpagnie·.; � chute -- complète, Réglllu� (5; juin ) •.Coup ,d'essai, je_ voulais dire coup de maître du -lils de l'a�lteur de. Marius, 1\1. Arnault. Tout le­ s�-jet de cette Œuvre 'tragique est: clans le·­ titre. Des pensées admirables '. exprimées en vers magniíiques.¿ : voilà &égulus .... Succès . ¿·blouissant.' _ Lès Quatre Ages (19 aoat). M. Merville est un charmant auteur, un homme de génie même, si Í'on veut .•• ; ruais sa pièce des­ Quatre Ages me semble tout aussi comique que son Homme poli..... ç·'est. une œuvre estimable, estimée, j'y consens.... H�las] nous savonsce que c'est qu'un succès d'e.s­ time; il ruine le caissier et laisse mourir de faim son- auleut�, . Pièces -en rép·étitz·on. - D@púis trois ans ,. oj{ nous fait promesses súr� Í)Z--ahord" la pfOm�sses. ç'est Clyl'e.mnestre de M. Sou-' met qu'orHép�te depuis tl� -an et plus-:�._ _' � Tal,m� -Pa_vait choisie, dit-on, pour Ja repré .... _ , sentation à bénéfice qu'on lui doit. Ebroi·n·1t-' au. le: Maire· du. palais., -d.' Ancel ot. ,..-doit ( 76)- e , -�;uivre im�é¿iatement. iIAchille de (77.) Mon­ tenus -aux arrêts s!:ur.,V�e�t, p�l1S bouillant jamais raient '�oùjo¿rs forcés" Q'f( que ,. nous annonce un de url s md1gne d'tm lathe Açeugle M. Scribe" repos ... ·; quant à Jûlien dans les Gaules de M. de , rOreste, de, M. Soumet, tout entier à ses _Jouv, l'emanis, il ne s'aperçoit-pas qu'on lui fait un Vauban à Charleroi. M. Bouilly l�i-­ faire; antichambre .•• Fasse le 'ciel le même a fait recevoir nne Matinée' Ji la que de Léonidas de .�. "Pichat- n'éprouve pas le �Oztr LOlt�s XIV, qui promet 'qu pi� et de l'mtérêt ..• ; enfin même si 'les sort de 'Ï'urnus, On .assure 'qu'un monsieur quant : (le la scène étaient en Tardif doit Jaire une prompte apparition: ,:�estins française péril, ce serait donc la première fois de sa vie,,' MM. Royoh et Delrieü accourràient; au besoin armés I'unet d'une helle et {}u'il se serait pressé. On .parle en même j l'autre le des P .temps d'un Homme aux scrupules hocion; : ces bonne, !ragé'die- dans. genre des Zénobie ou de Ïa force d,e DémétrÍles ' sortes, de _gens ne réussissent _ pa's dans le . . , et.,', 1 e. 1 e serait -','mo�de ••• "J� €Iains bien qu',au' théâtre eaplto sauvé. ... , /.' .mais .chut : voici Deux Cousines de"-�:a l1etraÍtlfs ': 'de Thénairtl (14 novembre), La à 'son bénéfice "n'a , .façon de ;M._ Casimir Bonjour, au sort représentation , ' gdc,e , l' desquelles Mlle. Mars""",_"s'intéresse ; lais-.' a ennuyeux }"'alkland, produit qu'une r­ .•• . reeette ••�. : voilà de · sons-les tristes adieux'••• passer .. J' en vêudrais dire' aiitant In�nee , - Ò u ,Charles VI, rte Dela�i11è ••• ; mais dé­ '.,' De Mlle�. Voln�is , (I 7 m�rs,). L�' cidément Olí ne veut plus 's@uffpir de au rois SIenne; Grand Opéra, '6' est élevée' à fous Jo,8O:o-franes. Cette charmante actrice sut 'au ¡tbéàtI'e-•. �;- Voità neuf mois, environ qu �Herman s'e la biènv.eib el'" ¡Ferner se promènent e;O'�eilier 'sur pendant vingt 'ans, lance du les planches , "en attendant qu'on leur tende _ pub�ic par la décencede son j'eu�; la une, sec�nde fois' < l'existence. Au d'e ses : en se retirant surplus.,: grace, manières _ elle -quand bien même ces deux militaires sé� s:est ��se .�. l'abri des tourmens qu_e !ti¡ .. _ca��aIent 1,1Qtngue ,et l'envie, ( 78·} ' On annonce laretraite de Damas e-t det B�pt.i&te a1né, Jà Pâques, La représentation � au bén,ëfice de Damas, aura lieu incessam­ ment, Une-comédie nouvelle de M. RibouUé fera les' honneurs de la s.cirée•. Nécrologie. - Fleury, depuis sa 're� traite, vivait à, Orléàm�. Il est mort, le 5 mars dernier, des. 'suites d'une maladie douloureuseça P�gc de soixante-quatorze anso O-P É RA - eó M I Q U.Eo _ - . �/ fC 0n' court aux Français, on dort -r » l'OMo)], on baille �à Feydeau, .on gêlf�-"� >),'. à l'Op.�ra.» Voila:- l� dire commun.i., est-il (o�ldé •• ? Je ne sais, en vérité'si l'oQ. peut courir aux Français �� quand on y. joue:' QU .Mclière , et que la scène est livrée à des: artistes dt! la trempe des Üasaneuce , des; - A ris#ppe_,' d�s Valette ,_ etc. ; si l'on peut (Jormií'. à/ l'Odéon, quand Mlle. Georges, :[oaTJ-nj, �1)tlfíd y fig1)ren� dans une tragé� die nouvelle¡ I sril est permis de, gêler}i I ·I'Opéra , 'en entendant chanter Mme, .Da� ( 8I) (8.0 ) Mártin vous l'an�eè � ) 'qu�il·êptouvè" 'sans compromettre encoré quitte 'pròchaine •••• lié 'peu qui-reste.de lui-même? N'y P�ques par qui l�' ••• mar- rè�pla�erez-v0us?"" cherchez.v., cherchez blell... 'sa doublure ,,' èhe-t-bfl pas 'sur ,des cléULfl'� í' ..... ? y vlt-?�n est à R'ouen •• , Cette doublure était 'encore pas-où. d'espéran�es ou de sôuvemrs .• ,. m.als tout fra-1che, toute P ne'uve, et �o�s l'�'Vez qu'est-ce :qtie ces- csp��'ances ••• une -vame òédaigné�.••• : Baptiste, �n un mot, n'est fumée" et -ces souvenus ...... 'une effrayante I sociétaire. . , l'éalité. plus . � _ M'offrirez-vous Féréol 'comme le Sosie Un nouvelordre de .clíoses., satisfaisant de Moreau 1a \ mort par-'lui:-mêmè, . veus a ,r�ppelé·M., Duvergc:r .à ,'qqe � enl'e�á cette année.; alors je rirai ,de- VQS la prétentions,' . régie�générale ., c'esFlUJ. p-as:vers le bien, Paul vous a ••• c"était un chanteur I On, a SUcppl'lmé ,le Comité qI�ecteur •• la quittés �:_ mais un.bon comédien; les rêles f société / entière est aujounl'hin chargee, "ordinaire, de son seront-ils ?ho - sous 1;inspection deI'autorité de emploi par qui remplis sa , pr.o:- 'vous' n'en savez rien vous-même, , . - pré ê}dminis-tration •••• mais encore faut�il Juliet fils 'était un acteur utile ... 'il cesse . que cette société sac�e se "gou�ern�r�.� on' , son se�vîce . . , sa place est restée né vit pas�, :en,répubhqu� vacan!e.. � �ussl-�ac�leI�le�lt NIUe. 'Des.brosses se retire à .qu'on Ie pense. J:.Je Pâques:; mom�nt de I ag'ome , Mme•. Gavaudan ne. approche ••• il Ïaut la joue prévenir : en atte?d�l�t, presque plus; Mme', Lemonnier est malad-e. . moi je: vals prouver qu'une eme 'est mevt-. Ain_si- donc , tout . table, � � '> .calcul fait, vousvoilà à , : J� huit environ tant hommes' (lirai ·d'abord 'à la so-ciété: qu'avez-« 'sept qu, fçm- . vous' 'fa1t le tout dè Chenard? Il avait - mes, pour soutenir ,doe _; quarante -poids ':tn �é- \ � ans de service •••• il sentait la nécessité de .pertoire. se , - Et. nos me l'eposer, -et.le public au�sî...�� -- S��t mais débutans, rëpondrea-voust , les est-il ' re!Dpla�¿,? --Non., -co�nptez�vous pour rien'l.'01 Eugène> '"' -_.� ----� ..• (82 , ( 83.) ·niséssarts n'a-t-il pas uhe dà belle monsieur le censeur, VrOUS nous voix, un croyez bon ton' de" comédie €t du mordant ; ·Mll� aux' abois, aux expédiens ! .. � voici venir l_a .• Madinier, que Ja' tonte entière province nous famille Colon MUS expédie, qui tombe des 'est une actrice toute faite encore nues comme une •.Cassel, dont la providence, voix M. me. la mère aux rôles de est . juste quoiqu'un Colon peu faib,le, ne=ñous . aspire donne-t-jl Mlle. elle pas aussi. De;brosses a le de son quelqu'espérance; ; physique Mme la taine .. Belcourt. arrondie c'est' res­ ne pourrait-elle 'point de-­ emploi, , déjà: sembler venir à devancière en digne 110 [ourde sa l:eclJeill�r la quelque succes.-: chose, . sion de l\111< Mlle. Desbrosses de 1 le.jeune Belniè ,Coloml'atnée possède l'intelligence -et de la Mlle. 'Colon ne sait ni parler ni cadette marèher,. , sensibilité; HOUS en , COf!f""'" ,de treize à venons, maisss voix est jolIe, s'On [rhys.I-, '�gé,e a�s peine, �éploye' d'�j� une verve une que, ,agréable .•• c'est une étoffe' de, j'enne charmante, gaIte enfant1IJ� dont nous tirerons en un premier Lil ne lui f�ut qu'un peu d'expé:­ parti; mot, ainsi le . lienee. .. M me .. Martm RC· vous semblerait qu�e' vo.us voyez? v�ilà, une multitude d,è (Jonc ou moms .aucunement mtëressans nous propre aux emploi� .des. sujets plus, que élèverons Cl'étU', de§ 'Belmont, et M lie. aIa Thibault brochette, qué nous f?rme­ nos 11 'est-elle pas à la fois nous helle,' òo'uéè cl 'une rons ,.sous yeux; pourron�,., �ve�, ce physionomie expressive, d'une' renfort, défier les morts, les démIssions voix, et les due .. .• la croiriez=vous éteri: retraites les, recrues et les une amoureuse , a 'puisque. dédaignel'? En nous de revanche, ,)5ou·c,he.;..trous pleuvent toutes nous .vous aban� parts. --- dor[nd'Iis veux 'Bien très-volontiers Mlle. chers Saint-Paul, J� l)' mes sa messieurs", . vóus laisser votre petite mine , �a erreur petite ••• v�i: et ses .petit.$ 't�.., - soit, mais 'm.a_¡n� tenant de lens; Mme. G�anger qUI u.ous viendra de parlons votre rép.ertoire... Vous � .. la .Porte St.- d' Martin, prenez et .rien pauvre, p�rte -ce le'tit,r'e pour Opéra- Comique, de théâtre, de assommant tfisle"�cqtlisition pour nous.v, .,Oui� .moins �comiqtie, plus. 1 « (84) (85 ) ,de -plus somnifère que toutes les .piêces. de M. Pixérécourt, n'était , à proprement, que 'vous nous offrez... Ou cherche chez parler , qu'un cadre disposé pour intercaler V�lJS l'amusernent on' , n'y trouve que l'en� la de Mais, , , musique gracieuse DaleYJlac. nui ;' en peut - il être autrement? v��s ne j'oubliais l'Habit retourné, opéra soi-di-, 'v.o'�lez que de grande musique ; or , les dé­ sant comique' qui ressemble à tout et .ne veloppemens éternels qu'entraîne une mu­ ressemble à rien, dont les paroles sont pj-_ sique .savante et travaillée, dénaturent 'uri toyables et la musique à l'unisson du - 'poéme, sujet léger et comique ;" d'une pièce gaie, On n"en -pourrait dire autant du Paradis vous faites alors un ouvrage, sérieux. QueUe de Mahomet, de MM. Scribe et Mélesville • . / routeles G(étry" les M,ollslgny, les Daley­ JI. est . impossible, d'avoiT plus d'esprit et rac vous-ont tràcée! !1 c'est la seule à sui­ moins de raison que ces 'messieurs: la mu­ vre, ou bien vous n'aurez que des Solitaire sique de MM. Kreutzer 'et Kreubé , ',a p�ll:tl­ et des musiques à la Caràffa. ' , vive, légère, animée. Nâdir el Sétimo :NIais [ètons uri coup-d'œil sudes nou­ qui succédèrent au Paradis, sont-le péché, veautés 'de cette année. Ftilix et Léonore , �-'un homme d'esprit, 1\'1. Justin.:..Gensoul.: Sàint-Mareell�n, de M·. . paroles de musique Depuis sept ans que ce poëme.sommeillait _' , Benoist n'ont d.û leur d�mi-succè� qu"à dans ses , cartons , l'auteur aurait bien eu Je la grace'; à la fraîcheur', .aux motifs heureux; temps de le corriger. I�a 'musique de Ro-_ òe leur musique. Le Petit Souper, annoncé magnesi' est digne d'un simple romancieru._ pompeusement .; ':dep_.uis deux ans, ,fi�)uS le mais une partition- _ est quelque chose de titre de la belle Fëronnière eîé , n'a point plus qu'une chansonnetteou qu'un rondeau, Ó"�Üt¿ des specta�urs; le §_el n'y'dominait ,M. Romagnesi nous l'a prouvé.,; Paix au' �as, il a paru froid; d':a-itteurs, Ia manière Solitaire qui sait tout , qui voit tout le ; •. ,. dont les. acteurs Pont servi n'a pas con­ , 'Cor¡ du, Village chante un peu plus ga�ment.o' tribuë.ale réchauffer. Le Pavilion de Fl�urs, c'est l' avis,' de, tout le monde �,,,aussi, ce dia-. 8, (- 86), ('8'7 , 'ble. de Coq réveille tous ceux que le Soll­ taire' endort. Depuis joué. FanfaQ et musique �'Aubert. - Mme. on a G�,va�d?n pa� raîtra en novembre Colas dérangés MM� ladin 'père et pour la demjere felS � par , par. le l'Ble de Marg�t, dans une ',61s. représentation ', . son bénéfice; � RÉPÉTITIONS. On à prépare la remrse du comte Àlbert, de Sedaine; on répète les Deux 'Fltte�trs,· de.Tlaleyrac, .et cette pauvre Valentine de Milan, p�roles (_�e T'HÊATRE ITALIEN. :13oumy, musique de JVléhul, qlll, depuis Ce thé�tfe a .Scio doit voir le Le même .toujours êté; jusqu'ici., 1� - 1'1�e-. , jour. rendez-vous de la bonne société , du beau 'poète vient de confier, à M ".Bòiëldie:1 , Ia monde. Le dilettantisme est redevenu à la .. musique de, ses Deux Nzu,ts, dcstmees - modevIl signor 'Rossini et Mme. Fodor ont probablement à faire pendant aux pe,:"x _ fait, sa .,Journées. Enfin, l'inévitable M_� run Castl.l­ par musique ench.a�teref,se" I'autre par � sa vo-ix suaye et délicieuse , le Blaze _presse, s'agite, i.ntrigue ponI' faire -charme et les beaux jours de l'Opéra-Buffa. monter Je Mariage de Fzgaro, .de M piquantes : voilà ce : siasme d�un parti s'attache aux productions qu'on trouve dans ce petit acte de monsieur " de ,M. Lavigpe : on parviendra, par des Alphonse Denls. . ¢loges outrés par une imprudente f1�tferie , Les Déltx Ménages (.2.1 mars ), Erreur , � à détí'ui(e insensiblement un talent SI beau. òe MN.!� Picard, Waflard �t' Fulgence. Ils Les YlWes siciliennes sórît inférieur,és aux ont cru faire une comédie ;" l'expérience Messéniennes, les Comé7l:iens aux Vêpres, leur" a . prouvé qu'ils s'élaierit\._trompés. - èt� le· ParÍtl, dans son genre, inférieur aux. Attila (20' mai ) •. Cette _ tragédie de­ Comédiens Crescit eùndo ! ! ! M. Bis� offre de ... \ nombreux, défauts., sans . , Le Père et le Tuteur de MM. Dartois doute-; mais on y trouve de beaux vers. , . f_rèrès est un .lo�g imbrogl'i9 � sans fond, un caractère vraiment national, des scènes sans action, qui repose sur une donnée. �;� ( hardiment tracées ... ; le style en est hril.,.. úavag3.n-te. Si I'on supprimait ql:1atl)e ades Jant, é!evé, plein ae' châleur : l'�uteu� ne, seulement, il resterait alors plusieurs traits s'arrêtera pas' en .si heaù-j:hemin� ,- _ spirituels et .quelques jolis. vers._ Si la �ièce Les Machabées (14 juin). Coup d'essai' est .tombëe ce n'est. pas faute de hillets .qe M·.· _, G·uiraud; pièce froidé" de belles: . e- /�( 100 ) (Icil) �'tiradcs, -du� talent , de .grapdes' espérances ; M� Guiraud Pièc_es srhúle. On répète la mais. n'est -;point à -la hauteur Vie{tff Tanle (le Picard le , Múet ele .du siède." 'B'r'lleys .. , Sàüll. - _ de-SQu met, l'Indiscre,t: de Thréaulon. T�ltr�iquet (8 juÚlet-).�Ce -(1gnê'$,' ", . bavardage en, déMerani est ainsi le "trois retardée, que en"rztp;', actes et ,en mauvaise prose, offre un teur de NI. Lemercier. OÏl montera tableau de proba:' -mœurs •• � ••• , de ruelles, et des �bleJIient -bientôt l'Hécube 'de M. Casimir- _" / �'r;nages ti"ég?ûtantes ..• ; des - ,sifflets '-l'�nt ct le Célibataire et le accueilli Lavigne, taisoiis Je nom du coupable, je M_cirié d.c· ; J. ' ',MM; Wafflard et Fülgènce. M. BIS a, fatt "lui ferais du tort. recevoir une Camille; NI.; Briffaut uri AlexiS - . Le Pour et le (}qntre � , (1'7 août}, Com�ène . ;'�n oíhcier -4e la 'M� gál�de royale a SewI,in était- , connu jusqu'ici pour uns homme I;>o��ê �'M .se,cond théâ:trc\" une 'd'esprit, ]J�athildes: pour un piqua.nt vaude- çue villiste.v, depmslong...;temps au prermer ; M. �l­ :' cette dernière production lui , fait 'chat en a fait tout autant son '[urnus ; 'plus d'honneur , polir enc�re à nos yeux qu'aucune "et. M. -Théaulon , .de. celles , pÓllr- .son .Flatteur. don't lui O�. nous sommes redevables, , 'parle enfin '�'un IYI,éro-ree et d'uil l,a Pfiilípp�­ au' . , Bénéfiùs. ieprésen�atíon, piq_Et 'Aitgltste� 'doe Mlle; Ge,orges, combattue par tant de LES 'ON D1T. 'GarridUlisait? en ',enten- 'préventions ,. retardée' par tarit d'obstacles, (hut- 'une actrice "eníin qui" '�rès une vëh.émen'te a 'e,u li�u 'dans la salle ele I 'Opéra. � 'imp�écation., promel�àit avec Foule trauquillitê ses _ -:--- )mmense. - 30,000 francs de' regards sùr les' s:pectátel!�s: ce C' est u'n�­ recette, _ bonne '-fine': elle 'a d:e la 'colère, ,mais Oti'parle d'une _p�iÍlt - réprêsentation au b�ri�­ de ran�une�» Que (lè .fiée de gens Perroud suites d'une ''''reconna�ro_nt' , queles apo­ Mlle. Perciliée - , à ces trails, ( )' plexie ont mis borsd'ëtat _de 'remonter' " sur -'On dit ' 'la que' ceTt�in'�xaminat,eùr ad -fro_o � scène. d�J'Odé(Jn rê,fusaÏl'tòujours à �n jeup'e,all�.'-' ( 102 ) ( lO:l) .teur une lecture au r.�mité, sans lui dormer '_ On -¿it que le 'roi: - ges rois, le grind même le. motif de ses refus. Vauteur lui privilégié d�l mélodrame, Lafargue,- enfi'H ,� 'remet. donc 'un jour une noûvelle pièce" 'd'oit abandonner le cethbrne, qui le I g,êne -apr�s avoir collé ensemble un ,grand nombre un peu et l'enrhume, contre la botte molle , d� feuillets. -Le silencieux juge sans appel du mélodrame. La Porte' - Saint-Martin lui " l'end, quelques mois après, au jeline auteur, tend les bras. . Je manuscrit, comme indigpe d'être lu-par - On Jit qu'une -co.�édi-e en deu-�· actes' Je r comité, QueUe sentence tIe'S feuillete ,de Collin-a 'Harlè:vitte , intitulée les 'Projets ' . , étaient collés encore, � âccomplis , vient d"être retrouvée parmi des -On ilit-que, dans 1� Présen:f aZt l:?rzncefo papiers, chez un homme d'affaires. .' Mll.e. B�:¥f7'f, qui jouait Irma, éclata cl� rire --On dil que Nfme •.Derudder, (lont tout enlisant ces premiers mots du billet qui lui' Pa�is' connaît les, taleas , est _ payée à raison est adressé par le prince: (C 'lfom71iage à la de 490 f-r. par représentation., •. Voici le mot nertu, ». Probablement l'actrice ne se croyait Je l'énigme: elle jOlie, trois fois d'ans l'im-' pIlls en scêHe, mais', hien -chez elle sur. sa née ,_ et est à 1200 fi'. d"appointemens: causeuse .• ,. Dans la crainte _de parei Is ou'blis - On disait dernièrement - , à une -il j'eune .faudra dorenavant que" les' auteurs. ne- soubrette qui a fait_ quelques excursions in­ mettent plus le mot â.e-vert� dans la bouché fructueuses dans le domaine de de - certaines actrices., MelpoIIlèlle, qu'elle chaussait mal le 'cc).thurne : ((-Et _) .. '"'"-7 On.d_it que }'auior�ité s.upérieure doit .­ pourquoi , J'épliqúa�t-éUe naïvement, l'ad'..; p'reridl'e' tÚ�'" ari'êtá ffwt ,ingénieux et très= � � , �i�istra�ion ne foumir.-ell�, . les., sou- 'pqlitique-: ce serait pas - .d�accorae.f, à l'avenir,- lters ! J) ! . '. s-> ',.. une peri-sl0a: :vi�gère ,¿k -3,000 fr. - à tout ._ On- dit que ·le lendemain,' dû M'ardi ��teur qui aurait composé ,�pour ce théâtre, -G�as ; -pend,ant la représentation' des Chd_-, -,quim£ actes,couronnés de ,sucCès. tea�tX en_ Espagne, un - jeu,pc hommc ÔOF-" (ioH ( lOSt 'mait t�nemênt dans' 'un coin ñu 'parterre., 'sombre-, 'enfumée-; puis à, s'·a¡Hacher· qu'on fut 'obligé' , sans qu'il s'éveillâtmême, �uelque hon acteur. en;' vogue'; sut-tout à . 'de le -dans.iun 'conidor; .if canner a' d'autres transporter mains plus habiles y que < .r- des et �oinm.eilla sur une-chaise •• �On�ssure que cet c�ne.s M.�nissi�l' des Jacquelin les ]l�t�'éplde dormeur' se trouvait là depuis la destins du pet,It Vaud·evine. dernière représentation du Père et le Tu» Lui signalerai-:-je d'autres abus P·Des ou­ , ' � vreuses d� l?ges ont 'rel�r. qu�lquefo'is apostrophë , · 7 On dit qu'un .soir dans Ma�liz.ts.; par .des. InJures,- plusieurs , spe.c1ateurs, q'ui /Mll�. Guérin se suicida, sans 'que mort s"eh-' e�pflI�a!ent ,.' sur la pièêè · jouée, une opi- suivît, même ,:' elle donna mon fjUl' �valt le.malheur de� deplaire à ces en apparence se · gran'd poignard)_ demeura ò�m�s. SI ces coupde puis ouvreuses étaient Ull occupées à .. ele OUVrIr et boutçsáns s'apercevoirqu'elle fût fermer leurs- tout assurément se pottes assassinée 'elles le ...... Celte. distraction était" pour le ?'auraiént pas' -temp� d'ipier :Ia r '-moins, aussi ridicule que celle de Mlle. Bro- - ,'conòmte .des pieux" solitaires -qui font, � card. chaque sorr , pénitence au VaudeviIlé. · . I�: br�it .�- couru que .I'admiriistratio� � venalt�de prendre �es mesures p.our èxpul:'" 'yAUDEVILLE. s�r les cO'(rtpagmes du, lustre : c'est fort . Pauvre: thëâtre.! Mais si pa�vre's acteurs! pauvres bien, lesclaqueurs cessent de s�as­ . -pièces ! Ce n'est plus aujourd'hui qu'un- SCOIr 'au parterre.' du ... Vaudeyille,-. se' "Pe'­ " désert.· " " mandent les' railleursvqui donc y verra.. t-on�,.? Pam,-re, thédtre. - �I; Dësaùgiers 3U':_ -, J�e me�ppelle les beaux j'ours du. Vaude­ r rait., selon- moi, -Jeux -choses à faire -ville : ,_,�quand' le· Fàndango., les Deuœ d1aborH:à fa-ire rafraîchir 'sa -salle 'et lui E�m_o,!d�, La'l]Jara � les Deux. Gaspard, donner ',�n n'ouve'�u lustre ; 'elle 'e'st at!U'a.len�Ja foule; plus récemment encore , Cl06 ) ( 1°7 J"� le Nouveau Pourceaugnac, le' Co�'tle Ory, " nOl�s tromi�ns �inette en o �remière ligne � Ja Visite à Bedlam, ,ra Somnambule toujours fine, aimable ,�spmtuelle et chérie ; . du MIJe. courir Paris. Serait-il donc public; puis Victorin� 'd'ont -Ies faisaient tout � sont impossible de créer une, ère 'nouvelle pour mani�res lestes, le jeu peu décent , et la si chéri, si ?� VOloX fausse ;. Mlle., un théâtre jadis fréquènté Luci�,' petite minia­ •• Ori chercherait main­ tur.e bien bien ' Pau.vreS acteurs. froide bien o aud�vil1e qUI d maniéOrée, pincée , ne tenant en vain au )' un amant jeune evrait jouer qu'avec'des mitaines ;. et bien fait : .les figurantes font les eo�pte� ses pem, pas '. beau ,écouot�r ses paroles,. et enfin, un coquettes. frisent la cinquantaine et les qu lour, Il faudra mettre sous , automne. c?ftsse. Mlle. ingénues toúchent à leur Henry 'Clara est et encore"jolie , sa 'taille n Laporte ne jouent plus; Saint-Léger et es� p<'l& trop endommagée non plus ;- mais . plus elle Guénée. serre les dents eh Fichet se retirent. ne vaut chantant, et minaude.' et' n'ont Mmes. Bras et se Edouard Hippolyte Guillemain rendent u'tiles grand'cho5C. valu. fils les dans leur emploi " sur-tout Ía j4mais . rien Laporte court 'première.; Mlle RO., .... 1 • champs .. Victor est insipidè; Lafont froid O' iviere �]e paraIt p.us; 'c'est par-l�é-'- o · (ft inanimé ;- Justin, de'· MM. Sewrin et ' _ les llltSeS de guerre, du bavardage et pOInt , Vizeutini, un ·tableau m"ilitaire inÚre:ssant, a�act-i�f! ; r4_pls alex goutteua , beaucoup et le e petit tamhoul"'� ,fait quelque brui{ ( 1l0-) ( I II ) (l�ns le monde. Pierre, fáltl"et Jean, 'de . dédaigneuse �u possible, .minaudière à 1tlM. ,Ourry ct Sewrin; n'ont pas, à leur I'excès. .C'est un imbroglio espa.baool. un , , jôur été vus sans plaisir.: la Cher�héltsé peu long., mais fort divertissant, , d'Esprit de Favart commençait enfin à rap­ ,Brilits �e 'co�tlisses�'� On prépare', à peler le hon temps du Vaudeville. Hélas! ce théâtre '; _l� Fagotier ou la Cabane en­ ce n'était qu'un' éclair -p-assager au milieu chantée _, la Lanterne sourde, 1�1 Duelpar' \ des ténèhresc Plus 'récemment Va-de-bon- procuration, les Deux Cousines. On - cœur , de J;1lVi. -Gentil et Désaugiers., plein s'occupe de' la remise de Clt£lulielt.r-· à ò'e·sprit "et de g�1té rappela Cre théâtre à' Ia , ., !ontenaj, de la Matrone.d'Ephèse , des" vie; mais le Chapitie ,des Contral'iété's de Deux: Prisonniers<, du' Faucon, des M� Sevvrin survint mal à propos •.• : l'au­ �pOltX de irais jours; On parlait d'len - teur les acteurs et le public, entrèrent C�at_botté; le rôle principal était destiné àr , , - - tour-à-tour dans le '5u)ê;t d'e cette pièce On .• pendant temps, , Min�tte:. �., _qll�lqùe Ensuite l'Ecarté ,. de'" :Mfil. .Iacquelin., e�_lldee de Jouer Ça l'étèmt, parodie Ourry et compagnie., et les Ta:zlleztrs Je d'Aladin; mais Fichet n'a été trouvé __ <: pas Windsor" de MM .. Gabriel et Philibert, assez gras ·pour·.,jouer le 'rôle de la Mè¿he. ad!�vèren!., l'un par sa morale ennuyeuse -:- On a de- même renoncé à 'une pièce de , et soporifique l'autre, pal" son défaut -cHconst.a'nce., l'ENphan-t, dont le rôle '., d'intérêt et ses turlupinades ce qu'Amélie principal devait être confié � , I Hippo1yte. avait si 'nien commenté. Pour tout dire �n�hèr:�. On annonçait dernièrement que €nl1n ," le Vau,deville ne v�,t plus aujour':' le , Vaude�llle' était à I'enchère et , que déjà d'Jmi- ql1e sur la Parisienne en E�pagne l'on otfral.t 100,000 fr. à M. Désaugiers _ _ " ,de . Ml\I. Désaugiers et .Saintine. Ceuè pour en ccder 'Ia direction. Parislcqne les de MUé. bon secret, On a que 1� ., sous traits Lucie, �e prétendu . devient bien saris doute �ne 'petite mijaurée, Vaudeville faisait tous ses efforts pour (-IJ2) ( Il3 ) souffler Mm�. Vautrin aux Variétés. ,�C'est, nante dans la.Lampe Merpeillcuse, ,Lêon�­ dit M. Désaugiers, le 'seul moyen de rem- ' .. tine est , ' , indispensable, aux destinées du' plir la salle. » , > G-yrnnase. . Lès Millellrs: On díscutait ,. l'été der­ M. Scribe se présente, à son tour, non nier" an foyer du Vaudeville, sur les ]a dague au poing ') mais ses manus­ moyens de rendre àce théâtre vingt son 'ancienne crits à la main, comme .le grand Char.un fut privilégié prospérit{��.' 'd'�vjs qu'il fallait, du Gyrimase. Vingt-cinq pièces nouvelles faire, 'lm appel à de nouy�aüx;' hâilleuts de ont' élé io.�ées à ce théâtre en moins d'un fonds.- 'i{ �oyez tranquille , reprit, soi-ai ..... \ an; sur plus de moitié xl'enfre elles, il ré-· santvun acteur�aeg VarÎét¢s qui se trouvait clame des droits de' paternité. Or, sans M. là, le Valldepz11e _ 11:(; manquera jamais de Scribe, plus de . \ - répertoire, \, point de bâiileurs, ' Gy�l-' » . nase. �:t Pe,det �"""��\""'�""':""'�"""""'''"''�''''''"''' qui, l'an dernier, faisait fu­ GYMNASE reur; qu'aujourd'hui ron DRA.MA�T,IQUE. oublie; que les Français ont enlevé à ce théâtre I"éonÚne , pour n'en Fay, Scribe et Perler ..•• voilà plus .vouloir ; qu'on transplante , parles on Ïestrcjsprovidcnces de ce théâtre, " dit, d'abord à Dnùy-L'ane, ensuite aux Va .. . téontíne, surnommée la petite merveille,' riétes , enfin même au Vaudeville, comme' l'étincelle du Gymnase ',' est, en effet, 1� s'i] ëtâit . decidement poursuivi par la desti­ jull talisman qui remplit sa .salle et sa 'caisse, née; Perlet, dis-joe , court, l:n aujourd'hui, fort avril dernier; alors Rerlet ne [ouait plus, ,tris�eme-nt la province, quand sa sa, et L'éont�ne place, courait la province ;, les r�cettes veritable place �st au' boulevard Bonne­ �'é]e�aient, chaque soif, 3e 140 à 200 fr. Nouvelle. Sans lui, po'int de salut , je vais Sensible et comique dans la Petite Follé11 'ù! prouver. J..Ja perité Léontine n'est , dans " paRÈS, DÉCÈS� Un vieil hahitÏlé� de est vrai ,que, depuisun mois, les Comédie rangs de' �a Française possédait daus son I ces intrépides grenad'i ers s'éclai-rcissènt-;' cabinet, 'et gardait avec le plus grand soin ;" plusieurs Je vieilles moustaches se Ull sont chapeau de Prévillc , un ces turban de­ fait : Le , vacciner. Dernièrement M. Maré �ai�l; une- bourse de ...... �l¿lé, une , paire de '(hane offert octobre} M. Puie!, rmtaines de (If: Mlle. a 27 qáiron ,et une mule de ou les plaisirs de la. oendançe ; c'était un Mlle., Lecouvreur, , � peu' tard pour cette année. Edward, Le QU propriétaire étant mort ces obj;eú ont le Somnainbllle, est la dernière nouveauté - ét�. vendus au plus offran't' et .dernier du Panorama ..... Elle ne fera pas fortune, enchénsse�l:: le. chapeau de Prëville a éii , Ch1;oniqlte. Voici venir, entouré de' aehet.é par la G�îté ; le turban par l'Opéra""" spectres. effroyables, le, .cëlèbre Bertram. ComIque; !a �ourse d¢ Mojé par le Gym:. , Si les- charniers les linceuils et les tom­ �as�; les mItam�s de Clairon pat 'le Vau .... , - beaux -deviennent à la' mode au-Panorama, ò�vllle , .et la mule de Lecouvreur par le Cuque=Olym_piquelt ".' ( 144) " ., BOULE'V ARD DUCRIME. Une ame sen ... sible voulait qu'on appelâtle boulevard du Temple le,Bollle�ard du,Crime ;.'hélas! ce JlO� né serait que' trop mérité; on a fait le recensement de tous les crimes qui s'y sont. commis depuis vingt ans; en voici' le ré­ sultat': Tautin aété poigna'l'dé 16,302 fois; . Mai'ty a subi I 1,000 ernpoisonnernens, aYe� variantes; Frenoy a été immolé de différentes façons 27,00<;> fois; Mne. Adè1e Dupuis a été 750,000. fois innocente, sé­ òuite; .enlevée ou noyée; 64-,000 accusa­ tions 'c�piiales ont .. éprouvé la vertu de Mm�. Lévesque, Et Mlle. Olivier, à peine entréexlans la 'carrière -, a déjà hu 1600 ¡fois dans la coupe du crime et de la ven- geance ; voilà, sauf errenr, 132,902 crimes ,�-t par!a'ger entre cinq individus, qui cepen­ dant jouissent ,au fond d'une santé éxcel­ lente et de l"es'tim.e génér�le. O mélodrame! � type admirable de scélératesse et de vertu'[ et tu trouves d' obscurs hla�phélillateurs? - , FIN'. ���$���������������������������œ· .� 'JANVIER :1823. FÉVRIER.' �' " . " �D.Q.le4_,à4h.dllm. D.·Q.le'2.,à,l:.oh.dùs .. '.t "N.L.1e12,à9·h.dum. x.c.t» 11,à3h.dum:.� �P. Q.le'2o,à.2.h.,dum. P.'Q.le18,àu ñ.du m: � �P.L.le26, Çt?h.du.s. P,.L.le25,à5h.dum. � " '.t � mere 1 LA CIRCONC. same ·1 8.. Ignác�. " .� jeudi .2 s. Bazile , é«, D. 2 Sexagesime. � � vend .3 ste.Geneoièue, lundi 3 s. � Blaise, m, " same 4 s, �ig�bert. mard' 4 s. Philéas. � � D ', .5 s. Simeon. -, .merc 5 ste. Agathe. " � -"" lundi 6 L'EpIPHAN'I-E. j�:údi ,6 s. Vast, év. ';; � mard 7� .. Théau, orfo vend 7 s. ROllluald. � � mere ,8 s. Lucien, év. same Ja s. Jean de-M, � � jeudi 9 s, Furey, ab. D. 9 Quinquages. � � vend 10 s. Paul, er. lundi 10 ste. Scholast, � "same Il s. Théodose. mard .11 s. Severin, ab. '9 � 1 D. 12 s.'Arcade, .m, 'mere 1.2 Les -Cendres . � � lundi ,13 Bapt.. de N... s.. jeudi 13 s, LeÚl1,. év. " .t, mard 14 s. Hilaire, év. vend Les 5 Plaies. � 14 � .� mere ,,15 s .• Maur, ah. same 15 s. Faustin. .'.t ." jeudi 16 s, GuiUaUlue. ¡ 1 D.- 1·6 Quœdraa-esim;'.� .� vend ·1.7 s.Antoine , ab. ! lundi �17 s, Sylvain. � "same , L8 Ch. s. P. à R... ; mard 18 s, Siméon év."'> � 2 D .. 1-9 s. Sulpice, é«, i mere Iu 19 s.Gabi,n,m'4tr. � 4 ndi 20 's. Sébastien. ' I jeudi 20 s. Eucher, " 21 ,�mard ste�Agn.ès, v.m, I V6:B{l .21 s. Pepin. - � . �nel:� 22 s. Vine�p.t, .m, I same 22 s'te, Isabelle. . .� JeudI,23 s, Lldefonce, 12 D. 23 Riemi niscene, " � vend 24 .s. Babylas év , 1 � undÍ24 s. Mathias. � ? � same 25 Conv, s, Paul. 1 mard 25 -s, Taraise, .� ,� D" '.26 Septûagesime lundi s.·Po:rphil'e�.", -� ..� 27 s, .I'ulien , év, jeudi 27 .s·te. Honorine,' � mard �, 2� s, Charlemag. vend 28 s, Romain. '" ,,�ner� �9 s. Fran�. de S._ l.lllére:2.6 � '. _ " � J�QdI 30 ste. ,Batilde. � vend •. 31 s. Flerre Nol. !ELpeattcrtee" .... ,XVIII. � Domirrica.le E." • "'..rS',s\¡... ..,...,....,...,.,,#'iI'oS'..r·;..,.,'\'..'V:;."'"S'S'".".....,..t$"""..,-..r-Ñ..r(i ti ..I'.I'..I\I'S'J".J'''''$\6'>.JV'..rS'.r;II'S'S'�.,.S'S'S'S'..r'$.'J'S'$'..r>l'''\'S'S'@ " &..I'��������S'�S'�.#'..r"'�S'S'''''IS'S'S'S'S'S'�S�'''�� - �: "AMRS. Il AVRIL. 't I � 't_ � MAI. JUIN. � �-'" � D. Q.le4J à 6h.dlf. s.: ¡IJ. o.u: Jà 3 h. du ;" � " D. h.dum. ,��"'.L�)e o.t;s, 1 h. du 12J�6 h idu s, N.L��e r.i , � P. Q.le1.9 6 h.du P. �-6h. dum. � � à,9 "N.L.lelp,a4h.dus. IJ._Q.le2J� m.'�· N.·L.le8,a Il h. dus." Ja s. I Q.le 1'8, abo tn-durñ: � P. Q.le 17 J à7-h. du rn, P. 15, à 3 h. dus. ,P. L. u 26 J à5 h. dus. ,P. B.le � Q.le 25, à7 h. dum. � � Pi � Ii.Le 24J à 9 h. du s, PiIi.l» 23, à 13m. d'us. � t " � � - - . "same I 1 s. Aubi � In,'év', mard -1 s. Hugues, ev. � jeudi 1 s.Jacq. s.Phi!. D. 1 �'3 2 s.: Probas. D. 2 Oculi. mere 2 s. Fran�. de P. � � � vend 2 s. Athanase. lundi � 2 .s. � lundi 3 ste. Cunégcnd. Pamphile, " � jeudi 3 s. Richard, é. � same 3 Lnvent.s!". Cr. mard 3' ste. Clotilde. mard - 4 s. Casimir.. vend � _ 4 s. Alllbroisé,é� � c, 5 D. 4 ste. � mère s. m .. � �lle�� .5 Monique. 4 Quirin, " s. Drausin , same 5 s. ID. � lundi 5 les 5 Oct, r, jeudi ,6 st-e. Colette. 1"D. Zé�0n, � Rogations. jeudi Fëte-D, 6 Quaslmodo. � mard 6 � s. Jean .p.L. vend 6. s. Claude.. � vend " 7 ste. Perpétue. lundi ANNONCI:AT. � 7 � s. Stanislas. same Paul de C. , � same � s-o J'eande -7 7 ,s. D., mard �- �ner� 8 Perpet, év �. s. • " �;8 ASCENSION. 3 D. 8 s. Médard. � � 4 D. 9 Lœtare. �'leud;L mere 9 ste. Marie, é. C, vend s. 'lundi s. Prime. � lundi 10 ste.Doctrovée. � 9 Grégoire. 9 � jeudi 10 s, Onésime , 'J � same 10 s. Gordien. mard 10 s. Landri, év. r, mard 11. Les ao martyrs vend 11 s. Léon, � ,,6 D. s. Léon, év, Barnabé. � pap. 11 mere Il s. � mere 12 s'. Pol , év. � same 12 s, Jules. ' � � lundi 12- s. 13 Épiphane, 12 s. Justin.· � jeudi ste. Eùphrasie, jeudi 2 D. 13 s, Marcell in , � " mard 13 s. Servais, vend 1·3 s.AutoinedeP. � � vend, 14 s. Lubin; r, lundi 14 s, T'iburce. ;� 1l1e�c '14 s, Boniface. sanie 14 s. r, same l5 s. ,Zachari,e. 'mard � Basile., 15 � s. Paterne, év . � jeudi 15 -s. 4 D. 15 s, m ; s. Ii; � 5' D. 16 La Passion; � Isidore� Guy, mere 16 s. Fructueux .. � � vend 16 s'. Honoré. lundi 16 s. ," lundi 17 ste.-Gertrude. Fargeau. � jeudi 17 s.Anicet , pap. � same. 17 s. Paschal.v.j. mard s. abbé.. � � mard.xtl.s. Alexandre. � 17 Avit, vend 18 s. Parfait çp, � '., ,D. 18 PENTECOT'. mere 18 s�e. Marine. � � mere ,19 s. Joseph., same 19 s. Elphège., � lundi 19 s�Célestin ,p� s. Gervais s, P. '.J jeudi 20 s.i.Foachím, jeudi 19 3 D. 20S6• Hildegorrd,'�� c, mard � 20 s.' Bernardin. vend 20 s. Silvère. � vend 2.1 La i� Comp,a�s. 21' s, Anselme. � mere 21 se. Hélène.4T. sa�e 2I s..Leufroi , ab. same 22 s , Aprod ise, 4 " _mard 22 s6.0pportune. � "jeudi 22 ste. � 6 Julie, v. 5 D, 22 s. :Paulin', év. " D., 23 lundI L�!,Rameaux ¡l I �unnerd�i 23 s, G.eor�es, Ill. � � � vend 23 s. Didier , év , lundi 23' s. Félix, m. 2.4 � s. Sllnon, rn. JeudI' 24 st�. Beuve.. � same .24. s. Donatien. mard 24-s. � mard 25 � s. Humbe.ft. J'ean-Bapù. <. :vend 25 .s. Marc, év. � " 1 D. 25 La Trinité. me,re 25 s. �6 Próspero < � " �ner'� s. � Lùdger. same 2,6 s. Çlet, pap. � lundi _ .26 s.• Philip de N. jeudi ,26' s. Babólein. � JeudI 27 s. Rupert. 4, D. � 27 s. Polycarpe .. c, mard 27 s. Hildeve'rt. vend � s. " " vend, 27 ,28 Vendr.-Saint, Cœ�cent., lundi 28 -� s. Vital, 111. � mere- 28 s. Germain, é. sa;_me 28 s. Irenée. " same 29 s. Eustase. I mard 29 s. Robert � � ,ab. " � jeudi 29 FËTE-DIEu.' 6,D. 29 ss.PierreetP; � � .11., > 30 PASQUES.-- 30 s. Eutrope. "vend· év. lundi'30 � lundi· '30,S. Hubert, 31 ste. Balbine... lmerc � Comm.s.Paul.,� ,', . " � ,same � - 3� se�. Pétronille. , 6'S'S' .I',S\I\I\I\I'S':S-S'.r",:,.,.,.",.,..tI''''.I\I\S\I'S'oiS' e :,'\I'''''.F'''''''''.rS'''¡'IS'.s:.�1' (It •.\I"�.,.""v6'S'v6'rI'..I';:§'$t;:§,-4'J'''''4'Io1' same 22 ste. Cécile., � 27 D. 23 s. Clémènt. If 4 ... 21 Tho�nas, a. hm..d.122 Honorat. �' s. � mard 23 s. Yves. � lundi 24 ste. Flore, � v .. mere 24 s. Delphin.vi. " � mard (25' ste. Catherine. jeudi 25 NOEL.. � � �e�� '26 s te.